Clair Obscur

bande son qui débute le film, les paroles que laisse échapper Marais : « Laisser mourir la note », « en mourant ». La séquence suivante rappelant les tableaux de Philippe de Champaigne s'ouvre dans la profondeur de champs sur un gisant dans le clair-obscur, revêtu de l'habit noir et de la fraise blanche avec au premier plan, de profil, Sainte-Colombe jouant sur sa viole. Tout est dit par ce plan fixe et cet adieu aux plaisirs voulu par le mourant. La tonalité du film, néanmoins fidèle au roman, est

correspondances. • (un nouveau langage poétique) Les symbolistes utilisent des termes rares, des symboles et des tournures recherchées pour aller au-delà des apparences et découvrir le sens caché du monde. Il s’agit donc de rendre le poème obscur et le lecteur doit renoncer à l’idée d’un sens unique. • (des états d’âme) Ces artistes évoquent la notion de nature en représentant par exemple des paysages fluides pour exprimer des sentiments intimes. • (Musicalité des rêves)

voir l’ombre de quelque chose qui ressemble un peu à une chaise tombée. Il y a une table de chevet proche du lit. Une pomme y est dessus. À l’extrême gauche de cette table on semble voir une forme, mais celle ne m’inspire pas d’images. Il y a du clair-obscur sur ce dessin. On voit bien que la lumière est surtout sur les deux personnages, une bonne partie de la porte qu’ils touchent, la partie de l’avant plan de la voile rouge, le lit et le table de chevet. Les autres éléments ont très peu de lumière

premier plan, légèrement de ¾, le bras accoudé sur un fauteuil, dans une loggia. Derrière apparaît un paysage à dominante minéral, semblant irréel, présenté en surplomb, c'est-à-dire vu du dessus. La peau et les mains ressortent dans un contraste clair obscur très prononcé, le tout semblant baigner dans une brume d'or. COMMENTAIRE: La Joconde est une représentation réaliste de cette femme, Lisa del Giocondo, nommée aussi Mona Lisa, dans sa loggia au dessus d'un paysage imaginaire, peint d'une

Le personnage est désigné par des termes péjoratifs qui évoquent la vieillesse, l’usure (la pauvreté), les malheurs. Le mot « foudroyé » est fort : il a reçu la foudre sur la tête. | II 2 | Champs lexicaux de l’ombre et de la lumière | dans le clair-obscur,les refletsbleuâtres chatoyaient à la lueur des bougies,L’ombrecachait si bien le corps, Les bords du chapeau qui couvrait le front du vieillardprojetaientun sillon noir sur le haut du visage. | La scène se passe la nuit : on le voit mal. La lumière

Doigts. Demande. Réponse. Oui. (Joyce) -Euphémisme (voir figures satellites de la métonymie) c. Figures qui jouent sur l’opposition : -Antithèse : Déf : Ex : Les derniers rayons du jour venaient éclairer le salon obscur. -Oxymore : Déf : Ex : un clair-obscur ; des silences éloquents -Antiphrase : Déf : Ex : C’est un palace ! (pour un taudis) ; Bravo pour ces excellents résultats ! (médiocrité) d. Figures qui jouent sur la succession de termes : -Enumération : Déf : Ex :

“ Les Rêveries du promeneur solitaire ont deux versants, l‘un tourné vers l‘homme, c‘est le versant obscur, l‘autre vers la nature, c‘est le versant clair. Mais la lumière et l‘ombre ne se partagent pas le livre en deux moitiés, elles sont presque partout mélangées. “ Cet avis de Marcel Raymond dans la Pléiade semble-t-il correspondre á votre lecture personnelle de l‘œuvre ? Les Rêveries du promeneur solitaire, un ouvrage inachevé de Jean-Jacques Rousseau rédigé entre 1776 et 1778 et publié

des conséquences importantes du principe de légalité est que tout citoyen doit pouvoir connaitre à l’avance ce qui est interdit et la sanction qui est encourue à la lecture du texte d’incrimination. Il en résulte donc une nécessaire prédétermination claire et précise par la loi pénale mais aussi une interprétation stricte de la loi pénale par le juge. A. La prédétermination dans la loi pénale de l’incrimination. L’article 111-3 du code pénal est une reprise du principe de légalité de façon plus explicite

l’interprétation du juge : celle-ci ne peut s’effectuer que si le contrat est obscur et insuffisamment précis. C’est la condition qui limite l’interprétation souveraine du juge. Si un contrat est clair et précis, il n’y a pas lieu à interprétation, et il faut donc simplement l’appliquer. Ainsi dans un arrêt du 6 Juin 1921 la cour de cassation vient définir le critère de clarté et précision en énonçant que « Une clause n’est claire et précise que si elle n’est susceptible que d’un seul sens ». Si les juges

qu'augmente le lexique de la lumière. Celui-ci prend une ampleur étonnante, notamment dans la gradation du vers 303 : "Ces flambeaux, ce bûcher, cette nuit enflammée". Les antithèses opposant l'obscurité et la lumière donnent à voir un tableau en clair-obscur où Titus apparaît tel un rayonnement : Bérénice parle de "la splendeur" de "cette nuit", de la "nuit enflammée". 2) Titus au centre du tableau a) Les symboles de la puissance romaine La puissance de Titus est suggérée par de nombreux