Clair Obscur

l’esthétique, le film a été entièrement filmé en noir et blanc, en HD. Ce choix s’est fait en raison du budget limité mais concordait également avec les perspectives du cinéaste.  On retrouve l’aspect granuleux de l’image et le fort contraste du clair obscur. Ce choix est déterminant vu qu’il donne la couleur et surtout l’ambiance et l’atmosphère du film. Les éclairages sont également essentiels et forgent le caractère de l’image. Le noir et blanc permet aussi de donner le cachet rétro des années

peuvent être très similaires et servir à expliquer les œuvres de ce domaine également. Par exemple, l'utilisation de contrastes marqués entre la lumière et l'obscurité, influençant généralement l'ensemble de la composition, est connue sous le nom de clair-obscur dans l'art. Il s'agit également d'un terme technique utilisé par les peintres et les historiens de l'art pour décrire la manière dont les contrastes de lumière sont utilisés pour modeler des objets et des personnes en trois dimensions et créer

grise », « vert », « blanc nacré ». Toutes ces couleurs renvoient notamment au clair-obscur de Rembrandt comme le montre très bien l’oxymore ligne 22-23 « pourpoint noir/chaîne d’or », et renvoie à une peinture du personnage. L’auteur fait donc ici une comparaison du personnage à une toile qui serait « sans cadre » ligne26 ou plus précisément à « une toile de Rembrandt » ligne25 dont la spécialité était le clair-obscur, technique qu’incarne notre personnage. Cette idée de peinture est accentuée par

les « tachistes », de l’italien macchia, en français « tache »). -Selon les Macchiaioli l’image du vrai est un contraste entre les taches de couleurs et le clair-obscur, obtenu via une technique appelée « miroir noir » c’est-à-dire par l’utilisation d’un miroir noirci avec de la fumée permettant de rehausser les contrastes de clair-obscur dans le tableau. - Comme les impressionnistes, les Macchiaioli accordent une importance prépondérante à la pratique en plein air et au paysage (bien qu'ils aient

prétexte du silence de l’obscurité, ou de l’insuffisance de la loi pourra être poursuivi comme coupable de déni de justice » Lorsque la RDD est claire et précise la mission du juge se limite à l’appliquer fidèlement, il alors la bouche de la loi, Montesquieu, il ne peut pas la contredire parce qu’il est son serviteur, il doit la respecter. Mais lorsque la loi est obscur, ambiguë, ou incomplète ce qui arrive fréquemment puisque la RDD est par nature générale et impersonnelle et qu’elle ne peut pas envisager

de l'art pictural : « toile » (ligne 18), « cadre » et « peintre » (ligne 19). Le personnage est aussi comparé à une toile de Rembrandt et le vieillard nous apparaît alors comme complexe puisque dans les tableaux de ce peintre, la technique du clair-obscur est souvent employée. De la même manière nous étudierons le texte partie après partie, mais en nous intéressant cette fois-ci au fantastique. D'abord, de la ligne 1 à 6, on observe deux termes qui se rapportent au fantastique : « bizarrerie »

remplacent leurs articulations et leurs os. Ce type de représentation caricaturale et exagérée apporte par rapport à une représentation réaliste une idée de la violence atroce de la guerre plus simple à se faire. Le peintre a utilisé la technique clair-obscur, avec des couleurs sombres en fond de toile et des couleurs plus clairs, qui apporte de la luminosité, au 1er plan. Cette technique permet d’attirer l’attention des personnes, observant le tableau, sur ces trois hommes. Il y a beaucoup de lignes

atmosphère idyllique et adopte un ton poétique. Le syntagme ainsi que introduit une première illustration qui présente la personnification de la couronne qui s’est composée sur deux rangs (l.11) et existe par elle-même. Celle-ci ceint le front clair-obscur des eaux (l.11 et 12). L’auteur procède donc à une double personnification de la couronne, symbole de la royauté. L’inversion du sujet et du verbe (…s’était composée…, la couronne naturelle,…) met en évidence la couronne, placée en incise, mais

présentation matérielle : renseignements critiques sur l’impression, la commodité, les illustrations, les notes infrapaginales. ● Le style : ses qualités et ses défauts (obscur ou clair, élégant ou lourd, abstrait ou imagé, concis ou verbeux). ● Le plan : repérez les grandes lignes. Répond-il à la problématique ? Est-il clair, équilibré, progressif, ou au contraire confus, artificiel, statique ? Les meilleurs plans sont ceux dont la structure traduit le mouvement dynamique de l’histoire. La

plat d’étain, .Nature morte, le tableau fait bien référence à la mort, à ce qui est « dans la nuit » mais il dit aussi la force de l’amour au-delà de la mort. Dans le film Yves Angelo (image) use aussi d’une autre référence picturale, le clair-obscur de Georges de la Tour. Il est en harmonie avec la musique baroque ; plusieurs scènes du film sont éclairées par une chandelle : la descente à la cave avant la 1ère apparition de Madame de Sainte Colombe, quand SC va chercher la bouteille clissée