Code de Hammurabi

Toutes ces lois se présentent donc sous une forme casuistique (solution fixée pour un cas d’espèce). Cette caractéristique est particulièrement visible dans les dispositions pénales contenues dans les codes babyloniens et en particulier dans un code, le code de lipit-istar, datant de 2000 av JC. Il prévoit des dispositions pénales comme le vol avec effraction, la violation de domicile, ou la diffamation. Pour tous ces cas la peine prévue est une composition pécuniaire. Toutes ces normes répondent aux

première grande civilisation. Déjà à l’époque, le peuple des Summers pouvait se démarquer de toutes les autres civilisations grâce à son écriture. Effectivement, les Sumériens avaient inventer la première forme d’écriture : Les Pictogrammes. Le « code d’hammurabi »(loi réalisé par le roi de Babylone) fût la quintessence même de ce peuple très avancé. Un rapport de force et de supériorité s’installe. Est-ce qu’une grande civilisation, forte économiquement, militairement et culturellement, n’a-t-elle

Cette loi est une loi de publicisation de système de vengeance qui devient alors une justice. Image du monument : Historien du droit considère comme le premier code de loi, le plus ancien, c’est la stèle de Hammourabi. Pierre : basalte noir. Date de 1750 avant notre ère milieu 18e siècle. Il y a avant 1750 d’autre code qui figure de la même manière sur d’autre monument. On a choisit celui la car il est complet et organisé. On trouve sur ce document, un peu moins de 300 articles, qui concerne

son nom. Ce berceau de la civilisation possédait un droit très élaboré et en avance même sur des droits beaucoup plus récents. 1-Parmi les textes de ce droit nous trouvons les textes juridiques les plus anciens connus. -Le code d’Ur Namu (2050 av-JC) : Ce code d’Ur Namu est dans le sens de recueil de disposition pendants les jugements. C’est le texte juridique le plus anciens connus dans le monde. Il n’est pas complet, des fragments ont été retrouvés en 1952. Ils comprend des dispositions

comparé au Droit moderne. S’il s’agit d’un Droit imprégné de religion c’est parce que par exemple le Droit Mésopotamien se considère comme une révélation : le Code d’Hammourabi, roi de Babylone qui a réunifié la Mésopotamie en 1750 av JC, proclame le respect envers le Dieu Shamash (le soleil et la justice) qui avait lui-même dicté le code au roi. Dans ces sociétés le Droit s’approche plus de la morale et a un but de conservation sociale. L’ordalie est aussi un signe de l’imprégnation religieuse puisqu’il

législatifs et de tablettes (lettres officiels). Dans les droits orientaux, il n’y a pas de systématisation, se sont des droits casuistiques, c’est à dire au cas par cas. Il n’y a donc pas de traité dogmatique, exposant les principes généraux. Le nom de code est sujet à caution pour ces droits anciens = codifications énumérations. Exemple : Babylone : les règles portaient un nom : les jugements de droit Exemple : Chez les Hébreux : « Torah » signifiait la direction, l’enseignement dans le sens de

transit entre occident et orient, elle a donc subie des migrations de peuples. Cette première mise par écrit du droit offre de nombreuses connaissances, avec des mises par écrit de coutumes ou de lois. Chaque peuple mésopotamiens a rédigé un « code » , texte juridique dans lesquels ils sont parvenus pour la première fois à formuler et fixer des règles de droit plus ou moins abstraites. L’unification du territoire s’est faite autour du droit. Arès la phase militaire, imposition de la force

toujours en Mésopotamie, avec l’apparition de codes, de volumes cherchant à regrouper le droit existant dans des documents uniques. Aux environs de 1750 avant notre ère, le roi Hammourabi, roi de Babylone, procède à la promulgation officielle d’un Code, le Code d’Hammourabi qui reste conservé dans une trentaine d’exemplaires par le biais de copies, plus ou moins récentes. Ce droit mésopotamien est particulièrement intéressant à nos yeux car présente le dévoilement des premiers droits antiques, et montre

cunéiformes se présentent donc sous une forme casuistique . Cette forme signifie que se sont des solutions fixés pour un cas d’espèce. Cette caractéristique est visible dans les codes babylonien (pénale). Exemple : l’un de ces codes babyloniens est le code de lipit-ishtar, contient plusieurs dispositions pénales : vole avec effraction , violation de domicile ou même encore la diffamation ; pour tous ces cas la peine prévue est une compo pécuniaire CAD une somme d’argent payé à la victime pour éteindre

Commentaire du CODE HAMMURABI p.19 et 21INTRODUCTION1 Phrase d’accroche Septième prince de la première dynastie de Babylone, Hammourabi (ce qui signifie « Hammu est grand » ou « Hammu guérit ») est le souverain le plus prestigieux de la Mésopotamie ancienne par l'ampleur de son œuvre politique et législative. Son règne de quarante-trois ans (1792-1750) est considéré comme l'âge d'or de la civilisation babylonienne. La découverte de son code par une mission française