Consensus

économies. L’absence de consensus sur la méthodologie pour formuler des propositions économiques positives est particulièrement importante selon Friedman. En effet, la persistance d’importants débats sur les politiques publiques s’explique selon lui par une divergence d’opinions non sur leurs finalités normatives, -souvent consensuelles dans les sociétés occidentales, -mais sur leur capacité à atteindre ces finalités. En d’autres termes, c’est donc l’absence de consensus sur le contenu d’une « économie

qui influencent la capacité des individu à réussir le processus) 1) La magnitude des conséquences L’ampleur des conséquences que pourrait engendrer le choix d’une option. (Grande magnitude= option a plusieurs impact négatifs) 2) Le niveau de consensus social Il renvoi au degré d’accord au sein des parties prenantes à l’égard d’une valeur en particulier et des comportements qui devrait en découler. 3) La probabilité de l’impact La probabilité est proportionnelle aux possibilités qu’il y ait

d’électeur sont autre chose que mes devoirs à l’égard de la communauté à laquelle j’appartiens. « Suivre la morale » c’est bien, oui mais laquelle ? Il n’y a pas de règle visible de ce que peut vouloir signifier « utilité de tous » et encore moins de consensus « social » autour de ce que l’homme doit faire ou ne pas faire. On voit aussitôt le paradoxe : comment la morale pourrait-elle venir de la société ? Comment pourrions-nous nous contenter d’obéir à la société si de toute manière elle est divisée contre

la réunion Des participants passifs, trop discrets ou distraits, conduisent à des luttes d'influence sur les temps de parole, ce qui déséquilibre le débat, ralentit la progression de la réunion et diminue les chances d'arriver à un véritable consensus, aboutissement de la meilleure solution au problème posé. Une animation soporifique crée des apartés entre petits groupes de personnes et un manque d'assiduité pouvant aller jusqu'à l'endormissement de certains participants. Au contraire, une animation

d’une erreur, son savoir ne produit peut être pas un savoir absolu et définitif. Ce n’est pas la réputation ni l’autorité qui produisent les jugements vrai mais c’est la vérité des jugements qui fait l’autorité de son auteur. 2. Le consensus et sa critique Consensus => sens commun l’accord unanime ou quasi unanime sur une idée. => « c’est vrai parce que tout le monde le dit… » Une chose n’est pas vrai parce que tout le monde le pense mais c’est parce qu’elle est vrai que tout le monde devrait

Prophète (PSL) priva la Communauté de l’autorité qui pourvoyait aux innovations nécessaires, la conception religieuse et politique de l’Islam devait conduire à l’exercice du pouvoir par la masse des fidèles. Le consensus devint indispensable.les plus qualifiés pour obtenir ce consensus furent logiquement les Compagnons, les Suivants et leurs Adeptes qui étais tenus pour savants parce qu’ils avaient connu le prophète(PSL).le premier mérite de l’idjmâ’ est de garantir l’authenticité des autres sources ;

mobiliser les autres, c'est avant tout la haine de l'ennemi que la propagande se tarde de stimuler. Mais cet argument là est aussi utilisé pour fédérer l'ensemble de la société. Émergence d'une culture de guerre A – L'Union sacrée et le consensus national L'assassinat du prince hériter de l'empire austro-hongrois le 28 Juin 1914 à Sarajevo est certes l'élément déclencheur du conflit, mais il est la réalisation des tensions dans lesquelles l'Europe baigne depuis plusieurs années. En France

privilèges. Comment donc le droit peut-il obéir à deux lois aussi différentes que celles dont l’une vise la suppression des rapports de force , là où l’autre fait du rapport de force l’essence mme du social . On remarquera d’abord qu’il n’y a pas de consensus sur ce qu’est le bien commun . D’où l’idée des sophistes que le juste n’est qu’une fiction ; n’est juste que ce qui parait tel à chacun , «  l’homme est la mesure de toute chose selon Protagoras » . Est juste du coup , ce qui va dans le sens de mes

le style consultatif, où la direction prend une décision après avoir écouté l'avis des salariés dont le rôle est ainsi reconnu... ce qui évite d'ailleurs un certain nombre d'erreurs ; - le style participatif où les décisions sont prises en consensus avec l'équipe et où la responsabilité des membres du groupe est forte, ce qui aboutit à leur réelle implication. ← Les préoccupations du dirigeant : centrées sur l'homme ou sur la production ? R. Blake et J. Mouton, ont crée une grille d’analyse

logique de l’innovation. Au final l’Org assure de moins en moins l’activité organisatrice, celle-ci est de plus en plus à la charge des salariés et de moins en moins assurée par la direction. Qui dis coordination dit régulation donc consensus. 2) Comment trouver 1 consensus ? Comment les gens arrivent à se mettre d’accord ? a) La théorie de la régulation de JD Reynaud (1989) JD s’intéresse comment l’action collective est possible. C’est un élève de Crozier ; Il traite l’idée ou l’acteur peut agir