Couvent San Marco

Brunelleschi * Ghiberti * Gentile da Fabriano * Monaco * Masaccio * Masolino * Brancacci Analyse d’œuvre d’art L’anonciation de Cortonne, Fran Angelico, détail, partie centrale Détrempe sur bois, 1434, 175X180cm, musée diocésain San Dominico de Cortonne Elle ornait l’un des deux autels de la vierge qui flanquait le jubé (partie qui sépare le cœur de la nef et donc les religieux des laïcs. Peinture importante de la 1ere moitié du 15e, exemple type de la peinture florentine

Brunelleschi était l'architecte préféré de Giovanni, et il l'a choisi pour la rénovation de l’église San Lorenzo, qui tombait alors en ruines.Au moment où il mourut de causes naturelles en 1429, Giovanni, âgé de 69 ans, avait réussi à racheter l'image des Médicis et avait créé une base solide à partir de laquelle la fortune de la dynastie des Médicis allait croître. Il est enterré dans l'église de San Lorenzo à Florence.Giovanni di Bicci de Medici – héritageLes enfants de Giovanni ont engendré les deux

Simplification. Inspiration antique plus que pour les formes. Contraste entre la pierre grise de la colonne, du chapiteau, et le mur blanc. Les parties importantes de l’architecture sont en pierre grise (pietraserena). Brunelleschi, Ancienne sacristie de San Lorenzo, 1420-1428. Cette « ancienne sacristie » est une commande de Côme l’Ancien (première commande des Medicis). Chapelle commencée en 1420. Doit servir de chapelle funéraire pour Jean de Médicis, le père de Côme l’ancien, et son épouse. Les banquiers

des Beaux-Arts, Rennes) ou Job et sa femme (Musée départemental des Vosges, Epinal). - La couleur : une tapisserie de Sonia Delaunay (XXème siècle) ou un monochrome d’Yves Klein (XXème siècle). - La perspective : Fra Angelico, L’Annonciation (Couvent San Marco, Florence, Italie, XVème siècle). - La composition : Diego Velázquez, Les Ménines (XVIIe siècle, Musée du Prado, Madrid, Espagne). Les procédés - Le collage : une œuvre de Kurt Schwitters (XXème siècle). - Le montage et le photomontage : une

« ses expériences mathématiques l’ont tellement détourné de la peinture, qu’il ne peut plus supporter le pinceau {text:bookmark} [23]. » Ainsi, Léonard de Vinci poursuivait bien des recherches plus larges {text:bookmark} [8]. Il séjourne dans le couvent de la Santissima Annunziata en 1501 et reçoit la consécration pour l’esquisse préparatoire La Vierge, l'Enfant Jésus avec sainte Anne et saint Jean Baptiste, une œuvre qui provoque une telle admiration que « hommes et femmes, jeunes et vieux » viennent

primaires[15]. Cette première interprétation de l'hymne fut effectuée au Teatro de Variedades, le théâtre de variétés de l'école publique de Santa Clara[16], situé sur l'actuelle huitième avenue, sur le terrain vague de l'église de Santa Clara contigu au Couvent et à l'Observatoire astronomique, dans le district de la cathédrale de Bogotá[15]. À l'issue de la représentation, l'hymne fut applaudi à tout rompre par le public présent dans les tribunes du théâtre. Les historiens ayant assisté à cet évènement

alors maître-peintre indépendant. Au service de Ludovic Sforza L’Adoration des mages, vers 1481-1482, 246,4 × 243,8 cm, Galerie des Offices de Florence. Ce tableau a été interrompu par le départ de Léonard pour Milan. En 1481, le monastère de San Donato lui commande L’Adoration des mages, mais Léonard ne terminera jamais ce tableau, probablement déçu ou vexé de ne pas être choisi par le pape Sixte IV pour la décoration de la chapelle Sixtine du Vatican à Rome, où il se trouve en concurrence

l'Annonciation. Attention : quand elle tient un rameau d'olivier dans le bec, il s'agit d'un épisode de l'Arche de Noé. Catacombe de Comodille, Rome Catacombe de Saint-Pierre-et-Marcellin, chambre XIII, 4e siècle, Rome Annonciation, Fra Angelico, couvent San Marco, Florence, 14ème siècle. La main du Père (Main droite) Toute puissance de Dieu, action divine. Pour l'élever. Au moment de l'Ascension, on voit parfois la main divine prendre le Christ Catacombe Saint-Pierre-et-Marcellin, Rome, 3ème siècleia

ouvrages "monstrueux et barbares qu'on peut appeler plutôt confusion ou désordre". Brunelleschi et les premiers florentins étudièrent d'abord les monuments de l'art roman dans lesquels ils percevaient un dernier écho des formes antiques : l'église San Miniato admirée pour ses arcs en plein cintre et son décor géométrique, et le baptistère que son plan centré, son décor géométrique et ses mosaïques firent passer jusqu'au XVIIIe siècle pour un édifice antique.  C'est à Rome qu'ils étudièrent les monuments

capacités géométriques dans sa lecture des tableaux. Dans ses manifestations publiques, le peintre dépendait de la disposition générale de son public à mesurer. Il y a plusieurs façons de voir le chapeau de Niccolo da Tolentino dans la Bataille de San Romano de Paolo Uccello : comme un chapeau rond couronné d'un volant, ou comme un cylindre surmonté d'une forme polygonale et rebondie faisant chapeau. Les deux aspects ne s'excluent pas mutuellement : Laurent de Médicis, qui avait ce tableau dans sa