Dialogue social

parcours professionnels possibles. Comme l'ont souligné les partenaires sociaux dans le relevé de discussions relatif aux politiques industrielles de mai 2007, les mutations industrielles, porteuses de fortes conséquences sur l’emploi, sont sources d’incertitudes et d’instabilité pour les salariés. "C’est dire l’importance, dans les branches professionnelles et dans les entreprises, de l’information et de la négociation sociale en amont. Il n’est pas non plus de stratégie industrielle viable qui n’intègre

des changements au sein du groupe et auprès de ses salariés. Ces changements n’ont pas toujours été voulu et apprécié des salariés du groupe c’est pourquoi après avoir accepté plusieurs modifications ils commencent à être réticents, des mouvements sociaux, orchestrés par le principal syndicat commencent à surgir. Ce choix de stratégie risque d’être néfaste pour la cohésion entre les salariés de l’entreprise et cela n’est pas envisageable car la collaboration entres les journalistes est primordiale

cela durant plus de trois ans. Malheureusement, le gouvernement a rompu le contrat de confiance par son refus systématique de respecter les accords signés avec le SAEMSS-CUSEMS. Et ce, malgré les multiples initiatives du Comité National pour le Dialogue Social, de la FENAPES, de la COSYDEP et de l’Amicale des Proviseurs et Proviseurs Adjoints du Sénégal. C’est pourquoi, après trois ans d’attente, le SAEMSS-CUSEMS sur recommandation de ses instances, a engagé la lutte pour réclamer le respect des accords

ENJEUX DEMARCHE GPEC A- Enjeux de l'accord pour l'entreprise ou l'organisation:: Les démarches de gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC) sont prévues par la loi de cohésion sociale du 18 janvier 2005 pour les entreprises et groupes d'entreprises, au sens de l'article L. 2331-1 du code du travail, qui occupent au moins 300 salariés, ainsi que dans les entreprises et groupes de dimension communautaire au sens des articles L. 2341-1 et L. 2341-2 du code du travail comportant

économique. L’un des moyens utilisé est la négociation collective, elle se fait entre partenaire sociaux tout en respectant la loi. I-Les acteurs de la négociation collective  Définition : La négociation collective consiste en des discussions entre les partenaires sociaux pour produire des documents écrit et signés et à appliquer. Les partenaires sociaux bien souvent ont une obligation. Les partenaires sociaux sont de deux types :  L’employeur  Une ou plusieurs organisations syndicales Ils n’ont pas

ensemble des conditions de travail et des garanties sociales applicables aux salariés. Accord collectif → sur une sujet précis (ex : les salaires) Les trois niveaux de la négociation collective (on négocie un contrat qui va s'appliquer aux niveaux suivants) 1) L'entreprise 2) La branche (ensemble d'entreprise d'un même secteur) 3) Le niveau interprofessionnel (champs le plus large) I. Les acteurs de la négociation collective Les partenaires sociaux Représentants des employeurs (capital) L'employeur

contrats territoriaux d) La prime à l’aménagement du territoire (PAT) 2.3.3. Faiblesses et limites des outils de revitalisation 3. 3.1. 3.2. 3.3. 3.4. 3.5. 3.6. 3.7. 3.8. 3.9. Les propositions du Conseil Mieux anticiper les mutations par le dialogue social dans l’entreprise Elargir le champ des possibles pour les salariés Prévenir les difficultés des entreprises PSE : faciliter la négociation des PSE et en améliorer la portée Plus d’anticipation pour les salariés intérimaires ou employés des sous-traitants

développement, mutation ou disparition d’entreprises, de secteurs d’activités… La Gpec territoriale apparaît comme un outil d’anticipation pertinent en réponse aux mutations économiques, elle s’appuie sur un large partenariat et une dimension de dialogue social. Elle doit contribuer à renforcer ou maintenir l’attractivité des territoires à travers la valorisation des ressources existantes, leur correspondance avec les besoins territoriaux, et leur adaptation aux évolutions à venir" De la Gpec à la Gpec

lundis à 11 heures, permet à la direction de préciser les objectifs de travail et les moyens dont disposent les 3 responsables de service. Le bilan des actions menées se fait au début de la réunion hebdomadaire. Soucieux de développer le dialogue social au sein de son entreprise, il a mis en place avec l’aide de Mme JUNGER, une « boite à idées ». Les salariés déposent régulièrement des demandes visant à améliorer la vie au sein de l’entreprise : aménagement d’horaires – dc places de parking

dégradation des relations entre les jeunes et les policiers. Maintenant la police reste parfois distante des jeunes, cela peut être interprété comme une peur de la police vis-à-vis des jeunes mais semble surtout exprimer le malaise et la perte de dialogue social entre les forces de l’ordre et la jeunesse. Pour cela, nous allons raisonner les rapports entre les jeunes et la police dans les banlieues Françaises. Dans un premier temps nous analyserons les rapports entre les jeunes et la police dans les