Dogme

notre existence ? D’où venons-nous ? Qui est a l’origine de l’univers ? Qu’y a-t-il âpres la mort ? Peuvent en effet troubler l’homme puisque indémontrable par la science, il faut bien leurs répondrais. La religion se place alors comme un ensemble de dogme de croyance ayant pour but d’apaiser l’angoisse de l’homme en déroute ; forcer de constater qu’aucune société à ce jour ne peut se revendiquer sans religion ou toutes autres formes de celle-ci. On trouve des sociétés qui n'ont ni science, ni art,

consiste dans son usage en tant que professionnel devant agir. C'est le prêtre prononçant un sermon, c'est l'officier menant ses hommes aux combats. Kant dit de cet usage qu'il ne peut qu'être limité. En effet, le prêtre sur sa chair doit enseigner le dogme, non le détruire ; l'officier qui critique les ordres de son supérieur ne pourra conduire efficacement la bataille. Par contre, dans son usage public, c'est-à-dire en tant que conscience libre, en tant qu'auteur indépendant, on dirait aujourd'hui

intériorité, voire une culture. D'une manière générale, le discours religieux est dogmatique, spiritualiste, conservateur (renvoie à la tradition) et n'est pas empiriste. Dogme : élément d'une doctrine perçu comme une vérité, une certitude. On ne peut remettre en question un dogme à l'intérieur d'une croyance religieuse. Le dogme est opposé au doute. Quelques caractéristiques des discours religieux : Spiritualiste : les discours religieux supposent l'existence d'esprits, d'âmes, d'entités immatérielles

générale dans une Europe en guerre et où la voix de la Curie s’est affaiblie. Le besoin de réaction se fait pressant : les fidèles, restés fervents, se demandent comment croire, et une partie d’entre eux est séduite par la Réforme protestante, au dogme novateur et clair. Pour remédier à cette crise, Paul III convoque finalement le concile (réunion des évêques et archevêques de la chrétienté), en 1545 à Trente, ville impériale du Nord de l’Italie actuelle. La tâche du concile est double : réunir les

condamnée par l'Église. – Par ext. Doctrine qui s'oppose à l'orthodoxie dans toute religion établie. 2. Idée, conception jugée contraire aux idées, aux conceptions généralement admises. Une hérésie scientifique. orthodoxe Qui est conforme au dogme, à la doctrine d'une religion (par opposition à hérétique). Églises orthodoxes : Églises chrétiennes orientales, séparées de Rome depuis 1054, mais restées fidèles à la doctrine définie par le concile de Chalcédoine (451). Rassemblées sous

Pour lui subjectivité = illusion. Le dogme = connotation religieuse. Dogme religieux/ dogme mathématique. Un dogme est ce que l'on ne peut pas discuter. Le dogme mathématique, évident. Religieux moins. Le dogme de la résurrection, personne ne peut le démontrer, c'est inexplicable, indémontrable, il faut donc l'accepter sans discuter, mais cela ne veut pas dire qu'il n'y a pas de sens mais on ne peut pas en déployer les raisons. Connotation péjorative du dogme, car il demande une soumission, principe

sont les nouveaux mots d’ordre. Sécurité, inégalité, individualité, c’est la nouvelle devise. Consomme et tais-toi remplace prie et tais-toi! L’intrusion des dogmes religieux dans les affaires de l’Etat est une calamité. L’imposition de ce nouveau dogme universel apparaît encore pire. Le parallèle entre l’entreprise et l’église est d’autant plus évident que les deux savent parfaitement s’entendre quand il s’agit de s’emparer du bien public. Les journaux financiers sont la Bible des temps nouveaux

Dieu n’est donné comme créateur. Le seul moment où il est cité, est dans : « Dieu merci » : ironique. Dieu n’est cité que pour montrer que Sganarelle ne sait rien. Le seul personnage important, digne de conversion, c’est le Moine Bourru. C’est un dogme, on le pose comme vrai sans le démontrer.  « Il faut croire en quelque chose » : Sganarelle remplace la démonstration par l’injonction. Il fait de la croyance un besoin. Il ne démontre pas mais pose des questions : « Est-ce que vous vous êtes fait

jamais vu le créateur. C'est pourquoi considérer un homme comme sauvage parcequ'il n'appartient à aucun culte religieux, c'est simplement refuser de considérer un sytème dans lequelle nous n'avons pas été élévés, éduqués, et qui pourtant existe. Le dogme religieux a pris une telle ampleur que dans nos sociétés actuelles, nous le suivons par simple habitude. Pour autant, qui peut-on appeller sauvage ? L'inversion hiérachique des rôles à la fin du dialogue n'évoque-t-elle pas le fait que les sauvages

qu'avec les révolutions française et américaine, la séparation des pouvoirs devient à la fois un "lieu commun" et un "dogme" de la pensée politique, tout d’abord un lieu commun car ce principe n'est pas contesté ou critiqué chez les partisans des Lumières. A cet égard, les Constitutions de 1791 et de 1793 organisent de façon très différente la séparation des pouvoirs. Et ensuite un dogme car on arrive à considérer qu'une société qui ne respecte pas le principe de séparation des pouvoirs est inévitablement