Dystopie

célèbre roman de George Orwell, un écrivain britannique · Publication : 1949 · Mouvement/genre : considéré comme une référence du roman d’anticipation, de la dystopie, voire de la science-fiction en général. · Contexte : inspiré du roman russe Nous autres paru en 1920. Le totalitarisme orwellien est très clairement basé sur le système soviétique, avec des ressemblances

l’utilisation de ce style. On retrouve également un petit côté « pop », par la construction assez simpliste du morceau. Côté esthétique, on sent les inspirations culturelles de la science-fiction, avec un côté futuriste/dystopique. On peut définir la dystopie comme un « récit de fiction dépeignant une société imaginaire organisée de telle façon qu’il est impossible de lui échapper », ce qui peut expliquer pourquoi les personnages sont prisonniers. Cet univers s’inspire beaucoup des films futuristes

l'exercice idéologique sur l'exercice utopique, et souvent même le premier esquisse subrepticement en lui, pour sa fortune et pour son infortune, la persistance du second. Au surplus, l'utopie sécrète elle-même son antidote dans la contre-utopie ou la «  dystopie  », c'est-à-dire le discours qui, adoptant la forme utopique, lui confère un contenu allergique aux enchantements fallacieux. L'utopie est comme la prophétie : elle annonce ou évoque, tantôt sur le mode fascinant pour que des choses arrivent, tantôt

organisés par le pouvoir, mais qui présenterait cette organisation comme un simple tirage au sort : la cité parfaite ne peut reposer que sur le mensonge, car seule l’élite peut réellement consentir et agir pour on bien – nous ne sommes pas loin des dystopies décrites par Orwell ou Huxley. Pour expliquer combien les philosophes sont différents des autres hommes, et combien il est impossible que leurs intentions soient comprises par le reste de leurs concitoyens, Platon développe un mythe, ou une

exigeante mais le sport à W est poussé aux sévices des vaincus. Il y a des mises à mort dans le 100m => par exemple P147 à 148. Plus certains sont heureux plus d’autres sont malheureux =:> solidarité à l’envers, interdépendance inversée. Ici c une dystopie. Cadavres sont même suspendus et dépecés. => c à la x inéluctable et imprévisible. Il faut de l’injustice systématique pour mettre du piment dans les course et pour développer la lutte. On voit que les règles sont modifiées arbitrairement =>

l’argent en publiant des articles sur le sujet mais partagent aussi l’idéologie à travers la lecture et la critique qu’ils font. Le livre a pour fonction la pérennité puisque George Orwell n’était bien sûr pas le premier écrivain à emmener l’idée de dystopie dans la littérature. Le conflit mis en place par la publication de ce livre se retrouve entre les gouvernements, qui jouent le rôle de conservation, et l’auteur, qui joue le rôle de contestation. Dès sa publication, le livre apporta la controverse :

Paris futuriste qui sera bientôt le théatre de la fin du monde. Avant que ne surviennent les troubles de l'électricité qui seront le support narratif de la catastrophe, le roman est une étude sociologique d'anticipation, oscillant entre utopie et dystopie. Le monde de demain tel que Barjavel l'entrevoit est alors fortement versé dans la technologie. Bien que l'usage excessif des machines qui en rend ses utilisateurs dépendants provoquera les effets de la catastrophe qui vont suivre, la technologie

supériorité française, catastrophes (la Mort de la Terre de Rosny ainé en 1910), savant fou (le Docteur Lerne de Renard en 1908). Le roman d'anticipation ne connaît pas que l'utopie : le Meilleur des mondes et 1984 sont des exemples célèbres de dystopies. La Grande Guerre démontre que la science peut aussi être destructrice et porte un coup fatal à la science-fiction à la française. Malgré quelques tentatives dans l’entre-deux-guerres, il faut attendre les années 1950 pour voir resurgir significativement

qui, en organisant à la fin des années 1990 une réduction forcée du temps de travail pour mieux le partager, a finalement appauvri les revenus des ouvriers les privant de la jouissance de ces loisirs. 9 10 11 Cette vision pourrait rappeler la dystopie de La Cité du soleil de Tommaso Campanella (1623). Il faut attendre les accords du Latran signés en 1929 par le pape Pie XI (1922-1939) et Mussolini, pour régler la « question romaine ». La création de l’État du Vatican, par un point d’ancrage

peut inclure dans le genre littéraire de la science-fiction, plus particulièrement ou de l'anticipation. Il fut publié en 1943, et fut rapidement suivi par Le Voyageur Imprudent en 1944. Le cadre spatio-temporel du roman place le lecteur dans une dystopie (une contre-utopie) durant l'année 2052. Bien que l'auteur n'ait pu se projeter dans le domaine informatique ou électronique (son roman étant paru en 1943), le récit présente une société mécanisée au maximum où tout est automatique, où les êtres