Falstaff

Misanthrope ? Les personnages de bouffon dans les drames de Shakespeare sont porteurs d’une vox populi et qui, sous le couvert du grotesque inhumain et donc inatteignable, peuvent se permettre les pires insolences et libérer le rire censuré. Falstaff fait résonner son rire dans Henri IV et ouvre la voix à tous les héros du drame romantique. Le rire se fait grimace. Les aspects comiques ne servent décidément pas seulement à faire rire. Est-il dès lors judicieux de parler d’aspect comique

le Misanthrope ? Les personnages de bouffon dans les drames de Shakespeare sont porteurs d’une vox populi et qui, sous le couvert du grotesque inhumain et donc inatteignable, peuvent se permettre les pires insolences et libérer le rire censuré. Falstaff fait résonner son rire dans Henri IV et ouvre la voix à tous les héros du drame romantique.   Le rire se fait grimace. Les aspects comiques ne servent décidément pas seulement à faire rire. Est-il dès lors judicieux de parler d’aspect comique quand

au programme des CPGE scientifiques et consacrés pour 2010-2011 au « mal2 ». Bréal, page 69, parle de la scène 3 de l’acte V, au lieu de la scène 3 de l’acte IV . Une peccadille. Sauf que plus loin, il est question des débauches de Henri IV avec Falstaff, alors que le souverain dont il est question est en réalité Henry V (personnage éponyme de la pièce de Shakespeare au programme en 2002-203, dans le cadre de « La paix »… et non « La Paix »….). Dérisoire encore le fait de situer Lalley, cadre de

tension mais fait entrer deux termes contradictoires en vibration, marquant l’acceptation joyeuse-amère de leur inséparabilité, la fusion du sérieux et du divertissement, de la sottise et de la dignité où la fille de ferme apparaît en Dulcinée, où Falstaff joue au prince et au vainqueur16.

la fresque l’histoire est racontée, « l’Apollon-soleil » donne un aspect lumineux et moderne à la salle à l’italienne mais les figures (telles que :  Eschyle (Agamemnon), Aristophane (Lysistrata) et Shakespeare (Les Joyeuses commères de Windsor et Falstaff)) de la tragédie et de la comédie rappellent le théâtre classique, ce qui donne au théâtre une atmosphère mêlant avec grâce du moderne et du classique. Ce plafond, comme la salle diffère de l’idée qu’on s’en fait quand on voit l’extérieur du théâtre

personnage, The lady from Shanghaï La dame de Shanghai E F Othello 1952 Confidential report/Mr. Arkadin Mr. Arkadin 1955 R A Touch of evil La soif du mal 1958 Don Quixote (inachevé) 1959 The trial Le procès 1963 Chimes at midnight Falstaff 1966 The immortal story Une histoire immortelle 1967 F for Fake Vérités et mensonges 1974 Filming Othello 1979 N C E SALLE D'ART ET D'ESSAI CLASSÉE RECHERCHE 8, RUE DE LA VALSE 42100 SAINT-ETIENNE 77.32.76.96 RÉPONDEUR : 77.32.71.71

a quattro (1804). Franz Schubert (1797 - 1828), compositeur autrichien, Le Roi des aulnes (1821). Robert Schumann (1810 - 1856), compositeur allemand, Carnaval, op.9 (1834-1835). Giuseppe Verdi (Roncole 1813 - Milan 1901), compositeur italien, Falstaff (1893). Richard Wagner (Leipzig 1813 - Venise 1883), compositeur allemand, Lohengrin (1850). Les mouvements littéraires Romantisme (1820-1848) Le Romantisme est un mouvement littéraire qui prône de laisser largement place à l'expression des

1965, remplace celui de Jean paul Laurens (1888). Le théme central est celui d'Apollon-Soleil. Le peintre y figure quelques personnages mythiques tel qu'Agamemnon, d'Eschyle ; Lysistrata, d'Aristophane ; ou encore les joyeuses comédies de Windsor et Falstaff, de shakespeare. Il y peint également trois colosses exprimants les trois attitudes fondamentales de la vie : jubilation, douleur et méditation. Le salon Roger Blin, autrefois petit foyer, est aujourd'hui un espace de lecture et de rencontre.

centre de gravité qui était auparavant sur le premier mouvement, se déplace sur tous les mouvements (sur le quatrième chez MALHER). Le deuxième élan romantique : de Lohengrin (1850) à Falstaff (1893). Musicalement, cette seconde phase romantique se distingue par la fortune de l’opéra national. Fini le cosmopolitisme de l’époque précédent, finies les confidences au clavier, la prédilection exclusive

Robbins et Robert Wise, adaptation de Roméo et Juliette (1961). Othello, film britannique de Stuart Burge avec Laurence Olivier (1965). Hamlet (Гамлет), film soviétique de Grigori Kozintsev, sur une traduction de Boris Pasternak (1964). Falstaff (Campanadas a medianoche), film américain d'Orson Welles, adaptation libre de Richard II, Henry IV et Henry V (1965). La Mégère apprivoisée de Franco Zeffireli (1967) Roméo et Juliette de Franco Zeffirelli (1968) Hamlet, film britannique