Falstaff

(Emile ou de l’éducation) «  Il faut que le corps ait de la rigueur pour obéir à l’âme…Plus le corps est faible, plus il commande  ; plus il est fort, plus il obéit.  »  SHAKEASPEARE William (Dans la pièce de théâtre Henry IV – phrase dite par Falstaff) «  Je donnerais bien mille livres pour pouvoir courir aussi vite que vous  » SHAW Georges Bernard «  Le seul sport que j’aie jamais pratiqué, c’est la marche à pied, quand je suivais les enterrements de mes amis sportifs  » TABARLY Eric

italien, est Giuseppe Verdi : le choeur des esclaves de Nabucco sera un hymne à toute l’Italie. La trilogie que forment La Traviata, Rigoletto et Le Trouvère comptent parmi ses œuvres majeures mais il atteindra le sommet de son art avec Otello et Falstaff à la fin de sa carrière. Il a insufflé à ses œuvres une vigueur dramatique et une vitalité rythmique inégalées. Dans la deuxième partie du XIXe siècle, Giacomo Puccini, successeur incontesté de Verdi, transcende le réalisme en vérisme. Manon

quand ils jouent leur Tartuffe et portent à l‘échafaud le malheureux Danilo Di Lucas, «rattrapé par la patrouille»: «Quel con!» s'exclame Fignon. «On sait pourtant qu’aujourd’hui, quand on se dope, on se fait forcément prendre», approuve Adam. C'est Falstaff de Shakespeare se jouant des autres avant sa propre chute. De telles déclarations péremptoires permettent aux spectateurs soit de s’énerver contre eux, soit d’opiner bravement de la tête, donc de participer. En cela, leurs auteurs sont indispensables

fossé profond, une carcasseHumaine dont la faim torve d'un loup fugaceVenait de disloquer l'ossature à demi.La tète, intacte, avait un rictus ennemiQui nous attriste, nous énerve et nous agace.Or, peu mystiques, nos capitaines FracasseSongèrent (John Falstaff lui-même en eût frémi)Qu'ils avaient bu, que tout vin bu filtre et s'égoutte,Et qu'en outre ce mort avec son chef béantNe serait pas fâché de boire aussi, sans doute.Mais comme il ne faut pas insulter au Néant,Le squelette s'étant dressé sur son

Fabritius » ; « j’aime tout autant « Richard Cartone », de Dickens… » ; (page 90) « J’ai encore lu un article sur Wagner » ; (page 73) «..c’est pas aussi gai que la maison Tellier de Guy de Maupassant. » ; (page 31) « ..c’est comme le Dieu de l’ivrogne Falstaff de Shakespeare » ; (page 31) « De nos jours, nous sommes loin de la bohème de Gavarni. Il me semble que cette époque la était marquée par plus de cordialité, plus d’allégresse et de vivacité que la nôtre. » ; (page 54) «  Prend le Victor Hugo par

italien, est Giuseppe Verdi : le chœur des esclaves de Nabucco sera un hymne à toute l’Italie. La trilogie que forment Rigoletto, Il Trovatore et La Traviata comptent parmi ses œuvres majeures mais il atteindra le sommet de son art avec Otello et Falstaff à la fin de sa carrière. Il a insufflé à ses œuvres une vigueur dramatique et une vitalité rythmique inégalées. Rossini. effectua des innovations au genre, en enrichissant l’ouverture et les parties instrumentales utilisant davantage de chœurs.

tragédie, ce qui plaira aux Romantiques. Shakespeare a d’ailleurs souvent su avec génie faire ce mariage des tonalités et créer des personnages mémorables. Peut-on alors voir ainsi en la nourrice de Roméo et Juliette un avant goût de ce que deviendra Falstaff ?

Comédie de Lyon 1958 : La Bonne Âme du Se-Tchouan de Bertolt Brecht, mise en scène Roger Planchon, Théâtre de la Cité de Villeurbanne 1959 : Henri IV de William Shakespeare, mise en scène Roger Planchon, Théâtre de l'Ambigu 1959 : Falstaff de William Shakespeare, mise en scène Roger Planchon, Théâtre de l'Ambigu 1959 : La Seconde Surprise de l'amour de Marivaux, mise en scène Roger Planchon, Théâtre Montparnasse 1959 : Les Trois Mousquetaires d'Alexandre Dumas, mise en scène

Au delà de la parodie, il reste qql chose de Shakespeare → au niveau des personnages : Ubu est un gueux qui n'a donc pas le droit d'accéder au trône. Cette ascension d'Ubu va faire penser à tous les bâtards du théâtre élisabéthains : Richard III, Falstaff (dans Henry IV), Macbeth. Mère Ubu : joue à la fois le rôle de Lady Macbeth et des sorcières. Représentation du peuple : il n'apparait que 3 fois (montre qu'il n'est pas vraiment maître de son destin, balloté entre les différents pouvoirs en fonction

dans le Misanthrope ? Les personnages de bouffon dans les drames de Shakespeare sont porteurs d’une vox populi et qui, sous le couvert du grotesque inhumain et donc inatteignable, peuvent se permettre les pires insolences et libérer le rire censuré. Falstaff fait résonner son rire dans Henri IV et ouvre la voix à tous les héros du drame romantique. Le rire se fait grimace. Les aspects comiques ne servent décidément pas seulement à faire rire. Est-il dès lors judicieux de parler d’aspect comique quand