Fatimides

avancés mais ils n’ont pas su se développer ce qui a entraîné leur déclin. Enfin, le monde musulman, lui, n’a pas d’unité religieuse ni politique puisqu’il est divisé en 3 parties : Empire des Almoravides, Empire Seldjoukide et le Califat Fatimide. Il a tout de même fait de nombreuses avancées au niveau des connaissances (astronomie, mathématique et médecine). Les 3 civilisations riveraines vont donc avoir des contacts. Les croisades, expéditions militaires contre les ennemis de

VIIe aux mains des musulmans, disciples du prophète Mahomet. Ces derniers avaient jusque là toléré les pèlerins, en abusant de la situation car ils exigeaient la plupart du temps l'acquittement d'un tribut. Mais la situation s'aggrave lorsque les Fatimides (dynastie musulmane qui règne en Afrique du Nord, en Égypte puis au Proche-Orient) prennent la ville sainte en 996. Le Saint Sépulcre est détruit et l'arrivée des turcs musulmans en 1078 bouleverse encore cet équilibre précaire : la destruction du

catapulte. Contrairement a la Grèce il y a dautres civilisations qui nont pas eu la chance davoir un progrès copntinie de la scinece. Dans le moyen orient il y a vait 3 royaumes riches et en pleine rivalité Ces royaumes étaient les ommeyyades, les fatimides et les biuyide ces trois royaumes étaient en rivalité et avaient un bon rapport avec l`économie. Par la suite ils connurent une chute de léconomie acause de la compétition de l`économie avec les chinois, les indiens et les européens. Quand l'empire

centrale, quant à lui, est bien différent étant de tradition islamique. C. Le plafond de tradition islamique à la fois pôle religieux et royal Un plafond dont l’identification des auteurs reste un sujet de débat, des artisans originaires d’Egypte fatimide ? influencés par ces derniers ? des descendants de conquérants d'origine iranienne, soit des artistes iraniens seldjoukides (tribu d'origine turque qui gouverne autour de l’Iran et l’Irak actuelles) ? des iraniens de culture sassanides ? des arabos-musulmans

territoire auquel sont subordonnés le comté d’Édesse, la principauté d’Antioche et, plus tard, le comté de Tripoli. Le danger militaire immédiat d’une contre-attaque musulmane est écarté en 1099 : vainqueurs de la bataille d’Ashkelon contre les Fatimides du Caire, les croisés peuvent se soucier d’organiser le royaume et de transformer Jérusalem, et d’abord d’en prendre possession religieusement. 5 Jérusalem redevient alors un lieu de pèlerinage, avec les conséquences démographiques

arabo-orientale. Le rayonnement ultérieur de Kairouan et de Cordoue ramène rapidement le Maghreb, dès les IXe et Xe siècles, vers la tradition sunnite – sans oublier cependant, dans l’est de la région, l’épisode chi’ite correspondant à l’apparition du Califat fatimide. Les Berbères – qui se sont débarrassés de la domination des conquérants arabes tout en adhérant à l’Islam – n’hésitent pas cependant à choisir comme fondateurs des royaumes qui voient alors le jour des chefs venus d’Orient : Ibrahim ibn Aghlab

monde arabe et attire d'éminents scientifiques et théologiens. Le royaume du Maroc étend régulièrement ses frontières mais se retrouve menacé par la puissante dynastie des Fatimides à l'est. Indiqués califes de Cordoue au début du xe siècle, les Idrissides subiront également au nord la pression des Omeyyades. En 985, les Fatimides et leurs vassaux d'Algérie poussent les Idrissides à se réfugier en Andalousie. Dès le milieu du xe siècle, l'affaiblissement des Idrissides du fait non seulement des pressions

demanded equal rights with Arabs. The Shi'a supported successors of Ali and family members of the Prophet as the only legitimate Caliphs. They spawned several related political and religious movements including the Isma'ili sect, the Carmathians and the Fatimid movement and dynasty. A central belief of the Shi'ites relates to the coming of a special leader, the Mahdi, the Muslim equivalent of the Jewish and Christian Messiah. The majority of Shi'ites recognize a line of twelve leaders, or Imams  beginning

(oncle de Saladin) officier dans son armée[5]. La conquête de l’Égypte[modifier] En 1163, Nur ad-Din, le fils de Zengi, envoie Shirkuh rétablir Shawar au vizirat. Nur ad-Din, sunnite, était peu enclin à intervenir dans les affaires du califat fatimide chiite, mais il ne peut pas se permettre de laisser les Francs occuper le pays. La première expédition se termine par un demi-succès, Shawar est rétabli, mais n’a pas versé les indemnités à Shirkuh. En 1167, une seconde expédition est envoyée en

demi-siècle qui suit, sa famille crée une dynastie stable : les Fatimides. La dynastie avance vers l’est en direction des territoires abbassides et occupe l’Egypte en 969. Elle s’étend ensuite en Syrie, mais perd la Tunisie. Les Fatimides ont pris à la fois le titre d’imam et celui de calife. Ils revendiquent une autorité universelle sur les musulmans et leur Etat devient un foyer de rayonnement missionnaire. Longtemps après que l’Etat fatimide a cessé d’exister, les communautés créées par eux continuent