Gottfried Wilhelm Leibniz

a intention, s'il y a finalité, elle relève d'un être transcendant. Il y a donc division entre une nature dont l'étude incombe au physicien, et Dieu qui fait l'objet du discours du théologien. Mais déjà à la fin de ce même siècle, quelqu'un comme Leibniz, nie que la matière puisse se réduire à la géométrie. Un concept physique et métaphysique central de sa pensée est celui de force : "Il y a, dans l'intimité de la matière, la force elle-même ou puissance d'action, qui fait le passage de la métaphysique

Introduction : La mort désigne l'achèvement de l'existence. La vie c'est être là, vivre. Le sens est quelque chose que l'on peut comprendre, a un sens ce qui n'est pas absurde, ce qui suit un sens rationnel. A un sens ce qui a un but, la raison d'être vient justifier notre existence. Problématique : La mort fragilise, hante l'existence, ce qui entraine que tout projet dans l'existence peut se heurter à l'obstacle de la mort et à partir de là, on a l'impression que notre vie ne sert à rien

l’intolérance, qui écrit en 1759 Candide ou l’optimisme, une œuvre philosophique qui dénoncera la guerre, l’intolérance religieuse, l’absolutisme politique, les privilèges aristocratiques, les injustices, la traite les esclaves noirs et l’optimisme (de Leibniz, par exemple). Candide voit le monde selon la philosophie qui lui a été enseignée dans le château où il vit, dans la Westphalie, par Pangloss, qui pense que tout est au mieux dans le monde, puisque c’est Dieu qui l’a créé, donc, il est le mieux

politiques, humanistes et philosophiques, et cela à travers son invention d’une nouvelle forme littéraire, un détournement du conte merveilleux: le conte philosophique. Ainsi, avec Candide, Voltaire critique l’optimisme et s’attaque au raisonnement de Leibniz tout au long de son oeuvre, montrant son oppostion aux théories de ce dernier. Nous nous attarderons sur le chapitre 3, qui marque les premières aventures de Candide dans le “meilleur des mondes” qu’il va enfin être capable de découvrir lui même

philosophique du XVIII° siècle écrit en prose. L’œuvre comporte 30 chapitres courts. Cet ouvrage s'inscrit dans un débat important du XVIII° siècle sur le fatalisme et l'existence du mal. Voltaire est opposé aux idées du philosophe Leibniz au sujet de Dieu. Pour Leibniz, Dieu est parfait, le monde ne peut pas l'être mais Dieu l'a créé le meilleur possible. C’est cette croyance que l'on appelle l'optimisme leibnizien. Voltaire voit dans cette philosophie un encouragement au fatalisme. Dans Candide

mondes possibles ». Le bonheur est présent ici sous deux apparences que nous allons appeler phases. La première est celle de Pangloss, maître de philosophie de Candide. Cette apparence du bonheur se dresse en face de la philosophie de l’Allemagne Leibniz (1646-1716) centrée sur l’optimisme qui est une attitude de ceux qui ont tendance à prendre les choses du bon côté. Il intervient ici une certaine métaphysique. Aussi disait-il (Pangloss) « tout les évènements sont enchaînés dans le meilleur des mondes

l'optimisme et de Leibniz : Derrière Pangloss se cache Leibniz qui est un philosophe à peu près contemporain de VOLTAIRE et dont la thèse est : Dieu a crée le monde le plus harmonieusement possible (mais ce monde n'est pas parfait) " Pangloss " du grec : parle sur tout ou tout le temps détourne les propos de Leibniz : * abuse du jargon scientifique dans ses discours : "il est démontré", "aussi", "et", "si", "donc", "car", "par conséquent". * sort de leur contexte les paroles de Leibniz, aboutissant

ainsi être multiples : Qui est Candide ? Pourquoi ce sous-titre ou « l’Optimisme » ? A quoi celui-ci fait-il référence ? Quelle est la position de Voltaire (véritable auteur) sur cette théorie très débattue à l’époque notamment par le philosophe Leibniz ? Ce premier chapitre, en nous présentant des personnages pour qui tout semble aller bien paraît faire écho en effet à cette théorie du bonheur. On peut alors se demander dans quelles mesures l’extrait qui nous est proposé rempli les fonctions

personnage Pangloss. Pangloss : Pangloss est l'oracle du château de Thunder-ten-tronck il enseigne la métaphysico-théologo-cosmolonigologie à travers ce métier voltaire fais penser que Pangloss est un vrai nigaud. Pangloss soutient une théorie leibniz «  tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles» même si celui-ci fait fasse à des mésaventures toutes plus horrible que les autres il soutient cette théorie et à la fin du livre tous le mondes a changer d'avis sauf Pangloss qui soutient

Candide s’attache à l’ensemble de ses préoccupations. 1) La Métaphysique Dans Candide, on a la présence d’un débat métaphysique sur le bien et le mal. Son titre, Candide ou l’optimiste, évoque les thèses des penseurs du 17 et 18ème siècle comme Leibniz ou Pope. Pangloss et Martin personnifie l’un l’optimisme, l’autre le pessimisme. Le premier insiste sur «la raison suffisante» et l’enchainement logique des évènements. L’autre relève de l’idée du manichéisme, théorie selon laquelle le bien et le