Harmonie imitative

hurlait. » -personnification de « la rue » qui renforce cette idée de sonorité qui obsède le poète, ainsi que le verbe « hurlait ». -assonance en « ou » et allitération en « r » et « s » qui évoque ce dont le poète parle : décor sonore, harmonie imitative… 2. Une rencontre soudaine. -Le début du vers 2 jusqu’au début du deuxième quatrain offre une totale opposition avec ce bruit assourdissant avec la passante qui va occuper toute l’attention pendant quatre vers : « Une femme passa, d’une

allitérations : le retour insistant d'un même son consonantique (consonne) à l'intérieur du vers constitue une allitération. harmonie imitative : effet de style consistant à utiliser certaines combinaisons phonétiques (allitérations et assonances) de manière à imiter les bruits réels évoqués par le poème : choc, sifflement, écoulement, craquement, tintement, etc... harmonie suggestive : on appelle parfois ainsi l'effet de style précédent lorsqu'il vise non à imiter un bruit précis mais à provoquer

entre perceptions sensorielles elles-mêmes comparables à ds correspondances entre les éléments de la nature (échos, confondent) | Comme de longs échos qui de loin se confondent | K D L K K D L K D O ON O ON ONAllitérations + assonances | harmonie imitative: échos qui répètent l'idée des correspondances | ténébreux, nuit, clarté, échos, sons | interactions sensations auditives et visuelles | correspondances horizontales | Les parfums, les couleurs et les sons se répondent | reprise de la correspondance

les | |sons se répondent | |éléments de la nature (échos, confondent) | |Comme de longs échos qui de loin se |K D L K K D L K D |harmonie imitative: échos qui répètent l'idée| |confondent |O ON O ON ON |des correspondances | | |Allitérations

-> pluriel + répétition de « puis » + allitération en « f » -> caractère circulaire du temps - Anaphore « sur la face » au vers 6 + répétition du même son au début de chaque mot dans les deux hémistiches + allitération en « f » -> crée une harmonie imitative La Nature : beauté - nature personnifiée : soleil se « couche », « face », « front » « rajeunissant » - nature capable d’action : verbe « prendra » « donne » - vocabulaire laudatif : « argent » « joyeux » « immense et radieux » « fête »

l'engagement - Le poème exprime de manière claire un refus de l'engagement aux vers 21-22 : L'Émeute, tempêtant vainement à ma vitre, Ne fera pas lever mon front de mon pupitre ; On note l'allitération en "t", sonorité sèche et sonore, une harmonie imitative faisant référence à la frappe de l'Émeute sur la vitre. Notons enfin que l'Émeute fait référence à un contexte historique précis ; il s'agit de la révolution de février 1848, proclamation de la Seconde République.

des syllabes (vers pairs/impairs, « e muet »…) et des pauses (césure, enjambement …) . Elle utilise également les reprises de sons dans un ou plusieurs vers, le jeu de refrain (ballade) ou la correspondance entre le sens et le son avec les harmonies imitatives ( « Qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes » Racine ) ou les rimes sémantiques (automne/monotone). Si la poésie présente une forme musicale c'est avant tout car avant d'être écrite elle était chantée, comptée par des troubadours

• Brièveté, densité narrative => Rythmée, haletant de manière à éviter toute forme d’ennui • Versification : La Fontaine va la versifier et transformer la fable en poésie lui apportant : ¤ Musical : échos phoniques, harmonie imitative ¤ Mnémotechnique : mémoriser => Fantaisie dans les rimes n’obéissant à aucun code • Recours au registre merveilleux ~> « Une morale nue est un ennui. Le conte est le précepte qui va avec. En ces sortes de feintes :

ce qui marque la rupture, l’accident : « une sorte de promontoire au-delà duquel la pente se casse et se déchiquette en rochers brisés » Cette image est renforcée par les allitérations de consonnes dure en [q] en [r] et en [t] qui créent une harmonie imitative. D’autre part ce paysage est caractérisé par un champ lexical de l’évanescent, de l’indistinct : « Le grand paysage des plaines étrangères qui somnolaient indistinctes sous des lambeaux de brouillard », « les lointains aux pâleurs bleutées »

strophes suivantes, le bateau entamme un voyage plus cahotique, le rythme des vers s'emballe. Le rejet expressif du vers 11 met en valeur le verbe d'action " je courus " qui exprime ici le mouvement et la violence de la houle . De surcroît , une harmonie imitative du navire balloté par les vague est montrée par les allitérations en b-t-b ainsi que les asonance en u du vers 12 .Paradoxalement une impression de glissement est mise en evidence par les enjambements du vers 9a10 , 11 a 12 et 13a 14 . L'alternance