Harmonie imitative

"o" sonne choc, tombereaux -sons en "on" gonds, ombres, font, fourgons : sons sourds => chocs -sons en "ss" glissant soudain... harmonie imitative => le glissement v1 répétition de sons : lourd est répété dans fourgon = repété le son, notion de pesanteur. Les sons "on" qui rappellent les chocs évoqués (=insonnance). Alitération en "ss" : harmonie imitative qui imite le glissement répétition de lourd et fourgon pour accentuer l'idée de pesanteur. Absence des humains. -"Sous-sol de feu"

Les figures de mots  L’allitération « Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes ? » (Racine) L’allitération consiste en la répétition de la même consonne. Les allitérations suggèrent généralement un bruit (par harmonie imitative, en l’occurrence le sifflement du serpent) ainsi qu’un sentiment (ici, le mépris, la moquerie).  L’assonance « Il pleure dans mon cœur Comme il pleut sur la ville. Quelle est cette langueur Qui pénètre mon cœur ? O bruit doux de la pluie

un effet de surprise dans les tercets. Allitération en R dans les vers 3 et 4.  Effet de roulement. Quand le son donne à entendre ce qui est dit, c’est une harmonie imitative. 2ème quatrain : allitération en R dans liée à l’assonance en R liée à l’assonance en é. Tercets : assonance en I = surprise, sollicitation. Voyelles nasalisées = harmonie. Malgré une inspiration peu originale, le sonnet marque l’ambition de Du Bellay : redonner à la langue française ses lettres de noblesse : Par la richesse

|allitérations [l] (v.5-6 ( harmonie imitative : roulement des « houles », v.9-10 ( harmonie | | |Seul indicateur temporel : « longtemps » ( moment non délimité dans le temps |suggestive : « voluptés ») | | |Passé composé : « j’ai… habité », « j’ai vécu » ( moment non défini exactement, encore en lien |assonances [a] (tout le texte, harmonie suggestive ( plaisir

l'apathie et la somnolence 'traduites. elles, par des sonorités sifflantes comme au vers 5 par exemple : rf Là, sans me soucier des guerres détalée )). De même, les sonorités ouvertes en IL an )) et Lf a p du premier vers évoquent le bâillement en harmonie imitative. . Mais, au-delà de ce tableau, le poète cherche aussi à frapper les esprits par ses j ' $ mots. Ainsi en est-il du premier de accablé )) qui dénote un affaiblissement du corps et : ., de l'esprit tout ensemble. Son sens paraît renforcé

l'hémistiche pour le mettre en valeur. -contre-rejet: consiste à placer un élément d'une phrase à la fin du vers précédent. -occlusives: p,t,k -fricatives: f,s,ch -soufflante: v,f -sifflante: s,z -harmonie imitative: des sons par leur répétition imitent le bruit dont on parle. -harmonie suggestive: sons suggèrent sensation et sentiment -assonance: répétition d'un son vocalique -allitération: répétition d'un son consonantique -hiatus: rencontre d'une voyelle finale d'un mot avec une voyelle

aux lecteurs l'impression d'une temporalité linéaire. Ordalie : c'est un ancien mode de preuve en justice, aussi appelé jugement de Dieu. Il consiste à soumettre le présumé coupable à une épreuve dont l'issue détermine sa culpabilité. Harmonie imitative: répétition d'une même consomne ou d'un voyelle qui imite un son de la réalité. Le [ S ] qu'on trouve dans "chasse", "moucheron", "couchant", "coroboré" par [s] intitule le son du coléoptère. Assonnance : Répétition d'une même voyelle

enjambement permet d’atténuer la pause à la fin du vers. La strophe est écrite sous la forme suivante AbAbCCCb. Nous avons tout d’abord des rimes croisées AbAb et ensuite des rimes embrassées bCCCb Ces rimes embrassées et croisées apporte une harmonie sonore aux textes. ??? Nous retrouvons différentes rimes dans cette strophe. Tout d’abord il y a la rime entre lointaines et plaines qui constitue une rime suffisante par la répétition de deux phonèmes : {ai} et {n}.La rime entre « décroît »

une scène classique, banal en automne : « Les cerfs ont bramé ». Le passé composé souligne le caractère révolu de leur chant d'amour rauque. Les assonances en [è] et [é] (« Aux lisières lointaines / Les cerfs ont bramé ») joue le rôle d'une harmonie imitative suggérant cette longue plainte des cerfs. Ces deux vers, correspondant à  la 3ème strophe très brève du poème, constituent une sorte de ponctuation du poème. Toute la nature est en attente, attente triste d'un destin inéluctable : « Le vent

longueur non fixe −→ impression d’incertitude, de divagation renforcée par des comparaisons/analogies mystérieuses et obscures phrases « coupées » (enjambement) entre deux vers. → maintient l’impression de flottement, d’incertitude omniprésence du son −→ harmonie esthétique, son associé au « beau » → parallèlement, l’agressivité et la laideur exprimées également grâce aux sons (notamment grâce à des verbes) ensuite, prépondérance de l’aérien −→ sorte d’harmonie divine, mouvement homogène, continu → encore