Hémorragie

 Soins auprès d’un patient atteint d’une péritonite 1)Objectif général : L’objectif général à ce jour étant de soulager les douleurs de Mr X et éviter les complications dues à la chirurgie. 2) Problèmes en collaboration : Douleur : Liée à l’intervention, au conteste (stress), et aux différents dispositifs médicaux . Se manifestant par des grimaces, polypnée, ne trouvant pas de position antalgique , EVA à 5 . Traitée par perfalgan 1gx4 par voie IV 24h Par Topalgic en débit continu

Le virus de la famille des filovirus tient son nom d'une rivière qui coule aux abords d’une petite localité du nord de l'actuelle République démocratique du Congo. C'est là qu'en 1976 est identifiée, pour la première fois, cette fièvre hémorragique. Elle fait alors 318 morts dans cette zone, et 284 autres au Soudan, où un autre foyer est découvert simultanément. Redouté de la population, pour ses symptômes effrayants (vomissements, eruptions cutanés, diarées, insuffisance rénale, hémoragie

Lors de mon stage en médecine à orientation diabétologie et addictologie, j’ai été amené à effectuer à une patiente un prélèvement sanguin de type INR pour le suivi du taux de coagulation sanguine car elle est sous anti coagulant du fait de son alitement prolongé. Cette patiente est âgée de 69ans admise des suites d’un accident vasculaire cérébral hémorragique massif. Ce soin est en lien avec la compétence 4 « mettre en œuvre des actions à visées diagnostic et thérapeutique » et le C6 « communiquer

en AVK (INR=2) Evolution : Admise pour hémorragie digestive basse + épistaxis : plaquettes = 66000/mm3.   Syndrome hémorragique multi focal imputable à une thrombopénie liée à une leucémie myélo-monocytaire chronique diagnostiquée durant son hospitalisation (découverte d’une augmentation des leucocytes : 23 300/mm3). Pas de traitement car risque d’aggravation de la thrombopénie. Chute le 26/02/12 à hématomes cutanés spontanés (jambe gauche) + hémorragie méningée + hématomes sous duraux entrainant

être atypique par ses caractéristiques (brulure, sensation de mauvaise digestion), l’existence d’irradiation (dorsale),association à des nausées ou des vomissements. · REVELATION PAR UNE COMPLICATION : L’ulcère peut se révéler par une HEMORRAGIE DIGESTIVE ou une PERFORATION sans douleurs préalables. * EXAMENS COMPLEMENTAIRES : · Le seul examen à pratiquer est l’ENDOSCOPIE-OESO-GASTRO DUODENALE (E O G D), examen simple de risque nul, réalisé le plus souvent sous A L oropharyngée. ·

cérébro-spinal); Lésions traumatiques du SNC  L'hématome extra-dural ou épidural est un épanchement de sang entre un os du crâne et la dure-mère du cerveau.  L'hématome sous-dural ou hémorragie sous-durale, désigne l'épanchement de sang dans les espaces méningés.  L’ hémorragie sous-arachnoïdienne ( = hémorragie méningée) correspond à l'irruption massive de sang dans les méninges, plus précisément dans les espaces sous arachnoïdiens (entre l'arachnoïde et la piemère).  L’embarrure : Fracture

multiples, toutefois la majorité d'entre eux est asymptomatique. Elles correspondent à la principale indication d'hystérectomie en phase pré-ménopausique. Le risque de dégénérescence est très faible et hypothétique. Le lien entre fibrome et hémorragie n'est pas systématique. L'apport de l'échographie est essentiel dans la prise en charge diagnostique. I. Quelles sont les circonstances dans lesquelles le diagnostic de fibrome est évoqué ? Les circonstances sont multiples : 1. Il est important

Lésions extra cérébrale : hématomes extra duraux Lésions nerfs crâniens (olfactif, oculomoteur, optique) lésions par : compression, section Lésions cérébrales : contusion au point d’impact et « contre coup », contusion hémorragique intracérébrale (hémorragie méningée ou ventriculaire) I. Examens clinique Interrogatoire : nature du traumatisme circonstance de l’accident évolution de la conscience : perte de connaissance initiale, intervalle libre de lucidité notion des antécédents médicaux

- traumatiques : hématome sous-dural ou extra-dural, contusion cérébrale, hémorragie méningée ou ventriculaire, hydrocéphalie - vasculaire : AVC ischémique ou hémorragique, hémorragie méningée, thrombophlébite cérébrale - infectieuses : méningite bactérienne, encéphalite herpétique, paludisme, toxoplasmose et cryptococcose chez l’immunodéprimé, tuberculose - tumorales : le coma survient alors par convulsion, hémorragie intra-tumorale et/ou engagement. • état de mal épileptique convulsif ou

artère bouchée par un caillot de sang, bloquant ainsi la circulation sanguine, provoquant ce qu'on appelle un AVC ischémique ou infarctus cérébral (80 % des AVC) - la rupture de la paroi d’une artère ce qui déclenche une hémorragie intracérébrale (15 % des AVC), - une hémorragie méningée, le plus souvent causée par la rupture d'une malformation vasculaire congénitale (qui représente 5% des AVC.) L'apoplexie ou attaque d'apoplexie est en fait un effet visible de l'AVC correspondant à une perte de