Idée Universelle Kant Cosmopolitique

Elle défend les soviets contre le parti unique et restera pour dette raison l’inspiratrice de Hannah Arendt. 7 convaincue du caractère futile de nos petites existences. Il faut plutôt lire ses nombreuses correspondances pour avoir une petite idée de son quotidien. Le 7 août 1952, elle reçoit enfin la nationalité américaine, jusque là elle n’avait été qu’une apatride. Elle repart en Europe et revoit les philosophes Koyré et Whal, sympathise avec Aron et Camus dont elle dit en pensant à Sartre

théologico politique, les normes qui valent dans cet espace ne pourront plus chercher leur détermination dans le religieux. On va essayer de déterminer des règles de co-existence commune en cessant de chercher du côté de la raison de la force. Kant est l’auteur par excellence de l’autonomie. « Réponse à la question : qu’est-ce que les Lumières ? » (fin du XVIIIe, 20 pages). À lire au cours de l’année. Pour lui c’est le passage à l’autonomie. Il définit les Lumières comme la sortie de l’Homme

s’interroge sur le schéma d’analyse des dirigeants communistes : dialectique de la superstructure et de l’infrastructure mais effet en retour, travail possible de la superstructure sur l’infrastructure Louis Althusser : concept de surdétermination : idée selon laquelle il y a une détermination, mais il y a aussi une surdétermination des rapports politiques et sociaux par la superstructure qui est largement débordante de l’activité politique Réhabilitation de la politique, on lui retrouve un sens

|Penseurs communautariens | |Républicanisme post-national |Républicanisme national | |ou cosmopolitique | | |J. Habermas, J.M. Ferry |M. Walzer, M. Sandel, Mc Intyre, Ch. Taylor, D. Schnapper, P. | |

individuelle, mais à la capacité d’action de l’humanité en tant que telle. Or, si la puissance d’un objet concret peut se mesurer en physique ou s’évaluer en politique, qu’en est-il de la « puissance humaine » qui, en tant que telle, nous renvoie une idée aussi abstraite et indéfinie d’une « humanité » dans son ensemble ? Peut-on considérer l’ « humanité » comme un sujet unifié possédant un réel pouvoir d’action ? N’y a-t-il pas au contraire autant de visages de cette même humanité

Leibniz, d’ailleurs, a identifié le problème de la connaissance comme celui de la possibilité d’élaborer un langage parfaitement clair permettant à la science de se développer comme un pur calcul rationnel. Il s’agit d’élaborer une « Caractéristique universelle », ensemble de termes bien choisis permettant de désigner les réalités en elles-mêmes, clairs et distincts. Cours-PH00 181 © Cned – Académie en ligne Ce qui rend possible cela, c’est la rationalité du réel lui-même : les phénomènes sont

des pays défavorisés, et ceci dans une perspective à long terme. -La lutte pour les droits de l’Homme: Un autre angle d’attaque pour diminuer les injustices dans le monde est la lutte pour les droits de l’Homme (définis dans la « Déclaration universelle des droits de l’Homme », ONU, 1948), notamment le respect de la dignité humaine. Cette lutte se fait généralement par dénonciations et pressions sur les politiques, soit de manière apolitique avec des organisations comme Amnesty International4,

activité humaine. Le mot sera donc le même, comme nous le disions, quand la démarche suggérée sera la même, et notre esprit attribuera à des choses diverses la même propriété, se les représentera de la même manière, les groupera enfin sous la même idée, partout où la suggestion du même parti à tirer, de la même action à faire, suscitera le même mot. Telles sont les origines du mot et de l’idée. L’un et l’autre ont sans doute évolué. Ils ne sont plus aussi grossièrement utilitaires. Ils restent utilitaires

politiques qu’elle suscite est symbolisée par la fameuse « compétence universelle » qui, en principe, doit rendre les tribunaux compétents pour poursuivre les auteurs de crimes contre l’humanité et de génocide, quelle que soit l’origine des plaignants et des inculpés, et quel que soit le territoire sur lequel les crimes ont été commis. Ce sont les délicates questions politiques soulevées par la loi belge de compétence universelle qui ont conduit les autorités à renoncer à maintenir en Belgique une

• • La Population : les êtres humains sur lesquels s'exerce la souveraineté de l'Etat, il y a une différence entre nationaux qui ont des droits et des devoirs différents des étrangers. Peu importe le critère le principe de nationalité est universel en Relations Internationales (« lien juridique ayant à sa base un fait social de rattachement, une solidarité effective d'existence,d'intérêt, de sentiments jointe à une réciprocité de droits et de devoirs »). Un Gouvernement : une entité qui