Intuition

Epistémologie « L'espace est une représentation nécessaire, a priori, qui sert de fondement à toutes les intuitions externes. On ne peut jamais se représenter qu'il n'y ait point d'espace, quoiqu'on puisse bien penser qu'il ne s’y trouve point d'objets. Il est donc considéré comme la condition de la possibilité des phénomènes, et non pas comme une détermination qui en dépende, et il est une représentation a priori qui servant nécessairement de fondement aux phénomènes externes. Sur cette nécessité

éclaté » pour Freud : l’ho n’est pas un sujet régi par la seule conscience, son autonomie est une illusion. Les pulsions inconscientes (auto-conservation = plaisir et mort) sont les images que le sujet repousse. « moi superflu » pour Nietzsche : intuition d’une force plus riche, plus profonde que la conscience. «  mauvaise foi » pour Sartre : l’ho écarte ce qui le dérange = inauthenticité entre ce que je vis et ce que j’ai vécu ± pas de liberté. II. La perception 1. Ns met en contact ac

Platon, il s’agit d’«  une opinion droite pourvue de raison  », c’est-à-dire une croyance vraie et justifiée. Connaître reviendrait alors à disposer d’un savoir, d’une vérité. Mais connaître, c’est aussi faire usage de sa raison pour vérifier une intuition. En ce sens connaître s’apparente à «  reconnaître  ». Nous verrons comment ces deux définitions de la connaissance parmi tant d’autres apportent une réponse différente au problème posé. Il convient aussi de distinguer «  une  » connaissance et

"L'homme ne pense jamais sans images" nous dit Aristote (De l'âme, III, 7) => Bien distinguer penser et connaître: connaître c'est déterminer une intuition sensible par un concept. On ne peut donc connaître sans quelque chose sur quoi on s'appuie, sans support sensible, au point que, un concept sans intuition est vide. Une intuition sans concept est aveugle (= Kant). Toute connaissance exige donc un support sensible, une image comme forme sensible d'un objet: la question ne se pose même pas puisque

perceptifs. Or, cette synhtèse est temporelle : c'est dans le temps que la cs se rapporte à elle meme ou a autre chose qu'elle. 3) Si le temps n'est pas une chose, qu'est-il ? Selon Kant le temps n'est ni une intuition (une perception), ni un concept, mais plutôt la forme même de toutes nos intuitions : cela seule explique que le temps soit partout (tout ce que nous perevons est dans le temps) et cependant nulle part (nous ne percevons jamais le temps comme tel). Nous ne pouvons percevoir les choses que

ici qu'on obtient la vérité par le « bon sens », la raison. D'après lui la raison comporte deux facultés l'intuition et la déduction. Nous choisissons parfois des choses par intuition comme quand on nous donne un QCM, une question est posée dont on ne sait pas avec certitude la réponse exact mais nous y répondons par intuition celle qui nous paraît plus juste, alors que la déduction c'est un raisonnement par lequel on analyse les conséquences de quelque chose, je vois des gouttes d'eau sur le pare-brise

s'emploie à déterminer à quelles conditions elle est possible. A cette question Kant répond qu'il ne peut y avoir de connaissance que des phénomènes ayant lieu dans l'espace et dans le temps. Seuls ces phénomènes procurent à notre sensibilité des intuitions, qui constituent la matière de nos connaissances et grâce auxquelles nous sommes en relation avec le monde sensible. La connaissance et l'expérience En un premier sens, toute connaissance commence donc avec l'expérience. Mais cela ne signifie

connaissance rationnelle par concepts, tandis que la mathématique est la connaissance rationnelle par construction de concepts : elle construit ses concepts, c'est-à-dire qu'elle les représente dans une intuition a priori ; or nous n'avons pas d'autre intuition que l'intuition sensible, et pas d'autre intuition a priori que celle de l'espace et du temps. L'espace et le temps sont «les grandeurs originaires uniques», et c'est pourquoi la mathématique ne peut s'appliquer qu'à la grandeur, et au nombre, schème

exige des preuves pour donner crédit aux intuitions du cœur que le cœur exige qu’un sentiment de vérité accompagne les démarches déductives du raisonnement. Ce serait suffisant pour mettre à l’abri le domaine de la foi des redoutables demandes de preuves des sceptiques. Mais cela s’accorderait mal avec le propos qui a précédé : si les raisonnements sont précédés par l’intuition des principes, c’est bien le cœur d’abord, la raison ensuite : le cœur ou intuition est le foyer de l’expérience de la vérité

ramené à lui même et à la durée qui le caractérise. Intelligence et intuition : Opposition entre action et connaissance (comme le prouve la distinction des deux mémoires) avec leurs deux outils respectifs : Intelligence : forme d'adaptation au réel (= instinct chez les animaux), pense l'immobile, la non-durée pour nous permettre d'agir.La science est une forme d'intelligence : a pour but l'action, l'adaptation. Intuition : a pour but la connaissance (« connaissance directe de l'esprit par