Justice Chez Platon

 CHAP 1 / LE DROIT NATUREL CLASSIQUE SECTION 1 / LA PENSEE JURIDIQUE DES PHILOSOPHES GRECS I Platon (428-348 av. JC) Il a initié un idéalisme jugé responsable d’être à l’origine de la pensée totalitaire. Idéalisme = idée selon laquelle tt le réel peut être ramenée à une seule idée. Il cherche une idée de la justice : la philo du droit est plus de la philo morale ou politique qu’une réflexion sur le droit. Postulat : univers = oeuvre d’une intelligence souveraine, idéale

qu'il n'a pas satisfait Platon, le décidant à approfondir sa réflexion sur la justice, donnant ainsi le jour aux autres livres de La République. Socrate évoque une discussion qui eut lieu la veille chez Polémarque, fils de Céphale, entre lui, Glaucon, Thrasymaque, Adimante et leurs deux hôtes. Le vieux Céphale est interrogé par Socrate sur la manière dont il supporte la vieillesse. Céphale répond que la vieillesse est supportable et douce si l'on a vécu suivant la justice, en étant loyal et sincère

même à cette époque → il faut déjà savoir combiner force et justice. A l'âge classique, la Grèce, toujours organisée en cités prend le chemin de la démocratie. l'époque protohistorique, il y a une notion de justice (diké) qui imprègne l'oeuvre de Homère. Quand Ulysse se rend dans un peuple inconnu, il se demande toujours s'il est chez des bandits ou chez des gens accueillants, respectueux des dieux et des lois → notion de themis, la justice renforcée par la piétée (≠ méchanceté). Pour Ulysse, les

Redou Claire 7096983 Redou Claire 7096983 PLATON- La République Traduction de Georges Leroux - Paris, Flammarion, 2002 « La dialectique de la justice » L’objet du texte : Dans l’extrait étudié, Platon cherche à définir la place que doit occuper la justice dans la construction de sa cité idéale. Il s’interroge ainsi sur la définition de la justice dans la cité mais aussi chez l’homme. La thèse : Selon l’auteur, la cité idéale est basée sur plusieurs vertus, nécessaires au bon fonctionnement

aucune loi universelle. Chaque culture, pays, société possède donc sa propre justice avec ces propres lois. Un homme qui obéira donc aux lois de son pays sera considéré comme un homme juste et « bon ». Et pourtant il désobéit aux lois d'un autre pays. Mais suffit-il seulement de les respecter, ou ne doit-on pas penser que d’autres conditions existent ? Est-ce qu’être juste ce n’est pas avant tout se soucier de la justice ? La loi est-elle toujours juste ? Si elle ne l’est pas, être juste n’exige-t-il

Analyse et réflexion à partir de la pensée platonicienne 1. Platon dit que les choses multiples sont vues, mais pas pensées, alors que les formes sont pensées, mais ne sont pas vues. Nous pouvons commencer par définir ce que c’est une forme. Selon Platon, les formes sont les caractères essentiels et généraux des choses, par exemple les traits essentiels de la vertu ou de la beauté qui font qu’un acte est bon ou qu’une chose est belle. Donc, pour définir les formes des choses, il faut réfléchir

Le rôle du politique est-il de faire régner la justice ? Le but de la dissertation c'est de comprendre les concepts. Les mots doivent être toujours redéfinis ! C'est toujours le verbe ou la formulation qui va montrer l'enjeu ! Ici très important faire & régner à séparer. Il faut se forcer à se demander pourquoi on a besoin de ce philosophe. Il faut se référer aux textes précis. Il faut veiller à ce qu'on veut dire à la fin de la copie. Cercle où l'on se rend compte qu'on peut revenir au début

la raison, qui est l’esprit se ressouvenant de lui-même, accepte donc le mythe, faute de mieux, comme un outil pédagogique. Dans la République (III, 414b sq), Platon, pour attacher les citoyens à leur cité, avance « un pieux et noble mythe », celui de l’autochtonie, qui imagine que les ancêtres sont tous nés de la terre, leur mère. Platon se fait souvent le critique d’Homère, de l’imagination désordonnée des poètes ; il dénonce le mensonge de certains mythes — c’est ainsi qu’ici même, il ne dit rien

On peut préférer son opinion à la vérité, car chercher la vérité demande d'abandonner sa tranquillité (Socrate dans l'Apologie de Socrate de Platon) II – On doit préférer la vérité à son opinion, car la connaissance de la vérité est nécessaire au bonheur et à la vertu (Socrate dans l'Apologie de Socrate et le Ménon de Platon) A) Les dangers de l'opinion B) La nécessité de connaître la vérité pour mener une vie bonne III – Peut-on justifier de préférer l'opinion à la recherche

"La République" de Platon - livre IV Commentaire de Texte № 5537 Philosophie Commentaire de texte philosophique visant à mettre en évidence à la fois la singularité et l'importance de la vertu de tempérance dans "La République" de Platon. 2470 mots (approximativement 6.2 pages) | 0 sources | 2007 Résumé: Le passage étudié est extrait du livre IV de "La République" de Platon (430e-431b). Il traite de la tempérance, qui est la vertu propre de l'âme désirante, partie la plus basse de l'homme