La Conscience Sensible Et Intelligible

La conscience La conscience se rattache à la pensée et à la connaissance. Il y a 3 formes de conscience : La conscience immédiate, conscience réfléchie et conscience morale -conscience immédiate= je marche -conscience réfléchie= c’est MOI qui marche -conscience morale= je ne peux pas marcher n’importe où La conscience immédiate c’est donc celle qui se rattache aux animaux, et c’est celle que l’homme doit dépasser. La conscience morale est identifiée à une petite voix intérieure qui

l’identification entre objet et le sujet de la philosophie semble ouvrir une distinction entre sensible et intelligible distinction qui permet de comprendre pourquoi la vie philosophique est la vie humaine. En ce sens philosopher serait de produire des concepts et surtout se définirait comme une science autrement dit un savoir, une manière d’être mais une manière d’être dont le sens est intelligible. Dès lors réinterroger le rapport qui existe entre l’action philosophique et ce que vise la philosophie

cause les fondements, par exemple, de l'organisation politique. Pas étonnant qu'on ait fini par lui faire un procès. Le but de Socrate est d'amener son interlocuteur à prendre conscience de sa propre ignorance. Il veut lui faire découvrir qu'il ignore, en fait, ce qu'il croit savoir. La condition de la recherche, c'est la conscience que l'on ne sait pas. Si l'on croit savoir, on ne voit pas l'utilité de chercher. (Voir le Banquet: la philo y est décrite comme intermédiaire entre savoir et ignorance) Socrate

faites. Il n’y a pas de « prêt-à-penser » en philo, ni en Maç. L’une nous fournit des outils conceptuels, l’autre nous fournit des outils symboliques. Toutes deux n’apportent pas de réponses préconçues ; elles sont davantage une sollicitation de la conscience. La méthode spécifique de l'enseignement en Philosophie est zététique, comme la nommaient les Anciens, c'est-à-dire qu'elle est une méthode de recherche. Ce qui est recherché, ce n’est pas l’acquisition d’un savoir purement théorique

Conscience, perception, vérité L’allégorie de la caverne de Platon, la République {draw:frame} Allégorie : représentation sensible d’idées abstraite. Description : Caverne = prison de l’ignorance/ Obscurité ≠ Clarté de la lumière = Connaissance L’ignorance est l’état initial de l’homme. Les prisonniers sont devant un spectacle d’ombres mais ne le savent pas, pensent que c’est la réalité. Les sens témoignent : ex du soleil qui ne tourne pas autour de la terre. Les prisonniers

NOTION 2 : La Conscience La saisie du réel et les degrés de la connaissance et de la maîtrise de la pensée rationelle du sujet. « Idéalise t on dans la conscience les possibilités du psychisme ou leur assigne t on une perspective et un devoir de développement de nos facultés I) LES MODALITES DE L'INTUITION ET DE LA CONCEPTUALISATION L'analyse initiale de la perception et des conditions de la réflexion. Dans le terme de « conscience », on entend d'abord l'idée d'une maîtrise de

désastreuses qui peuvent découler de l'obstination et de l'orgueil humains. justice divine, le pouvoir des lois non écrites et les dilemmes moraux auxquels les individus sont confrontés lorsqu'ils doivent choisir entre obéir à la loi et suivre leur conscience. 3. La période de Thalès à Socrate marque une transition majeure dans l'histoire de la philosophie grecque. 1. Thalès de Milet est considéré comme l'un des premiers philosophes

l’incarnation. Le corps est là, qui imprime sa pesanteur et leste l’élan de l’esprit. La sensation, les habitudes mécaniques, les tendances inconscientes, la base biologique inconsciente, tout cela tire l’esprit vers le bas et non vers le haut. La conscience, dans l’ignorance, est d’avantage tournée vers la matière que vers l’esprit. Le corps semble porter une lourdeur et une résistance à la connaissance et lester l’esprit d’ignorance. Si s’était un ange que l’on avait représenté et non un homme, il

informations au spectateur. D’une certaine manière, elles peuvent aussi donner une image embellie de la réalité. Dans la République, Platon expose une thèse selon laquelle le monde serait divisé en deux : le monde Sensible et le monde Intelligible. Le Beau appartient au monde Intelligible, il est universel, c’est-à-dire qu’il ne reconnaît pas l’influence de la culture. L’idée du Beau est une réalité immatérielle, éternelle et immuable, située au niveau le plus haut de la connaissance. Cependant, pour

connaissance. Le monde intelligible est celui des pensées, le liens entre des actions concrètes et les pensées est la morale. C'est un système de règles et de normes que l'homme est tenu d'observer. Il devient alors un être moral qui, dans ses décisions volontaires, ne tient pas uniquement compte de son intérêt mais aussi de celui des autres hommes. La conscience humaine n'implique pas seulement une conscience psychologique, qui nous dit «ce qui est» elle se pose également comme conscience morale exprimant