La Conscience Sensible Et Intelligible

langage le pousse à organiser le monde en catégories. Dès lors l'homme ne voit les choses que par les concepts auxquels elles sont reliées. En effet, le langage, en donnant à un objet une catégorie, une structure, le libère de son «  immédiateté sensible », c'est à dire qu'il lui donne des propriétés dues à notre perception des choses et à nos connaissances, brouillant par la même notre perception première de l'objet, ainsi n'exprimons nous jamais véritablement un objet puisque nous parlons plutôt

évidence donné a la conscience et sur le fait de la moral, nous essayons de construire des éthiques, rapidement la distinction entre moral et éthique est très dure . Ethique d’éthos = les mœurs. Moral = morales = les mœurs aussi. L’étymologie ne peut rien apporter. Sur les pratiques philosophiques peut être une différence, des titres d’ouvrage philosophique comme l’éthique a nicomaque ou l’éthique de spinoza, fondement des mœurs chez Kant, des lors que qqchose s’impose a la conscience, qqchose qui vient

les caractéristiques de l’homme « sauvage » est infiniment supérieur à l’homme civil 1. Il rappel au début de ce discours, qu’au fond l’homme de nature est SDF, qu’il n’y a pas de propriété privée, qu’il n’y a pas de communication des consciences et il n’a pas conscience de sa propre existence… Il ne produit que des sons, il est dans un état animal. Il va aussi démontrer que si l’homme est vu dans l’état de nature : l’animalité de l’homme et l’animalité de l’animal n’est pas la même. Car l’homme a une

Wolff la raison est entièrement logique. 1.1 vérités de fait et vérités de raison Leibniz distingue deux mondes: le monde sensible est le monde des vérités de fait ou d’existence. C’est l’ordre des vérités contingentes et donc le lieu du simple possible. Ce monde, selon Leibniz, procède de Dieu par une nécessité ex hypothesi: il est du à la volonté divine. Le monde intelligible est l’ordre des vérités de raison, l’ordre de l’essence, des vérités nécessaires et éternelles. Donc c’est le lieu du réel

des choses sensibles, que nous pouvons atteindre par nos sens. Ce que nous tenons pour réalité. - Le feu : sans lui, nous ne pourrions pas voir les ombres. C’est le pouvoir de penser rationnellement pour découvrir des lois pour nous orienter au sein du monde sensible. - Les objets : source des ombres. Ce sont des concepts (math, physique) qui déterminent des structurent à l’aide desquelles nous expliquons notre expérience du monde sensible. Nous devons abandonner les apparences sensibles. Voir au-delà

lois de a pensée. Les lois logiques sont universelles et aussi importantes que les différentes langues. L’intuition vient du latin in_tueor qui signifie voir à l’intérieur, elle est une vision intérieure. Il y a deux types d’intuition : l’intuition sensible qui est une connaissance immédiate du monde extérieur par nos cinq sens et l’intuition intellectuelle qui est une connaissance immédiate d’une vérité par l’intelligence (débouche sur l’évidence). Une vérité empirique est une vérité que l’on peut

de ma phrase). Ainsi, je cite comme exemple, (je prends votre exemple cher professeur) s'il est nécessaire que de l'eau portée à ébullition s'évapore, toute eau portée à ébullition ne pourra que s'évaporer. Le devoir, tout en s'imposant à notre conscience comme devant être accompli par nous, ce qui est obligatoire n'est pas pour autant nécessaire, au sens ou nous n'aurions pas la possibilité de nous dévoiler : l'obligation morale demande l’aide de notre volonté mais tout en la laissant libre. D’après

NIETZSCHE Paul Valéry a dit une fois que « la conscience règne mais ne gouverne pas ». Nietzsche s’interroge dans ce texte sur la thématique de l’origine de la conscience et sa vraie importance dans la vie humaine. Est-ce que la conscience est une vraie vertu ? Est-ce qu’elle permet aux hommes de se libérer et de s’élever comme individus ? Nietzsche, à différence de la plupart des philosophes dits « classiques », ne valorise pas assez la conscience et ne la considère pas du tout sacrée. Dans ce

se veut lucide, sans illusions, comme le dit l’expression « avoir le sens des réalités ». Donc la réalité est définissable quand un sujet conscient de son existence, admet que la réalité des choses qui nous entourent est une vérité. L’artiste, a conscience de son existence, il représente la vision qu’il a de tel ou tel « morceau » de réalité qui constitue le sujet de son oeuvre ; il crée une manière de la représenter et invente des formes pour représenter sa perception des choses. De là nait un

la pensée et la raison et ainsi découvrir la structure intelligible du monde, qui elle est réelle. La philosophie nous libère ici de l'habitude, de nos préjugés et maintient en vie notre émerveillement en nous faisant découvrir les choses de tout les jours différemment. Après avoir vu que seule la philosophie est capable de nous libérer de nos croyances qui nous tiennent prisonniers de l'ignorance et de l'erreur qu'est prendre le sensible et ce qu'on entend dire autour de nous depuis la naissance