La Notion De Democratie

Rivarol, « Il y a deux vérités qu’il ne faut jamais séparer en ce monde : la première est que la souveraineté réside dans le peuple ; la seconde est que le peuple ne doit jamais l’exercer ». Si la Constitution de 1958 opère une conciliation entre la démocratie et le régime représentatif via l’article 3, elle oppose l’exercice de la souveraineté par le peuple, dépendant de l’initiative du chef de l’Etat, au parlementarisme c’est-à-dire au principe d’un gouvernement issu des assemblées. La question est

écartant le peuple. Et pour écarter le peuple, on dit que le souverain est la nation. La nation est donc vue comme une personne morale, distinct des individus, c'est une nation personne qui englobe le présent, le futur... On va retrouver cette notion dans l'article 3 de la Constitution de 1791, « la souveraineté appartient à la nation, aucune section du peuple, aucun individu ne peut s'en attribuer l'exercice. » Cette théorie a pour effet une indivisibilité de la souveraineté. En effet, la souveraineté

glossaire. Au cours du Moyen-Âge, la démocratie est mise en veilleuse. Toutefois, l’égalité des hommes devant Dieu et l’universalisme judéo-chrétien participent au renouveau de la pensée démocratique. Plusieurs facteurs contribuent également à faire renaître l’idée de la démocratie : le déclin de la société féodale, l’émergence du capitalisme et la constitution d’une riche classe de commerçants capables de participer aux affaires gouvernementales. Ainsi, les notions d’égalité et de liberté des hommes

reconnaître cette qualité. La notion de citoyenneté connaît ensuite une éclipse à l’ère des monarchies : sociétés de privilèges, elles écartent toute participation de leurs sujets à la décision politique. Cependant, la notion réapparaît au XVIIe siècle avec la Révolution anglaise, notamment à travers l’œuvre de Thomas Hobbes, Le citoyen ou les fondements de la politique (1642). Ensuite, tout au long du XVIIIe siècle, les philosophes s’interrogent sur cette notion. À la veille de la Révolution française

communication politique à la communication du politique On fait face ici à l’association de deux mots qui induisent l’idée que l’on parlera essentiellement de la communication politique, or il y a aussi la notion de communication et politique. La communication politique n’est qu’un aspect des notions qui regroupent communication et politique. C’est surtout ici l’aspect visible et actuel de ces relations, mais aussi l’aspect superficiel. Il existe aussi des relations entre communication et politique qui

SUPERIEUR Chaire Unesco des Droits de la Personne et de la Démocratie Chaire Unesco des Droits de la Personne et de la Démocratie Faculté de Droit et de Sciences Politiques Faculté de Droit et de Sciences Politiques ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE UNIVERSITE D’ABOMEY-CALAVI COURS DE REGIMES POLITIQUES DEMOCRATIQUES EXPOSE (Sujet N°1) : L’ETAT DE LA DEMOCRATIE DANS LE MONDE A L’OREE DU XXIème SIECLE L’ETAT DE LA DEMOCRATIE DANS LE MONDE A L’OREE DU XXIème SIECLE THEME : Présenté

déterminante mais qui tendent à s’ammenuir, on parle d’un électeur stratège. L’électeur va se comporter comme un consommateur et ce n’est qu’au dernier moment qu’il va se prononcer = volatilité et donc difficile de prévoir. B) L’abstention Notion qui peut être prise comme le signe d’un mauvais citoyen qui est désintéressé par la vie politique. Mais peut être lu comme un signe de mécontentement ou ne trouvant pas représentations dans les candidats présents pour les présidentielles. La non compétence

Les nations sont-elles indispensables à la démocratie ? 1. La nation, à la fois pourvoyeur et pourfendeur de la démocratie 1. La démocratie moderne est née sous forme nationale 2. La nation : un idéal dangereux pour la démocratie 2. La démocratie aujourd'hui semble se passer de la nation : alors que la concurrence entre les nations et les institutions supranationales modélisent à nouveau la démocratie, nous constatons que des États démocratiques se sont déjà passés

valeur juridique du Préambule B. Comment ? L’adoption, la révision et le contrôle du respect de la Constitution 1°) L’établissement et la révision de la Constitution : a) L’établissement de la Constitution : la notion de pouvoir constituant originaire b) La révision de la Constitution : la notion de rigidité constitutionnelle c) Le problème de la coutume constitutionnelle 2°) Le contrôle du respect de la Constitution : l’effectivité de la hiérarchie des normes a) La diffusion du contrôle de constitutionnalité

reproduction en série, notamment la photographie, entraîne la déchéance de l’aura de l’œuvre et la dissolution éventuelle d’une expérience authentique. 2. Le débat qui s’est instauré depuis sur les industries culturelles se superpose au débat sur une notion qui lui est directement liée celle de « culture de masse ». Roland Barthes au début des années 60 rejoint la pensée de l’École de Francfort en opposant culture de masse et culture cultivée. D’un côté on aurait une culture de la classe des “élites“