La Souffrance Source D Inspiration

(v.3 pluie, barreaux) : entre les deux = vol de la chauve souri Vers 2 : souffrance de l’esprit 2ème strophe : Aggravation, intérieur, cachots (espace qui se réduit), humide = plafonds pourris Image de la chauve souri qui se cogne * Comparaison qui traduit la souffrance avec les participes présents Nos cerveaux : le spleen Araignées dans le cerveau : horreur Rupture : tout à coup Sonorité auditive : souffrance sonore Opiniâtrement : diérèse qui souligne l’effort surhumain. 5ème strophe :

Musset porte un regard lucide sur sa vie passé, le poète désigne paradoxalement la souffrance comme étant « le seul bien » qu'il lui reste. Celle-ci est pour lui une force créatrice qui correspond à l'image du poète romantique. V12, Musset évoque la religion à travers l'image de dieu qui ne l'a pas non plus sauvé de son désespoirs. IV) Problématique et plan détaillé. Comment se développe la souffrances de l'artiste ? I) Les regrets du poète face à la perte de son passé. 1. La

merveilleux, le fantastique, le mystérieux, tandis que l'art antique recherchait la raison, le calme, la simplicité, la noblesse, la clarté. Il tire son nom du fait qu’il s’inspire d’œuvres littéraires, dont fait partie celles de Dante. Il sera une source d’inspiration du romantisme à travers, principalement,: le tragique, la mort et l’amour impossible. A) Le pathétique dans l’œuvre de Dante. Dante à travers la divine comédie, notamment dans « l’enfer », insiste sur le tragique, notamment

rentre en France après dix mois d’absence. Il reçoit alors l’héritage de son père mais son beau-père lui impose un conseil de tutelle, qui le prive de la jouissance de ses biens. Commence alors une existence difficile. Prodigieusement doué pour la souffrance et la solitude, il achève de se fragiliser en s’intéressant au vin et au haschich. Il souffre de plus en plus de la syphilis. Après un séjour de deux ans en Belgique, il est frappé d’hémiplégie et meurt à Paris le 31 août 1867, à 46 ans. Contexte :

pour faire réagir le lecteur. En effet, la poésie permet d’évacuer de nombreux sentiments négatifs, elle est souvent reliée a des sentiments mélancoliques, de désespoir et de souffrance. Par exemple, dans l ‘œuvre de Guillaume APOLLINAIRE, Calligrammes, le poème Tristesse d’une étoile, le poète fait part de sa souffrance. Dans la première strophe de ce poème, ces vers sont consacrés à la vraie blessure de guerre « une étoile de sang me couronne à jamais ». Il emploie aussi par la suite de nombreuses

été publié à la suite des échecs de la révolution qui ont fait perdre tout espoir en un nouveau régime politique ce qui a donné à de nombreux écrivains la source de leur oeuvre. Dans ce poème, il montre les passages difficiles de sa vie comme son enfance, adolescence, sa première déception amoureuse surmenée par la solitude et la souffrance qui prend une très grande place dans son poème. Il montre aussi qu'à n'importe quel moment de sa vie il est dans la solitude et se sont tous les 2 paragraphes

Révoltes de Rimbaud et de Lautréamont, trop marginaux encore et peu lus Il faudra attendre la fin du siècle et la chute du scientisme pour voir un grand poète avec lyrisme total : P. CLAUDEL On observe un lyrisme nouveau avec Baudelaire == inspiration romantique dans les thèmes mais rigueur plus formelle et désespérance plus ressentie. Un accord discord La leçon de Verlaine Avec Baudelaire, on assiste à une rhétorique classique. Mystère familiarité Chez Verlaine, sur le plan

d’ailleurs ce que pensaient les poètes romantiques pour qui le premier moteur de l’inspiration poétique ne peut pas être autres chose qu’une harmonie brisée, qu’une souffrance. D’où cette affirmation de Musset : « le poète est un adulte aux larmes faciles ». Mais le poète ne crée-t-il vraiment que sous la poussée d’une douloureuse inspiration ? Le bonheur ne peut-il pas lui aussi féconder l’invention poétique ? I- THESE : LA POESIE COMME EXPRESSION DE LA DOULEUR Lorsqu’un poète pleure, ses larmes

discours une tonalité bienveillante et maternelle qui favorise la confiance. Le vocabulaire employé concernant le poète est élogieux. Qualifié à deux reprises de "grands" il se définit comme un être d'exception. C'est un élu de Dieu, puisque sa souffrance est le fait des anges et qu'elle est sacrée "cette sainte blessure que les séraphins noirs m'ont faite". De ce fait, son oeuvre est promise à l'immortalité car le poète s'oppose au commun des mortels qui ne vivent qu'un temps. Grâce à son oeuvre

mourir debout » et des sensations, notamment la douleur « tronc douloureux ».      L’arbre poète nous est tout de suite présenté avec « une plaie au flanc ». Il souffre et sa souffrance est mise en lumière par un fort champ lexical de la douleur « blessé, entaille profonde, douloureux, larmes, mourir… ».      Cette souffrance n’est pas le fait de la nature mais de l’homme. L’homme « avare bourreau de la création » « dérobe » et « assassine ». Ces mots aux connotations violentes brossent le portrait