La Théorie De Pangloss

une place particulière dans la mémoire collective des Français. Ce passage raconte que les sages de Lisbonne ont décidé un autodafé et que l'Inquisition va condamner des gens sous des prétextes religieux pour éviter un nouveau tremblement de terre. Pangloss est alors pendu et Candide fouetté. Ce dernier à du mal à penser que tout est bien mais il continue à faire confiance au philosophe optimiste. 1) Les caractéristiques de ce récit sont les suivantes : Temps verbaux : Dans le premier paragraphe

baron de Thunder-ten-tronck. Il admire les théories ridicules du précepteur Pangloss, selon lequel « tout est au mieux ». Tout bascule le jour des premiers ébats de Candide et de Cunégonde. La réaction du baron est brutale lorsqu'il surprend Candide enlacé avec sa fille Cunégonde, Candide est banni et chassé de cet Eden. Il se retrouve donc seul dans "le vaste monde". Plongé dans les horreurs du monde, Candide découvre que la réalité contredit Pangloss : partout sévissent la guerre, les cataclysmes

Ou l’Optimisne Candide est un titre éponyme. C’est un nom qui évoque la pureté, la naïveté. Candide ou l’Optimisme est le titre complet car cela laisse entendre que Candide sera optimiste par nature ce qui est dû à l’éducation que lui a donné Pangloss en lui disant que tout est au mieux dans les meilleur des mondes. L’œuvre et sa progression : En divisant en 30 chapitres de 1 à 3 pages, le narrateur a voulu communiquer des images multiples et fragmentaires d’une réalité éclatée car l’enjeu

Situation initiale (chapitre 1) : Candide vit heureux en Westphalie dans le château de Thunder-ten-tronckh au coté de la belle Cunégonde. Il prend ses leçons auprès du précepteur Pangloss et n’a pas le moindre souci. Il vit avec les habitants du château qui sont le baron, la baronne, Cunégonde, le frère de cette dernière et Pangloss. La Westphalie considérée comme « le meilleur des mondes possibles » nous est présentée par Voltaire comme une utopie du monde idéal. Elément perturbateur (chapitre 1) : Candide

premier Candide vit dans un château avec le baron de Thunder-ten-tronckh, Madame la baronne, leur fille Cunégonde et le précepteur. Candide est très innocent et aperçoit la vie dans le château. Il croit tout ce que le précepteur lui dit, aussi sa théorie qu’ils habitent dans le mieux monde. Un jour Candide et Cunégonde font d’amour, après Cunégonde avait observé le précepteur le faire avec la femme de chambre et voulait aussi l’essayer. Les parents se fâchent et ils le jettent de château. Chapitre

les Européens qu'au XIXème siècle). L'exception de l'Amérique du Nord est intéressante, car elle aurait pu représenter un idéal nouveau, une terre nouvelle pour la réalisation d'une société libérée des contraintes traditionnelles et incarnation des théories des Quakers que Voltaire admirait (V. la fondation de Philadelphie). Or "Candide" a été rédigé en 1758, c'est-à-dire avant l'indépendance des Etats-Unis (proclamée le 4-07-1876).  Si l'on suit chapitre après chapitre la géographie de "Candide",

contredit le raisonnement de Pangloss. ° Le vieillard (p.159, ch. XXX) : Le vieillard est un turc que Pangloss, Martin et Candide rencontrent sur leur chemin. C’est grâce au raisonnement du vieillard que nos personnages commencent à réfléchir sur le véritable sens de la vie, de telle sorte qu’ils arrivent à la conclusion qu’il faut travailler pour avoir une vie meilleure : « Le travail éloigne de nous trois grands maux : l’ennui, le vice et le besoin. »(p.159, ligne 112) et à Pangloss d’ajouter : « Ce qui

jeune homme naïf, vit dans le merveilleux château de Thunder-Ten-Tronckh où la théorie optimiste de Leibniz lui est enseignée, tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes. Mais expulsé par le baron pour avoir embrassé sa fille Cunégonde, Candide s’enfuit et vit toutes sortes d’aventures qui reproduisent et critiquent ironiquement des faits du siècle de Voltaire et qui finalement contredisent cette théorie de l’optimisme qui lui a été enseignée. Quelques-uns de ces faits sont : - La

philosophes Leibniz et Wolf, qui prônent l’idée que « tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes ». Le héros du récit est un personnage à l’esprit simple, insouciant, naïf, voir même parfois niais, qui prend pour exemple les théories de son précepteur Pangloss (« tout langue » en grec), incarnant le philosophe optimisme. Son éducateur, qui lui enseigne la « métaphysico-théologo-cosmolonigologie », pense que « les malheurs particuliers font le bien général ; de sorte que plus il y a de malheurs

leur fils, leur fille Cunégonde, le précepteur Pangloss et le jeune Candide, fils supposé de la soeur du baron. --Candide écoute avec naïveté le prétentieux Pangloss, qui professe qu'il n'y a pas d'effet sans cause, et que ce monde est le meilleur possible. Il admire aussi la fraîche et grasse Cunégonde. --Par un enchaînement de causes et d'effets, Candide est exclu de cet univers idyllique: ayant surpris par hasard une scène leste entre Pangloss et une servante, Cunégonde veut les imiter avec