Lambda-calcul

Scheme et les autres Lisp Portée statique (lexicale) des variables (liaisons lexicale) en opposition à dynamique Notion d'environnement On peut utiliser les programmes (comme données) en entrée et en sortie à d'autres programmes, grâce au lambda calcul (-calcul) Classification rapide des langages de programmation : Langages fonctionnels ( Lisp, Scheme : non typé, ML, CAML: très fortement typé) Pas d'effet de bord sauf pour les E/S On y programme essentiellement par opposition de fonction (Un

démontré qu'il existe des fonctions f qui sont incalculables, c’est-à-dire qu'il n'existe aucun algorithme qui, étant donné x, retourne toujours la valeur f(x) en un temps fini. Plusieurs modèles de calcul sont utilisés en calculabilité : · machines de Turing · machine à compteurs · lambda-calcul ________________________________________________ La calculabilité se rapporte évidemment à la machine créé par Alan Turing, la machine de Turing est un modèle de machine théorique fondamental pour

Curry pour supprimer le besoin de variables en mathématiques, pour formaliser rigoureusement la notion de fonction et pour minimiser le nombre d'opérateurs nécessaires pour définir le calcul des prédicats à la suite de Henry M. Sheffer. Plus récemment elle a été utilisée en informatique comme modèle théorique de calcul et comme base pour la conception de langages de programmation fonctionnels. Le concept de base de la logique combinatoire est celui de combinateur qui est une fonction d'ordre supérieur

lin´aire est un syst`me logique accordant une place explicite ` la notion de ressource, introe e a duite en th´orie de la d´monstration et utilis´e en particulier pour l’´tude de la programmation fonctionnelle e e e e (langage CAML), ` travers le λ-calcul, le noyau de ces langages. Elle s’inscrit dans le cadre de la correspona dance de Curry-Howard qui relie preuves formelles d’une part et programmes d’autre part : une proc´dure e de r´´criture des preuves (normalisation) correspond ` l’ex´cution des

– Instructions 3 Licence 1 - programmation fonctionnelle 4 Le langage CAML •  Issu du λ-calcul, en 1977, le langage ML •  10 ans plus tard le langage Caml : Categorical Abstract Machine Language •  Langage fonctionnel : – Définitions de fonctions, – Les résultats des fonctions étant de tout type Caractéristiques du langage •  Types de données très rigoureux •  Les types sont évalués au cours des calculs –  Pas nécessaire de les déclarer •  Langage évolué •  Langage interprété Licence 1

une incertitude d’analyse ? Edmond ARNAUDO ISITV / SIM incertitude de mesure - E Arnaudo 1 L’ISITV École intégrée à l’Université du Sud Toulon Var Une école d’ingénieur généraliste : Matériaux, Ingénierie marine, Télécommunication, Calcul scientifique Une « option matériaux » Conception – Caractérisation – Durabilité ISITV / SIM incertitude de mesure - E Arnaudo 2 1 Le SIM - Service Ingénierie des Matériaux Une interface avec l’industrie Des moyens D’analyse (

INGENIEUR CALCUL Le métier L'ingénieur calcul détermine les contraintes qui s'exercent sur les pièces à fabriquer : frottements, température, pression... Il en déduit leurs caractéristiques : dimensions, résistance des matériaux. L'ensemble est simulé sur ordinateur (écoulement de l'air sur une aile ou déformation consécutive à un choc), avec des logiciels de plus en plus sophistiqués. Une réelle attirance pour l'informatique est indispensable. Pour construire un avion, une voiture ou tout autre

Calcul scientifique Approximation polynômiale uniforme-Polynômes de Bernstein [pic] On considère les suites suivantes : [pic] Question 1 : Montrons que [pic] [pic] On reconnaît la formule du binôme de Newton, [pic] Dans notre cas, [pic] d’où : [pic] On veut montrer que, [pic] [pic] [pic] On pose[pic]. [pic] On vérifie sur Scilab pour le cas particulier où : x=0,1 et n=3

résultats à 10-1 près) Partie C : Valeur exacte de & On se propose dans cette partie de trouver la valeur exacte de solution non nulle de l’équation ( ) = 1) Justifier que est solution de l’équation 2 2) On pose ℎ( ) = 2 + 3 ² − 36 . ² par le calcul algébrique. (On rappelle que est la ) + 3 ² − 36 = 0. a. Montrer en développant que ℎ( ) = 2 *+ + - − b. Montrer en factorisant que ℎ( ) = 2 + + c. En déduire la valeur exacte de . ./ 1. , 0 √ ./ -+ + , √ ./ -. , 

Fiche de préparation : Poser une multiplication Date : 25 mars 2011 Niveau : CE2 (cycle 3) Socle commun : les principaux éléments de mathématiques (comp 3) Domaine : mathématiques Champs disciplinaire : nombres et calculs : effectuer un calcul posé (la multiplication) Séance : 1 Compétences générales : effectuer une multiplication posée sans retenue | Descriptif de la séance : Objectif(s) : comprendre la multiplication et la procédure pour la poser Matériel : cahier de brouillon Critères