Le Cid Monologue

de théâtre La pièce de théâtre doit être représentée, la double énonciation est quand l’acteur s’adresse à une autre ET au spectateur, les acteurs échangent des répliques (stichomythies), surtout lors des scènes d’affrontements, de tirade ou de monologue. Texte B : Dom Juan : le Séducteur à l’œuvre Problématique : Sous quels jours Dom Juan se découvre-il dans cette scène ? Cette scène appartient à l’acte II de Dom Juan, pièce écrite par Molière en 1665, dominée par Dom Juan qui est un libertin. I

de l’identification avec les personnages incarnés par les comédiens. Qui n’a pas vibré lors des adieux déchirants de Titus et Bérénice, héros éponymes de la célèbre pièce de Racine, où ne se soit pas senti touché par le dilemme de Rodrigue dans Le Cid, alors que le héros doit choisir entre sacrifier son honneur à l’amour et tuer le père de sa bien-aimée ? Comme le dit Hugo dans la pièce Marie Tudor : « Il y a deux manières de passionner la foule au théâtre : par le grand et par le vrai. Le grand

d'ambigu.Il a dans la pièce d'autres diminutifs qui font varier son identité selon le point devue d'où il est regardé.Le héros du drame apparaît comme un être bien différent du hérosclassique, coulé d'un seul bloc dans une vertu infaillible ( ex: le Cid)L'ambiguïté est d'ailleurs la stratégie qui permet à Lorenzaccio d'assassiner le duc. Pendant toute la première partie de la pièce il est digne de son surnom, pourvoyeur des plaisirs deson maître, bouffon et lâche.Il paraît inoffensif mais peu à peu

Corneille est un dramaturge et poète français, il fait partie du mouvement du baroque et du classicisme, plus tard, il se fera appeler ‘‘Le Grand Corneille’’ quand il écrira des tragédies comme Le Cid. Il a écrit La Place Royale ou (L’Amoureux Extravagant) qui est une comédie composée de cinq actes en 1634 et qui est joué au Théâtre du Marais, dans cette pièce Corneille parle de l’amour et de la liberté, les spectateurs du XVIIème siècle se reconnaîtront dans les personnages. Et la place royale sera

siècles) qui mêlait à la tragédie des éléments propres à la comédie. Les sujets de la tragi-comédie sont souvent d'origine romanesque, les personnages appartiennent à des milieux sociaux différents. Il y a mélange des genres et des tons. Exemple : Le Cid (1636) de Corneille. La farce : Dès le Moyen-âge, la farce illustre la veine populaire. Caractérisée par la grosse et naïve critique des grands de ce monde, elle appelle le rire populaire où les jeux de scènes dominent. La farce se distingue

l’on se rappelle que ce sont là les deux grandes émotions théâtrales selon Aristote, on devine aisément ce que cet épisode contient de classicisme en germes. Cependant les passages les plus marquants de cette thématique sont incontestablement les monologues d’Isabelle (IV, 1) et de Clindor (IV, 7). Désespérée par le « jugement inique » qui condamne « un pauvre inconnu » pour son « feu légitime », Isabelle envisage sa propre mort en héroïne tragique et déclare : « Je veux perdre la vie en perdant mon

la Tamise. Il a une forme circulaire. Au centre se situe un espace vide à ciel ouvert. Les galeries sont réservées aux spectateurs aisés. 1613: « Le Globe » a pris feu. Agencement du lieu scénique: Avant scène: espace souvent dédié au monologue, aux batailles. Arrière scène: système de portes fermées par un rideau. Espace dédié aux scènes d'amour, à l'agonie. Le balcon: scène nocturne de Roméo et Juliette. Permet de représenter deux scènes simultanément → Une intrigue en avant scène et

durant l'Antiquité pour donner vie aux protagonistes. Effectivement sans lui aucun spectacle vivant n'est possible c'est le jeu du corps de la voix, la présence physique sur scène qui provoque la représentation. Ainsi en 1951 Jean Vilar met en scène le Cid de Corneille lors de la première du TNP à Paris c'est l'acteur Gérard Philipe qui interprète Rodrigues et c'est un succès sans précédents il reste inoubliable grâce à la qualité du jeu des comédiens, c'est l'épaisseur des signes verbaux et non verbaux

la métaphysique. Genres théatraux : comédie, tragédie, épopée, poésie Genre épidictique : l’éloge et la blame. On est dans le jugement de valeur, dans la valorisation extrême ou au contraire dans la dépréciation extrême. Genre délibératif : le Cid de Corneille. Lorsqu’on essaye de pser le pour et le contre d’une situation, on évalue es conditions de faisabilité d’un projet.. Genre judiciaire : on discute, on pese le vrai le faux, démarche dialectique de dialogue : lorsque qq vous soumet une

prennent de plus en plus d'importance et la tragédie répondant aux règles classiques prend le dessus sur la tragi-comédie. La Règle des Trois Unités Elle a été codifiée en 1636 par l'Académie Française après les premières représentations du Cid par Corneille. Cette convention s'appuie sur le principe de vraisemblance ou une pièce de théâtre doit, au maximum, imiter l'action réelle. L'unité de temps- idéalement une journée- l'unité d'action- une seule action est possible si elle se passe pendant