Le Jugement de Dieu

Le doute métaphysique (forcé et rationnel), portant sur les évidences ou vérités rationnelles. [ §9 à §12 ] - L’hypothèse du Dieu trompeur: argument traditionnel, utilisé par les dénégateurs de la raison, mais indigne de Dieu et contraire à sa souveraine bonté. De toute façon, que Dieu n’existe pas, et que donc la raison se retrouve seule, et sans garantie, ou que Dieu existe, mais qu’il soit trompeur, ou qu’il ne fasse que permettre que je me trompe parfois, le résultat est le même: dans tous

la vérité. Une peinture représente une copie, qui tente de s’approcher de l’idée, un art qui tend à suggérer l’idée est préférable, comme la musique, qui ne prétend pas tromper ni imiter. Les 3lits Idée Copie Simulacre Le lit créé par dieu dans le monde des idées Le lit créé par l’homme conformément à l’idée Le lit peint par l’artiste représentant le lit copié par l’artisan. Aristote : ART : 2 causes naturelles : - L’homme, dès la naissance, a une tendance naturelle à

Jansen, qui s'est inspiré d'un des pères de l'Eglise : St-Augustin (romain, convertit au catholicisme) --> sa doctrine : "Aime et fais ce que tu voudras" : Dieu = amour, amour = foi, pour les hommes l'amour de Dieu = recevoir sa grâce --> la future cité de Dieu (celle créée après le Jugement Dernier) sera faite de chrétiens auxquels Dieu aura accordé sa grâce --> rien ne peut se faire sans celle-ci, sans son acquisition --> idée de "grâce" reprise par les Calvinistes (Luther + Calvin)

douteuse, ne le sont pas ces connaissances dont la vérité estindépendante du monde corporel, telles l'arithmétique, la géométrie et des sciences similaires. Descartes fait tomber dans le doute même ces dernières, en disant qu'il pourrait y être un Dieu, tout-puissant, qui nous trompechaque fois qu'on utilise les mathématiques et qui nous fait croire comme vraies des choses fausses. C'est à cause de cela qu'il nous reste autre chose à faire que de douter de tout, au moins provisoirement, jusqu'à quand

révéler) du texte. Pour le texte GEN 11 5-9 : Dieu s’oppose au projet des batisseurs surtout s’il est politique. Il veut empêcher de se complaire dans l’uniformité et la non-différence. Dieu souhaite valoriser la diversité. Dieu met aussi l’accent sur la difficulté de toute communication. Tout d’abord, il faut accepter et traverser les différences en les respectant. Ensuite, on arrive à l’altérité càd à l’autre dans sa différence. Conclusion : Dieu désire l’Unité de l’humanité sans raccourci càd

savons que nous devons marcher aussi dans la sainteté ; c'est vrai, dans la perfection. Le Seigneur ne veut pas des Chrétiens seulement qui se convertissent pour que leurs péchés soient effacés et puis qui continuent à vivre après comme des païens. Dieu ne veut pas ça. Il veut des Chrétiens sanctifiés. Alors je vais vous parler de repentance parce que la Bible dit beaucoup de choses. J'en ai déjà parlé, mais il faut insister sur ces choses. Je me suis rendu compte pour ma vie personnelle que le Saint-Esprit

quelque chose de tout à fait nouveau, comme si le lecteur participait. Le lecteur est sujet de sa propre réflexion, avant la réflexion n’était propre qu’au Divin. Rem : Au M.A. on ne signait pas ses œuvres, preuve que l’homme n’est rien comparé à Dieu. On n’attribuait pas les cathédrales aux architectes. Conclusion : avec Les Essais apparaît un nouveau mode de pensée où l’individu est pris en compte → Engendre une incertitude. Érasme 15e-16e s. Dico : Humaniste hollandais. Esprit indépendant et

procédés mis en place par l’auteur ? Dans un premier temps, nous nous axerons sur le caractère inédit et unique de son projet autobiographique. Ensuite, nous verrons que Rousseau met en place d’une manière spectaculaire son projet en évoquant le Jugement Dernier. Pour finir, nous nous pencherons sur le coté paradoxal de ce préambule notamment sur l’orgueil et l’égocentrisme de l’auteur. Les Confessions sont le récit de la vie de Rousseau de 1712 à 1765. Dans la Première partie de l’ouvrage – les

point de vue métaphysique, c’est un penseur dualiste, où l’être humain se partagerait en deux substances : un corps sensible et une âme spirituelle. Il élaborat de nombreuses principes célèbres, dont le doute méthodique, la preuve de l’existence de Dieu et bien d’autres encore, qui sont toujours discuté aujourd’hui. Représentant d’une certaine notoriété, dans les sciences et dans la philosophie, il va durant les dix dernières années de sa vie, correspondre par courrier, avec la princesse Élisabeth

déclare : “ Il existerait un ange suprême et/ou un petit groupe d’archanges généralement quatre ou sept. ” D’après un autre, Mikaël est le “ nom d’un être surhumain sur lequel les avis sont partagés : il est soit le Seigneur Jésus Christ — le Fils de Dieu —, soit l’un des sept présumés archanges ”. Leurs explications sont confuses. Mais que nous dit réellement la Bible sur le terme archange ? (LIVRE PERSPICACITE) Tous d’abord, le préfixe “ arch ”, qui signifie “ en chef ” ou “ principal ”, laisse entendre