Les Brigands Schiller

Gautier) ou en Italie (Manzoni, Leopardi). Quelques écrivains de la fin du XVIIIe siècle, William Blake, Jean-Jacques Rousseau et les écrivains allemands du Sturm und Drang, parmi lesquels le Goethe des Souffrances du jeune Werther (1774) et le Schiller des Brigands (1781) sont considérés comme des précurseurs du romantisme, des « préromantiques », pour reprendre un terme inventé par la critique au début du XXe siècle. Il y a déjà, en effet, dans les œuvres de Rousseau comme dans celles de Senancour, les

mot "romantisme" apparaît. Il désigne toutes formes de la littérature et de la pensée nouvelles par opposition aux formes classiques. Influence des écrivains allemands : GOETHE, Werther, roman de 1774, Faust, drame de 1808 et 1831, drames de SCHILLER, Brigands (1781), Guillaume Tell. Idées diffusées par Madame de Staël (premières attaques contre les classiques en 1813) et les aristocrates revenus d'émigration en 1815. Aujourd'hui, le mot "romantique" sert à désigner : - Un état d'âme où prédominent

représentatifs : * Baudelaire * Renan * Flaubert * Fromentin * Diderot * Schiller * Hugo * Alfred de Vigny * Musset * Stendhal * Mérimée * Michelet IV. Œuvres * Les Méditation de Lamartine (1820) * La Bataille d’Hernani au Théâtre Français (1830) * Et je ne veux pas mourir ! de Diderot (1767) * Les Brigands, de Schiller (1782) * L’homme qui rit, d’Hugo (1869) * Le roi s’amuse, d’Hugo (1832) * Madame

lui, sous les traits d‘un aristocrate oisif, amorphe et irascible. Il est aussi très dépendant de son valet et l’entraînera par sa lâcheté et sa maladresse dans les pires mésaventures. Par la faute de son maître, Jacques subira les attaques de brigands, il sera pris à parti par la foule et se retrouvera même en prison. Comme l’écrit Olivier Wotling : « Les incidents ou aventures de parcours, les rencontres fortuites , les haltes dans les auberges sont autant d’occasion pour débattre de problèmes

l'Allemagne. On y voit naître à la fin du XVIII ème siècle un mouvement nommé Sturm und Drang soit tempête et passion. Les plus importants dramaturges de ce mouvement sont Goethe ,vec Faust ou Goetz de Berlichingen qui sont très bons, et Schiller avec Don Carlos, les brigands , Maria Stuart, Wallenstein... des chef d'oeuvre! Ces deux auteurs sont eux aussi de grands admirateurs de Sakespeare.Un autre précurseur, George Byron. C'est l'exemple de l'auteur fidèle à son oeuvre, puisqu'il meurt héroiquement

les préoccupations d'ordre privé. Quelques écrivains de la fin du XVIIIe siècle, William Blake, Jean-Jacques Rousseau et les écrivains allemands du Sturm und Drang, parmi lesquels le Goethe des Souffrances du jeune Werther (1774) et le Schiller des Brigands (1781) sont considérés comme des précurseurs du Romantisme, des « préromantiques », pour reprendre un terme inventé par la critique au début du XXe siècle. Il y a déjà, en effet, dans les œuvres de Rousseau comme dans celles de Senancour, les

environ 6 mois. Il s’agit ici des péripéties d’un trio d’hommes | |amoureux de la jeune et belle doña Sol, notamment le proscrit Hernani. Celui-ci, incapable de vivre sans elle, brave cet interdit qui pèse sur lui. Il vit dans le | |maquis avec des brigands et, pendant la nuit, obtient des rendez-vous secrets de son aimée. Le cœur de doña Sol ne bat que pour Hernani, mais un vieil oncle de | |doña Sol, Ruy Gomez, qui désire l’épouser, essaie de la soumettre à sa volonté. Hernani lui-même a un rival

; né si faible, si grêle, si pauvrement bâti, que l'exiguïté de sa personne fit croire à tout le monde qu'il était bien plus pressant de lui commander une tombe que de lui acheter un berceau; il était né la même année où Schiller, écrivant son drame des Brigands, signait Schiller, esclave de Klopstock ; né au milieu d'une de ces vieilles familles bourgeoises comme nous en avions en France du temps de la Fronde, comme il y en a encore en Allemagne, mais comme il n'y en aura bientôt plus nulle part

rendre florissante. « Pirata » en latin. C’est sans doute pourquoi Rome a tardé à combattre ce qu’elle désignait par ailleurs comme un fléau. Célèbre est l’exclamation de Cicéron postulant qu’il n’est pas nécessaire de tenir la parole donnée à un brigand auquel il identifie le pirate : « car le pirate n’est pas compté au nombre de belligérants, mais c’est l’ennemi commun à tous ; avec lui, on ne doit avoir de commun ni foi ni serment » (De officiis, III, 107). Cela n’empêche que, depuis l’Antiquité

Il y aura par la suite un rejet de la culture du sud de l’Europe et on privilégiera ce qui est ressenti comme national. On y retrouvera toujours l’idée de transgresser les règles, d’accéder à plus de liberté. Dans la pièce de théâtre de Schiller « les brigands » de 1781 on ira même jusqu’à valoriser le hors la loi. Se développera ensuite un autre courant, moins politique, qui développe encore et toujours le rêve, l’imagination. C’est une façon de s’opposer à la réalité, a la science, à la philosophie