Les Conséquences Du Quinquennat

gouvernement. B) Les institutions SITUATION 1 : De Gaulle et la première élection présidentielle au suffrage universel (pp 80-81) Pourquoi et comment le général de Gaulle modifie-t-il le mode d’élection du président de la République ? Quelles en sont les conséquences sur la vie politique ? Le général de Gaulle, en désaccord avec les partis politiques au sujet du futur régime, avait démissionné de ses fonctions en 1946. De retour au pou- voir en 1958, il se méfie toujours d’une Assemblée toute puissante, source

l’État. Selon les cas, on regrette que le système, tel qu’organisé aujourd’hui, puisse potentiellement produire un « 21 avril bis » (qu’il soit à l’envers ou à l’endroit, pour reprendre l’expression médiatiquement consacrée), ou bien on relève les conséquences désastreuses, pour la santé politique de notre pays, d’une telle compétition de « personnalités » à l’heure des mass media, des communicants professionnels et du papier glacé. Il apparaît toutefois nécessaire d’aller plus loin que la seule dénonciation

entendre que si la position qu’il défendait ne recueillait pas la majorité, il mettrait fin à son mandat. Et, de fait, le lendemain de l’échec du référendum du 27 avril 1969, il démissionne. Pour De Gaulle, le référendum personnalisé était une conséquence du présidentialisme : le président de la République chef de l'exécutif devait périodiquement soumettre au peuple la politique de la nation qu'il avait décidée. Les successeurs du Général de Gaulle qui eurent recours au référendum refusèrent de

de mesures réformant la prise en charge de maison de retraite. Après la canicule, on va ainsi déployé des moyens sur des pathologies particulières : le plan Canicule, le Plan Alzheimer. b) Dépendance et Décentralisation Il va y avoir les conséquences sur la prise en charge de la dépendance des réformes successives de l’organisation territoriales : les lois de décentralisation vont renforcer le rôle du département d’un coté (en 1982 et en 2004 en particulier) tandis que d’autres lois, en particulier

veille au respect de la Constitution » aux termes de l’article 5 de la Constitution, il est en conséquent le gardien de cette constitution auquel il peut apporter des interprétations personnelles et également procéder à une révision minime ou conséquence de ce même texte. La révision de la constitution de la Ve République a aboutie de nombreuse fois (24 depuis 1958 ). Le Président est donc titulaire de l’initiative du pouvoir de révision qu’il partage avec le premier ministre, c’est également

de prendre acte du passage du dualisme au monisme. Sous la 4ème république il y a deux pratiques : - officialisation de la fonction de Président de Conseil des ministres. Sous a IIIème République, le Président n’était pas prévu dans les textes. Conséquences : les pouvoirs attribués au Président de la République dans la Constitution de 1875, ses pouvoirs sont officiellement transférés au Président du Conseil de la 4ème République = régime moniste. Il devient donc le véritable chef de l’exécutif. Il

tranchées. Armes nouvelles et meurtrières. À l’arrière: Travail des femmes; les Munitionnettes. Hausse des prix. Violence contre les civils. Génocide arménien: planifié par le parti au pouvoir à l’époque en Turquie, deux tiers des Arméniens tués. Conséquences: Europe dépeuplée, 10millions de morts. 11/11 Traité de Versailles, il introduit la SDN, Société des Nations= préserver la paix en Europe. Nouvelles frontières: division des empires Ottoman, Russe, Allemand, Austro-hongrois. Nouveaux états. Allemagne

réélu et en 2007 monsieur Sarkozy. • Pour combien de temps le président est –il élut ? Le président est élus pour 5 ans en 1962 on avait repris le septennat tout comme en 1958. Aujourd’hui nous sommes dans un quinquennat avantage, inconvénient. Les arguments en faveur du quinquennat sont de deux : - Aligné le mandat présidentielle sur le mandat parlementaire , le mandat parlementaire des députés est de 5 ans donc considéré que le président doit avoir une majorité parlementaire et parti du principe

à deux tours. Depuis la réforme de la constitution en 2008, le mandat présidentiel est passé d’un septennat à un quinquennat, renforçant ainsi le rôle du Parlement. Le Président doit être élu sur au moins la moitié des suffrages exprimés et seuls arrivent au second tour les deux vainqueurs du premier tour (majorité relative). Ce mode de scrutin a pour conséquence importante la bipolarisation de la vie politique, renforcée par les élections législatives et la durée du mandat des Députés

notamment la présidence du conseil des ministres qui lui avait toujours échappé jusque là), sauf en période de cohabitation. Son élection au suffrage universel direct décidé par la réforme constitutionnelle de 1962 puis le passage du septennat au quinquennat à partir de 2002 (qui entraîne l'organisation des élections législatives et présidentielles à quelques mois d'intervalles l'une de l'autre, la première suivant la seconde, rendant difficile toute nouvelle cohabitation) renforcent encore son poids