Les Conséquences Personnelles Et Patrimoniales Du Divorce

créée par l’Etat pour régler et organiser la société. * La finalité de la règle de Droit Le Droit nous permet d’organiser la société et d’assurer la stabilité des institutions. Ex : * Il garantit la stabilité du mariage en organisant le divorce ; * Il garantit le pouvoir politique en organisant les élections ; * Il garantit la sécurité des personnes c’est pourquoi le Droit pénal interdit de tuer ; * Il organise la vie économique en créant le contrat ; * Il constitue un

priorité. Pourquoi cet attachement ? Sans doute parce qu’elle est liée à la vie et à la mort. Aussi sans doute car dans une société qui est considérée à tord ou à raison comme de plus en plus rude, la famille apparait comme un lieu d’épanouissement personnel. La famille est essentielle aux yeux de nos contemporains, mais il faut savoir qu’elle l’a toujours été. La famille recouvre un certain nombre de réalités : sociologiques, économiques mais aussi juridiques. D’un point de vue sociologique, il faut

du lien du mariage. Et le divorce qui est une dissolution du mariage. Chapitre 1 : la dissolution du lien conjugale : le divorce Le divorce est définit comme la dissolution d’un mariage valable qui est prononcé par une autorité judiciaire du vivant des époux, pour certaines causes prévus par la loi française. En droit romain le divorce était couramment admis. Le concile de Trente en 1563 a prononcé l’interdiction du divorce. Pendant le droit intermédiaire, le divorce a été admis en droit français

officiel correspond au siège social. Mais la jurisprudence admet qu’on société puisse avoir tacitement élue domicile dans une de ses succursales. C’est la jurisprudence des gares principales. La détermination du domicile entraine de nombreuses conséquences juridiques très concrètes. Le domicile contribue à la détermination de la loi applicable lorsqu’on est en présence d’un élément d’extranéité. Tous les actes de procédure (assignation, commandement, ect) sont adressés au domicile du signataire.

importante et les mutations sont nombreuses et rapides. Les mœurs et les coutumes sont très variantes. Le droit de la famille tente de s’adapter aux circonstances de la famille (séparation, divorce, garde des enfants…). Le critère de l’intérêt de l’enfant, varie en fonction de l’âge de l’enfant et des conditions personnelles, et est un critère fondamental au sein du droit de la famille. En droit, il n’y a pas de vérité juridique intangible ; il n’y a que des solutions ponctuelles à un problème donné dans

groupement spontané qui est saisi par le Droit. Le Droit ne définit pas la famille, il se contente de reconnaitre l’existence de liens entre certaines personnes et de qualifier ces liens, ils n’ont pas tous la même nature juridique, et d’en tirer des conséquences quant à la situation de ces personnes. Si l’on regarde du coté des différentes définitions de la famille qu’on a tenté de produire, on peut en distinguer deux : on a pu considérer que la famille se définissait comme « un ensemble de personnes

A. Le droit patrimonial de la famille 1. Les régimes matrimoniaux 2. Les successions et libéralités B. Le droit extrapatrimonial de la famille II. L’évolution des relations familiales A. La révolution individualiste B. La réalité de l’individualisme III. L’évolution du droit de la famille A. L’égalité 1. Au niveau matrimonial a) Les rapports entre époux b) Les rapports entre parents et enfants 2. Sur le plan successoral B. La liberté 1. Dans les rapports personnels 2. Sur le plan

filiation Les relations patrimoniales dans la famille Les régimes matrimoniaux Les successions     La famille La famille est considérée comme une des bases de la société. Le droit de la famille permet de régler les relations entres les membres d'un même groupe familial. Face à l'évolution des moeurs, le droit français prend en compte les nouvelles relations qui s'instaurent au sein de la famille. La composition de la famille évolue plus que les relations patrimoniales au sein de la famille qui

la révolution qui à affaiblie le pouvoir du père, du mari et à donner le divorce. Le code civil de 1804 réalise un compromis entre la conception traditionnelle de l’ancien droit et la conception plus moderne de la révolution. Il réaffirme l’autorité du mari et du père considéré comme le seigneur et le maître de la communauté, et place l’épouse dans une situation d’incapacité. Le compromis est que le code civil admet le divorce de manière restreinte par rapport à la révolution. La conception de la famille

mariages se termine par un divorce et même un sur deux dans les grandes villes. Le divorce est une épreuve souvent longue et difficile, mais avant d’y songer, certains couples mariés décident de s’accommoder de façon plus ou moins provisoire « d’une séparation conventionnelle ». De nos jours, les séparations sont plus nombreuses que les divorces Les raisons peuvent être multiples : la peur du « qu’en-dira-t-on », des convictions religieuses interdisant le recours au divorce, le coût et la lenteur d’une