Les Formules De Marculfe

Ce document est une formule de Marculf provenant du Marculfi Formularum datant probablement de la seconde moitié du VII ème siècle vers 650-655. Marculf était un moine franc, auteur d'un recueil de formules ou modèles d'actes relatifs au droit public et privé qui fournit sur l'époque mérovingienne des renseignements très précieux. Marculf à composer son recueil de formule dans la plus célèbre abbaye du diocèse, celle de Saint-Denis. La première édition des formules de Marculf à été donnée par Begnor

Explication du texte: Formules de Marculf. Le texte à étudier est de nature juridique. En effet il s’agit d’une chartre. Une chartre est un acte de l’ancien droit qui accordait un titre ou un privilège. Cette chartre est rédigée par le moine Marculf au milieu du VII siècle. Marculf était un moine franc, compilateur d ‘un recueil de formules ou modèles d’actes relatifs au droit privé ou public qui fournit sur l’époque mérovingiennes des renseignements. Il semble probable d’après certains historiens

TEXTE DE MARCULFE Le texte de Marculfe est une charte à portée normative. Destinés aux comte, aux ducs, et aux patriciens, aux sujets en générale. En première partie on parle du statu du comte puis des fonctions. Dans l’introduction on part de la naissance de cette dynastye mérovingienne, expliquer les conquêtes et la convertion au christianisme, mettre aussi en avant qu’à la tête de ce royaume on a un roi qui a la possibilité de créer la loi. Le pouvoir du ban, lui permet de formuler son pouvoir

phrase est tirée d’un texte juridique, plus précisément d’un formulaire, intitulé « Formulae Turonenses » (Formules de Tours). Il n’y a pas de précision sur l’auteur, nous savons juste que c’est un extrait des « Formulae Merowingici et Karolini Aevi », de Marculf. Ce texte a été écrit à l’époque franque, dans la période mérovingienne, plus particulièrement dans le 2ème quart du VIIIème siècle. Marculf est un moine français du diocèse de Paris et un praticien du droit. Il est l’auteur des « Formulae Marculfi

On est donc passé à un Leudesamium qui ne concernait que les guerriers à un serment de fidélité public et général prêté par tous les habitants du royaume. Passage d'un auteur célèbre Marculf , qui écrit les formules dans lesquels il explique te fonctionnement de l'administration locale. On voit bien chez Marculf que le serment de vérité est géneral et concerne tous les habitants qu'ils soient français ou romains. Un envoyé du roi allait dans chaque circonsciption locale et les habitants venaient

793. On relève un changement d'auteur en 795, en 808 et enfin en 820. Le formulaire de Marculf Ce document est considéré comme le « formulaire le plus important de l'époque mérovingienne et le plus intéressant aussi au point de vue diplomatique »1. Il est dédié (par Marculf lui-même) à l'évêque Landri (évêque de Paris dans les années 650 à 656, béatifié en Saint Landri). Le formulaire de Marculf (Formulae Marculfi) est un recueil mérovingien d'actes juridiques composé entre la deuxième moitié

roi. Le comte est un « fonctionnaire » qui entretient des rapports avec le roi et ses auxiliaires. Ses rapports avec le Roi : le comte est un agent de décision, qui répercute à l’échelon local (le pagus) les décisions nationales. Le moine Marculf a une formule qui dit que le roi choisit le candidat en fonction du mérite et du zèle. Si l’individu remplit les conditions d’intelligence, de fidélité, etc, il accède aux fonctions comtales. L’administration locale est liée au roi par un lien de confiance

personnel. Ce lien de sujétion est extériorisé par un serment de fidélité, ou d’allégeance : le Leudesamium. On ignore encore quelle formule empruntait le leudesamium. Il contraint le promettant à ne pas nuire au roi et à lui obéir quelles que soient les circonstances, en particulier en temps de guerre. Marculf est un moine qui consigna au 7ème s, dans un recueil, une formule identifiant ce serment. Il y informe les comtes que le roi a délégué un Missus, qui est un envoyé de sa circonscription. En fait

souvent la délégation du pouvoir judiciaire, le comte de l’écurie (le comes stabuli), les trésoriers, les responsables des forêts royales et la chancellerie, héritée de la tradition romaine. Ces actes sont rédigés en latin et elles reprennent les formules antérieures. A la fin de l’époque mérovingienne, cette compétence appartient exclusivement aux laïcs, seuls considérés comme aptes à tenir les registres et à établir les actes. 2. L’administration locale ou territoriale On a le comte

(507 à 751) Peut-on se passer de modèle ? On va répondre à cette question. Les sources sont diverses. La première : Grégoire de Tour. Contemporain de l’époque franque, et qui nous a légué plusieurs récits. Aussi un moine franc : Marculfe. Il a écrit « Les formules de droit ». Avant 507, plusieurs dates ont marquées. - 486, année au cours de laquelle il y a une fameuse bataille : celle de Soissons. D’après ce qu’on dit, Clovis a battu les romains, eux commandés par le chef Syagrius. D’après