Les Sens Et La Connaissance

Nos sens sont ce qui constitue notre rapport au monde, à l’environnement. Nous explorons ce qui nous entoure en touchant, goûtant, regardant, écoutant, sentant… Ainsi, les données que nous possédons sur le monde sont le produit d’expériences sensorielles plus ou moins lointaines. Cette vision des sens, à l’origine de la connaissance, est partagée l’empiriste John Locke lorsqu’il affirme : « l’expérience : c’est là le fondement de toutes nos connaissances  ». Pourtant, il arrive que nos sens nous

La perception par les sens nous renseigne sur le monde extérieur visible et donc observable et nous introduit à la connaissance. Or, dans ce dernier terme, l’étymologie est intéressante con + naissance. Cette étymologie nous laisse clairement entendre que celui qui apprend à connaître sait déjà depuis la naissance. Peut-on affirmer que les sens sont suffisants pour nous fournir toutes nos connaissances ? Les sens sont les moyens de perception du monde de ’homme

objets froids ou chauds, sent des odeurs, goûte des saveurs. Cette connaissance élémentaire apparait comme juste et vraie à celui qui la ressent. Mais cependant l’Homme, contrairement à l’animal, ne s’arrête pas à ce ressenti, il l’analyse et l’ordonne, afin de connaître, de comprendre ce qui l’entoure. Perception vient en effet du latin percipere, prendre ensemble, récolter. Cela signifie sentir, au travers des sens. La connaissance, au contraire, ne semble pas s’en tenir à une impression. Connaitre

Introduction : Les sens semblent être la fonction par laquelle nous percevons le monde. Ils paraissent être parmi les données les plus élémentaires, les plus précoces et les plus universelles : dès la naissance, nous sommes en relation avec le monde et avec lui-même par la sensation, au travers duquel le monde semble se donner de lui-même, se présenter de lui-même à nous. La sensation est une intelligence intuitive et immédiate, la prise de conscience d'un phénomène ( le chaud, le froid, le sucré

peut connaître une chose sans y accéder directement par les sens. Cette présence de la chose passe par le contact sensible entre elle et nous. La connaissance est donc d’abord sensation. Or, cette sensation peut être déterminante et conditionner la représentation des choses en notre esprit. Dès lors : que nous apprennent les sens ? Il convient d’abord de se demander ce que l’on peut connaître par les sens et si cette connaissance est totalement fiable. Sinon, on cherchera les moyens d’éviter

spéculatif (=théorique), ou le domaine pratique (=ce qui concerne la liberté). On peut englober l'homme à travers ces trois questions : - Que puis-je connaitre, savoir ? = question d’ordre théorique, spéculative. Cette question peut s’entendre en deux sens = 1. (Fondamental) Qu’est ce qu’il m’est possible de connaitre ?, et 2. Qu’est ce que j’ai le droit de prétendre connaitre ? Si je cherche à connaitre chose qu’il m’est impossible de connaitre = prétention illégitime de connaitre (prétention de connaitre

CONNAITRE LE MONDE EST-CE L’NTERPRETER ? Que suis-je censée connaitre ? Quel est le contenu de cette connaissance. Mais surtout comment peut-on définir la connaissance ? La connaissance découle-t-elle irrévocablement de la vérité. ? Tant de question que l’homme s’est posé et se pose toujours. Par définition générale, la connaissance c’est le fait de connaître, d'avoir des compétences dans un domaine. Mais pour être plus précis, celle-ci vient du latin cognitio, « action d'apprendre ». Activité

Philosophie : Puis-je faire confiance à mes sens ? On dit souvent que l’on ne croit que ce que l’on voit, en invoquant nos sens et nos perceptions comme étant des sources sures auxquelles on peut se fier, comme une évidence incontestable. Pourtant, il peut arriver que nos sens nous trahissent et soient à l’origine de fausses perceptions de ce qui nous entoure tel que le phénomène de mirages ou autres illusions, comme l’ont souvent montré les philosophes. Par les sens, on entend la capacité de pouvoir sentir

Devoir de Philosophie numéro 1 : Les cinq sens, dès l’abord, apparaissent la fonction incontournable, par laquelle nous percevons le monde qui nous entoure. Ils semblent faire partie intégrante des données les plus élémentaires, les plus naturelles, les plus précoces, primitives, mais également les plus intemporelles et universelles. Dès la naissance, nous sommes en relation avec le monde, notre environnement familier, par le truchement de la sensation, au travers duquel nous nous approprions

des sens, et des perceptions et s’interroge sur la contribution de nos sens ainsi que sur le rôle que jouent nos expériences sensibles dans l’élaboration de nos connaissances. Il traite donc du problème des fondements de la connaissance. On peut donc se demander comment se construit une vérité nécessaire ? Ainsi nous allons voir dans un premier temps ce que Leibniz entend par « sens » et par « connaissance actuelle». Puis dans un second temps, nous verrons que certaines de nos connaissances ne proviennent