Madame Bovary Le Point De Vue Du Narrateur

ont un point commun : s'éloigner des excès romantiques. Des constantes sont à noter : un style efficace, un vocabulaire précis et documenté, des descriptions qui reposent sur des recherches souvent scientifiques et savantes, une intrigue sobre, des portraits de personnages qui représentent des « types ». Balzac et Stendhal se sont attachés à la poésie du quotidien. Si l'imaginaire est décrié, la recherche du Beau n'est pas oubliée. Le roman réaliste a une vertu pédagogique : le narrateur utilise

rapidement possible quand ils apprennent que l’Anglais a simplement cassé une bouteille de vin ! Notes (la pagination est celle de l’édition du Livre de poche, ‘’Mérimée, nouvelles complètes, tome 2’’) Page 209 : - La nouvelle fut dédiée à Madame de la Rhune, nom donné par Mérimée à l'impératrice Eugénie. La Rhune est une montagne de 900 m de haut, située à la frontière espagnole, à 25 km de Biarritz. On pouvait l'apercevoir du palais de I'impératrice. Page 210 : - «la station» : La gare

des « bricolages » (ou « bris-collages ») culturels, configurés selon des M. Bakhtine, « Les études littéraires aujourd’hui », Esthétique de la création verbale, Paris, Gallimard, NRF, Bibliothèque des Idées, 1979, pp. 339-348. 2 J.-M. Privat, Bovary Charivari, Paris, CNRS Editions, coll. Littérature, 1994, p. 9. Cet ouvrage est le texte fondateur de la démarche ethnocritique. 3 J.-M. Privat, « A la recherche du temps (calendaire) perdu », Poétique, 123, septembre 2000, p. 301. 1 1 processus

S’assurer que le texte a bien été lu Répondre au questionnaire à choix multiples (QCM) suivant : 1) Qui est le narrateur de L’ami retrouvé ? ❏ a. Fred Uhlman ❏ b. Hans Schwarz ❏ c. Conrad von Hohenfels 6) Q  u’est-ce qui les sépare ? ❏ a. Leur religion. ❏ b. Leur milieu social. ❏ c. L’Histoire. 2) Qu’est-ce qui le pousse à commettre ce récit ? ❏ a. Il cherche à retrouver un ami qu’il a perdu de vue à l’âge adulte. ❏ b. Il a reçu un courrier de son ancien lycée lui annonçant la mort de celui qui fut,

et ses encouragements. Sans ses suggestions, je n’aurais jamais fini mon travail. Je suis également redevable à Monsieur Akio Yoshi dont les conseils m’ont été d’un grand profit. Monsieur Chaussis m’a aussi aidée de ses connaissances avec patience. Madame Reiko Massé m’a soutenue avec une rare gentillesse dans des moments difficiles. Je remercie enfin ma famille qui a si souvent facilité les conditions de mon travail. tel-00790321, version 1 - 19 Feb 2013 2 Ohashi, Eri. Analyse des Manuscrits

modeste, est engagé comme précepteur dans une famille bourgeoise, la famille Michoud. Il tombe amoureux de Madame Michoud et quitte donc son travail pour éviter le scandale. Il trouve ensuite une place comme précepteur chez un aristocrate, le compte de Cordon, dont il séduit la fille. Chassé et humilié, Antoine s’arme d’un pistolet et se rend à l’église où, pendant la messe, il tire sur Madame Michoud, la blessant grièvement. Il est arrêté, jugé et condamné à mort. Il sera exécuté en 1828. Pour finir

d’ailleurs faire l’objet d’une thématisation par le narrateur : ces derniers en contrat réaliste soulignent volontiers des lacunes dans leur information. On peut dire aussi qu’il existe une esthétique de la description lacunaire qui permet la rêverie. Ex : Barbey d’Aurevilly dans son recueil les Diaboliques postule cette rêverie en la mettant en scène, avec des personnages qui sont auditeurs des nouvelles racontées. EX : Le bonheur dans le crime : le narrateur du récit cadre est en position d’auditeur

Roi lune. Lectures cursives : Jorn Riel « Alexandre », in La Vierge froide et autres racontars. Daniel Boulanger, ? SEANCES : ( Séance 1 : (lecture / langue) Objectifs : - Revoir la notion d’auteur, de narrateur, et de personnage. - Revoir les niveaux de langue. Support : Deux extraits des Exercices de style de Queneau (« Récit » et « Moi je »). ( Séance 2 : (langue) Objectif : - Réviser l’emploi et les conjugaisons des temps du récit

peut consister à reproduire le r éel : 1. C’est le cas lorsque le romancier s’appuie sur des événements et des p ersonnages historiques pour conduire son intrigue (Vign y, Dumas), sur des faits divers ( Le Rouge et le Noir ; Madame Bovary ; Colomba ) ou sur son propre vécu (Céline,Proust) : dans les trois cas, le personnage romanesque est l’émanation d’individus existant ou ayant existé. Ses actes et ses pensées sont partiellement déterminés par la documentation

scène ou bien l’apparence d’un personnage. Le lecteur se trouve alors plongé dans l’univers personnel de l’auteur. Car rappelons avant tout que les réalistes ont pour but de représenter le réel, mais aussi de critiquer son fonctionnement. Dans Madame Bovary, Gustave Flaubert, maître du réalisme critique, penche vers le romantisme et fait preuve d’une certaine ironie dans certaines de ces œuvres afin de dévoiler son propre ressentit par rapport au destin pathétique des personnages. L’auteur dénonce