Malaise Des Banlieues

Coeur de banlieue (David Lepoutre) Introduction David Lepoutre est un ethnographe qui s'intéresse aux relations sociales entre adolescents dans un grand ensemble de banlieue. Par son livre "Coeur de banlieue", il va nous exposer une nouvelle vision des jeunes de banlieue. David Lepoutre critique les démarches sociologiques qui montrent souvent plus les causes de la violence des rues et la déviance qui en découle que la logique spécifique des adolescents des cités. Il va donc dans le cadre

50, la seconde guerre mondial à ravagé l’Europe et le mouvement « Moderne » a envahi le monde. Cepandant le moderne vielli, ses codes se figent et deviennent une sorte de codes précis et rigides. C’est au allentour de la fin des années 60 qu’un malaise ce fait ressentir et provoque une crise qui frappe la modernité. Ce que l’on appellera le Post-moderne emmergera a ce moment la. Le post-moderne est donc une suite ou plutot une conséquence du Moderne. De nouveau besoins ce sont fait ressentir

de temps, les jeunes des banlieues de Paris ou Marseille essentiellement vont s’approprier ce nouveau courant artistique plébiscité qui leur parle plus que n’importe quel autre. Vers la moitié des années 80, de plus en plus de Français se mettent au rap en cherchant clairement à se calquer sur le modèle américain. Ceci dit, il y a pas mal de différences sociales avec les ghettos de New-York ou la population est essentiellement d’origine africaine. En France, les banlieues sont composées de beaucoup

Ce nouvel attrait pour le centre, motivé notamment par la métropolisation, a pour conséquence l’augmentation des prix du foncier dans les centres. Les populations aisées s’y concentrent alors et les populations moins aisées sont repoussées vers la banlieue. Certains quartiers s’embourgeoisent : c’est la gentrification. D’ autre part, on parle de ghettoïsation de certains quartiers périphériques qui concentrent les populations défavorisées. Ces zones urbaines sensibles (ZUS) ont un taux de chômage et

de ses camarades discutent au pied d'une HLM dans le quartier du Chêne pointu, d'où sont parties les premières émeutes, juste après la mort de deux jeunes Clichois qui se croyaient poursuivis par la police. La contagion des violences à toutes les banlieues de France, 15 personne ici ne l'avait prévuee. «Au début, ça nous a fait chaud au cœur,» dit Karim. «Même les cités rivales ont été bouleversées par la mort des deux petits!» Karim a participé aux premières nuits d'émeutes avant d'arrêter

soi.Mais pour la plupart de ces jeunes filles ou de ces femmes, est-ce vraiment un choix personnel?N'est-ce pas plutôt la conséquence d'une pression de la famille, de l'entourage ou de groupes radicaux islamistes de plus en plus présents dans les banlieues? Hormis quelques femmes voilées qui occupent le devant de la scène, les autres ont-elles le choix dans une culture ayant souvent une vision archaïque et discriminatoire de la femme ?Lorsqu'elles répondent "oui, c'est mon choix", ne s'agit-il pas

a surpris les médias le mardi 8 novembre par sa déclaration offensive, « Moi aussi j'ai grandi en banlieue ». Il a critiqué les propos du ministre de l'Intérieur, Nicolas Sarkozy, en expliquant que ces jeunes ne sont pas des racailles, « Avant de parler d'insécurité, il faut peut-être parler de justice sociale. » Le ministre a plus tard répliqué, affirmant que « Lilian Thuram ne vit plus en banlieue depuis longtemps. » Lors des questions au gouvernement à l'Assemblée nationale, le mardi 8 novembre

relations entre les banlieues et les médias : La « banlieue » : un enjeu médiatique ? Fatoumata KABA Directeur de Mémoire : Mr Patrick LOUIS SOMMAIRE Introduction page 3 I – Banlieues: L'eldorado A) Un sujet qui reporte B) Médias: les faiseurs d'opinions? page 6 page 7 page 11 II – Banlieues / Médias: « L'amour vache » A) Entre tension et communication B) Quelques exemples significatifs III – Esquisse d'un terrain d'entente A) Intérêt et limite des grands médias B) La banlieue prend en main

son fils dans une communauté maghrébine de France. Quelle que soit sa tendance, la littérature maghrébine parait refléter la complexité d’un vécu qui traduit directement ou indirectement un malaise. L’écriture maghrébine de la deuxième génération a été capable de révéler le malaise d’une génération entièrement perdue entre deux civilisations différentes ; française d’une part et maghrébine d’une autre part. Cette écriture a pu traiter avec objectivité le problème de la femme traditionnelle

soit agir comme s’il était une « non-personne »ce qui diminue ses chances à être accepté comme membre d’une catégorie sociale. Dans ce genre de rencontre les normaux « risquent de se livrer à des catégorisations déplacées » (p.31) engendrant un malaise, une angoisse, « un flottement » car l’un et l’autre essaie d’interpréter ce que l’autre pense. Face à cette situation, la personne stigmatisé (qui est discrédité) essaye de corriger ce qu’elle estime être le fondement de sa déficience soit directement