Matière grasse alimentaire

et demi- écrémés, natures ou |Lait entier, yaourts au lait entier, petits suisses à | | |sucrés. |40% de matières grasses, fromages à plus de 45% de | | |Fromages jusqu’à 45% de matières grasses autorisés |matières grasses, crèmes desserts. | | |dans les quantités prévues par la ration. |

ce qui revient à 0,005 pour une quantité de 1. La différence étant 0,0032-0,005=0,0018. Donc en un mois une augmentation de 0,0018 €. 2) Législation sur les matières grasses végétales : Article de Franck Lacroix du Journal des pâtissiers du 4 Mai 2000 Dorénavant les industriels européens vont pouvoir ajouter des matières grasses végétales autres que le beurre de cacao (huile de palme, sal, karité et noyaux de mangue) dans leurs préparations, à hauteur de 5% du poids total du produit. Cela

plaquette de 125g mais aussi du cacao en poudre en paquet de 250g. On m’a demandé de faire plusieurs choses. Tout abord, pour commencer, j’ai fait un schéma de production détaillé représentant le cycle d’exploitation de l’entreprise, de l’achat des matières premières et de la distribution des produits finis (-> Voir schéma) Puis, à l’aide du logiciel Excel, j’ai élaboré un modèle de détermination du coût de revient et du résultat de chacun des produits pour le mois de mai J’ai d’abord saisi

| |Cette législation comporte pourtant des risques pour les industriels voulant l’appliquer. | |En effet, il y a un risque si les consommateurs ne veulent pas d’un chocolat avec des matières grasses végétales autre que le beurre de | |cacao qui serait de qualité inférieur, ce qui conduit à un faible marché. | |Donc, même si le coût de production est réduit, le marché étant risqué

Objet : nouvelle législation sur les matières grasses végétales ajoutées Source de la recherche : * www.choco-club.com * www.chococlic.com Après l’examen des coûts de production des mois de Mai et Juin, je constate une augmentation du coût de production du beurre de cacao de 719,28€ dû à l’augmentation du coût du travail dans l’atelier de pressage. Une nouvelle législation propose d’introduire des matières grasses végétales dans la fabrication du chocolat. Il s’agit

législation sur les matière grasse végétales ajoutées Traditionnellement, le beurre de cacao et le sucre était la plus utilisée pour la fabrication du chocolat. Aujourd’hui , une nouvelle législation propose d'introduire des matières grasses végétales autres que le beurre de cacao dans la préparation du chocolat. En effet, celui ci permettra à l’entreprise de réduire ces charges liées à la production du produit intermédiaire beurre de cacao dans l'atelier conchage. Les matières grasses végétales autorisées

partir de la fève de cacao. Celle-ci est fermentée, torréfiée, broyée jusqu'à former une pâte de cacao liquide dont on extrait la matière grasse appelée beurre de cacao. Le chocolat est constitué du mélange, dans des proportions variables, de pâte de cacao, de beurre de cacao et de sucre. On y ajoute éventuellement des épices, comme la vanille, ou des matières grasses végétales. Il existe plusieurs sorte de chocolat (chocolat noir, au lait ou blanc) mais le véritable chocolat à base de cacao est

de cacao dans la fabrication du chocolat. Ces ingrédients sont des matières grasse végétales tel que : illipé, huile de palme, sal, karité, kokum gurgi et noyaux de mangue. Les matières grasses végétales entrent dans la composition de certains chocolats, autorisée à hauteur de 5% du poids total de la tablette au maximum. Les produits qui en contiennent peuvent toutefois continuer à s'appeler « chocolat ». Ces matières sont autorisées à être utilisées pour remplacer le beurre de cacao

artisans et à un coût plus faible (les grands groupes représentent 85% du marché dans ce domaine). Les artisans se voient donc obligés d’innover leurs produits à plus forte valeur ajoutée, c’est-à-dire en transformant beaucoup plus la matière première (Ajout de matières grasses végétales, pur beurre de cacao,…). De plus le marché de la confiserie est très segmenté, ce qui oblige la société et les autres entreprises plus généralement, a toujours devoir innover leur production et s’adapter à la demande. Cela

énergétique préliminaire : L’audit énergétique préliminaire aboutira à un rapport qui doit comporter notamment : Si l’entreprise est à son premier audit énergétique : - Une description de l’entreprise et de ses principales caractéristiques en matière d’utilisation de l’énergie, sa con sommation prévisionnelle d’énergie et une note justifiant le choix des équipements et des matériels visant une économie d’énergie. - Une évaluation du niveau de performance énergétique de l’entreprise