Midrash

1à 11). Verset 13 • “ jkn ,hrC = Alliance du sel ” : Le second jour de la création, D.ieu sépara les eaux des cieux des eaux terrestres et plaça les unes dans les sphères supérieures et les autres dans les sphères inférieures (Béréshit 1,7). Le Midrash rapporte que les eaux terrestres se plaignirent d’être éloignées de D.ieu : elles aussi aspiraient à la proximité Divine. Pour les consoler, D.ieu conclut avec elles une alliance leur promettant qu’elles auraient une compensation dans le service du

répétitives et trouver leur signification. Quelle est la place relative attribuée à l'homme et à l'animal ? Ressemblances et différences. Distinguer la mise en place du cadre de vie et l'installation des habitants. Comparer le début et la fin du récit. Un midrash (commentaire juif de la Torah) rapporte cette question ; "Pourquoi l'homme fut-il créé le dernier jour ? Pour que, si l'orgueil le prend, on puisse lui dire : dans la création, même le moustique t'a précédé." (Genèse Rabba, Ve siècle ap. J.-C.) 2

chèvre que Dieu faisait connaître sa gloire a son peuple. La tente d'assignation était véritablement un lieu de rendez-vous, ou Israël, rencontrait le divin, et une nation entière pouvait vivre dans l’unité d’un dieu résidant en son sein. Le midrash énonce : « Le temple est l’embellissement du monde en ce qu’il représente l’essence même du beau sur terre il rend possible, la relation spirituelle entre dieu et l’homme « Le temple est également une maison de prière pour toutes les nations .Tant

somptueusement exposée jadis par Gershom Scholem dans un volume de ses Judaica III2, qui voit dans l’ensemble de la Torah une suite ininterrompue de noms divins. Et nous savons qu’il existe une relation mystérieuse entre Dieu et son Nom puisqu’un vieux Midrash cosmologique (Pirké de rabbi Eliézer, ch. 3) explique qu’avant la création il n’existait que Dieu et son… Nom. C’est de ce couple mystique, de cette tension polaire extrêmement féconde, que naquit l’univers, pour ainsi dire. La puissance du Nom lui

dans le chapitre 13 décrit le repas Pascal conformément au rituel du midrash (méthode d’exégèse herméneutique, comparative et homilétique) des quatre fils dans la haggadah (enseignements non législatifs de la tradition juive. Ce corpus recouvre un ensemble de récits, mythes, homélies, anecdotes historiques, exhortations morales ou encore conseils pratiques dans différents domaines en résumé le récit) de Pâques. Que dit le midrash : ce soir-là quatre fils sont censés posés quatre questions. Le sage

jouent le rôle de l’apologue (discours narratif démonstratif, à visée argumentative et didactique, très souvent allégorique qui renferme des enseignements, dont on tire une morale pratique) et surtout dans les Évangiles, qui les ont empruntées au midrash hébreu. Quels enseignements ou quelle morale pratique en tirer ? La religion musulmane reprend le dialogue sujet en substance et lui donne un sens explicite : « Une nuit de ramadan de 611 de notre ère, Mahomet s'est endormi dans une grotte du

used euphemistic language," i.e. to avoid anthropomorphism and anthropopathism). Rabbi Simon ben Pazzi (third century) calls these readings "emendations of the Scribes" (tikkune Soferim; Midrash Genesis Rabbah xlix. 7), assuming that the Scribes actually made the changes. This view was adopted by the later Midrash and by the majority of Masoretes. In Masoretic works these changes are ascribed to Ezra; to Ezra and Nehemiah; to Ezra and the Soferim; or to Ezra, Nehemiah, Zechariah, Haggai, and Baruch

par laquelle nous pouvons comprendre et saisir le divin (qui devient « notre Double Divin »), que nous avons accès à un attachement profond. Les commentaires juifs classiques offrent plusieurs interprétations de l'échelle de Jacob : * Selon le Midrash qui est une méthode d’exégèse particulière des textes bibliques, l'échelle représente les différents exils que le peuple juif sera obligé d'endurer avant la venue du Messie. Tout d'abord l'ange, représentant les 70 années d'exil à Babylone, monte

admet couramment qu’à côté de la Torah, la Loi écrite, existe une tradition orale, une Torah orale transmise de génération en génération depuis Moïse. Ces commentaires oraux sont le Midrash (signifiant étudier les textes pour en tirer des enseignements) halakha (enseignement législatif, de Halah’a = marcher) et le Midrash haggada (enseignement narratif et moral). Le rôle de la Torah orale est de permettre l’application de la Torah écrite dans les situations concrètes de la vie. Szlakman en donne un

Alexandrie,foyers de grandes traditions théologiques chrétiennes et dépositaires de la science hellénistes. Nisibe, Soura, Poumbedita, Mahoza, Bassora, Bagdad : (,) où se situaient les grandes académies juives qui ont finalisé le Talmud, élaboré le Midrash Rabba, les grands corpus halakhiques. Les nouveaux membres de l’Empire, ne voulant point renoncer à leur culture d’origine se mirent à traduire leurs livres, notamment ceux de la culture grecque et helléniste : Platon, Aristote, Plotin, Proclos,