Mondialisation Et Territorialisation

Les dynamiques des espaces productifs dans la mondialisation Les espaces productifs français ont beaucoup évolué ces trente dernières années. Le recul (voire la disparition) des industries traditionnelles dans le cadre de la nouvelle division internationale du travail a entraîné la reconversion d'anciennes régions industrielles tandis que d'autres activités se développaient en particulier dans les grandes aires urbaines. Les activités économiques françaises se sont donc territorialisées autour

Les espaces productifs Les espaces productifs dans la logique de la mondialisation A. La France un des cinq espaces productifs au monde La France est la 5 eme puissance économique juste derrière l’Allemagne Menacée par puissance émergentes → BRIC Cette puissance française s appuie sur grande firmes transnational (FTN) ex : l'Oreal, alstom, Axa.. Dans le luxe, énergies renouvelables, travaux publics... les entreprises française occupent positions fortes. Toutefois, il ne faut nuancer

Nations-Unies, elles concentrent, selon les sources, des populations égales ou supérieures à 8 ou 10 millions d'habitants, disposent d'aires d'influence d'ordre international, voire mondial. Elles ont tout particulièrement bénéficié des processus de mondialisation des dernières décennies. Métropole : grande ville qui concentre des fonctions de direction, une population nombreuse, des activités variées et qui exerce une influence sur un vaste espace comprenant la ville-centre, les banlieues et l’espace

p49 :1.) La fin de la guerre froide marque-t-elle la fin des rivalités interétatiques dans l’espace ? Justifiez votre réponse.La fin de la bipolarisation du monde en 1991 ne met absolument pas fin aux rivalités interétatiques dans le cadre de la mondialisation. Comme le nationalisme de puissance qui a consisté à constituer des Empires coloniaux à la fin du XIXe siècle, les États les plus développés font de la conquête spatiale un enjeu de prestige, scientifique et économique à travers l’utilisation

politiques dualistes menées en faveur des riches ou en direction des pauvres 3) Une dualité accentuée par l’ouverture économique actuelle du Cône Sud : le pouvoir des "riches" de la mondialisation II. Riches et pauvres sur les territoires du Cône Sud : une ségrégation socio-spatiale criante 1) Une territorialisation des écarts de richesses 2) Une urbanisation fortement ségrégative 3) À l’échelle régionale, les écarts villes/campagnes 4) « Riches et pauvres » : une typologie des pays du Cône

réception : le lieu de réception (chez moi, à l’extérieur, seul ou en famille, etc.) influe la façon dont nous intégrons l’information ; la réception dépend du cadre de réception. Ici, c’est la question de la spatialité de la réception, et de la territorialisation du message.  Négativité : la réception est paradoxale, car le public, les récepteurs, ont une posture ambivalente par rapport aux médias. Les affects liés au médiatique sont souvent négatifs. La réception se prolonge dans l’espace et dans le

concept de créolité, par soucis notamment de distinction avec les conceptions littéraires des auteurs antillais (Éloge de la créolité). L'océan indien est décrit ici comme « radicalement marqué par le divers [...] espace sans supranationalité ni territorialisation précise » et c'est dans cet univers qu'est « amarré » la créolité réunionnaise. D'après les auteurs, c'est par la réappropriation du territoire, son histoire et son ancrage dans l'espace de l'océan indien qu'une ouverture sur le monde s'opère

Chapitre 1 : Les frontières, objet géographique.Les frontières sont devenues de véritables objets géographiques en lien avec la territorialisation politique du monde ainsi que l’organisation des espaces. I] La notion de frontière. A) Définition. Dans l’étymologie du mot « frontière », on va retrouver le terme de « front». Ainsi, on peut retrouver à l’origine du mot l’idée de confrontation mais ça pourrait aussi renvoyer à l’idée de face à l’autre . Mais frontière = limite

localités éloignées de telle manière que les événements locaux sont modelés par des événements survenant nombreux miles loin et vice-versa» (Giddens, 1990: 21) mais aussi «L'intégration de l'économie-monde» (Gilpin 2001: 364) ou encore "De territorialisation ou la croissance des relations entre les gens supra territoriaux" (2000:46 Scholte) A travers ces définitions, nous constatons qu'au cours des trois dernières décennies, l'ampleur et la portée de l'inter connectivité mondiale est devenue

qu'est la mondialisation en échappant à toute logique de territorialisation des religions. Celle-ci impliquait des processus de déculturation et d'inculturation, c'est-à-dire l'installation des religions au coeur d'une culture déjà existante. Ainsi, en découlait un brassage permanent des cultures et des religions, encouragé par le politique. Désormais, le religieux semble devenir de plus en plus autonome par rapport au culturel et au politique. Ce phénomène est lié à la mondialisation, c'est-à-dire