Monologue Exprimer Sentiment

forgeron » 1. CLASSIFICATION DES GENRES DRAMATIQUES Nous allons au théâtre pour recevoir un choc émotionnel, soit que nous voulions pleurer les malheurs de nos semblables, soit nous voulons rire de leur aventures ou de leur défaut. Ces deux sentiments définissent les genres dramatiques. Pleurer, c’est la tragédie ; rire, c’est la comédie. Parfois le rire se mêle aux larmes ou à l’effroi ; c’est alors un genre intermédiaire : le drame. LA TRAGEDIE : La tragédie représente une action propre

dans l’espoir du succès! Non! non, c’est bien plus beau lorsque c’est inutile!« … Cyrano de Bergerac pourtant, derrière cette impressionnante carapace, a une âme sensible de poète. Il est amoureux de sa cousine Roxanne, il ne peut lui exprimer ses sentiments. Affublé d’un nez impressionnant, il se trouve laid et n’ose, de peur de voir son cœur brisé d’un mauvais rire, lui dévoiler son amour pour elle. Il trouve pourtant un ingénieux stratagème… En bref, Cyrano, aime Roxanne, sa cousine. Roxanne

son miroir permet au héros de reprendre des thèmes-clés de la pièce  comme la logique (« Il suffit peut-être de rester logique jusqu’à la fin ») et du monologue de l’acte III scène 5 : l’obsession de la « lune » et de la « consommation »,  avant d’être assailli par les conspirateurs. (Lecture du passage) Nous nous demanderons en quoi ce monologue est particulièrement tragique. (Annonce des axes)   I Un soliloque pathétique et lyrique   A)            Un dédoublement pathétique : L’objet miroir

journal qu'un condamné à mort écrit durant les vingt-quatre dernières heures de son existence dans lequel il relate ce qu'il a vécu depuis le début de son procès jusqu'au moment de son exécution, soit environ six semaines de sa vie. Ce récit, long monologue intérieur, est entrecoupé de réflexions angoissées et de souvenirs de son autre vie, la « vie d’avant ». Le lecteur ne connaît ni le nom de cet homme, ni ce qu'il a fait pour être condamné, mis à part la phrase : « moi, misérable qui ai commis un

présentée comme la femme la plus belle au monde, grâce aux superlatifs absolus « la plus … » et l’anaphore. V.7 et V.8. 2) Cyrano présente l’amour que lui inspire sa cousine Roxane de façon contradictoire : L’oxymore « danger mortel et exquis » exprime l’idée de « piège » et « d’embuscade » dans lesquels le héros à l’impression d’être tombé. V.10 et V.12. 3) La comparaison de Roxane avec les déesses Gréco-romaines Vénus (déesse de la beauté et de l’amour) et Diane (déesse de la chasse) : Cela

Arnolphe se livre à un monologue. Nous parlerons d'abord de la situation comique, puis d'Horace, un jeune premier et enfin du trouble d'Arnolphe. Dans ce passage, on repère une situation comique, notamment un quiproquo. Il débute lorsque Horace nomme Agnès comme étant son amante "C'est Agnès que l'on l'apelle" au vers 327. A partir de cette réplique, Arnolphe est troublé (nous y reviendrons dans la troisième grande partie de ce commentaire) et s'embarque dans un monologue. Horace ne sait pas

donc des mariages de « raison » dans lesquels les intérêts priment sur les sentiments. Les affaires des parents sont objectives. En effet, les parents veulent augmenter le prestige des familles. Mais les classes ne se mélangent pas. En outre, on a une discrimination sexuelle et la femme est le sexe faible, vouée à l’intimité et aux tâches domestiques. Ensuite, on retrouve l’amour courtois, ça veut dire que le sentiment d’affection et de tendresse qui respecte une conformité que deux personnes partagent

description souligne que l'unicité de cette personne a réussi à faire disparaître toutes les autres personnes. 2. La cristallisation amoureuse L'homme amoureux est ébloui. On a un portrait assez vague de la femme, il nous renseigne sur le sentiment mais non pas l'apparence. On note aussi l'emploi du mot « palpitaient », on peut supposer que ce qui palpite est le cœur de Frédéric. Il est en état amoureux. Les objets qui entourent Mme Arnoux « le panier », « long châle ». Nous remarquons que

qu’elles fournissent au lecteur. 2) À la page 56, observez la dernière réplique de Caligula. Comment nomme-t-on ce type de prise de parole ? 3) D  ans la scène 5 de l’acte III, pourquoi peut-on dire que la dernière réplique de Caligula est un monologue ? À qui s’adresse-t-il véritablement ? 4) Observez les répliques aux pages 160 et 161. Pourquoi peut-on dire que le rythme s’accélère ? II. Retenir et pratiquer 1) Le texte théâtral est composé des paroles des personnages et de didascalies, inscrites

journal qu’un condamné à mort écrit durant les vingt-quatre dernières heures de son existence dans lequel il relate ce qu’il a vécu depuis le début de son procès jusqu’au moment de son exécution, soit environ six semaines de sa vie. Ce récit est un monologue interne. Il est entrecoupé de réflexions angoissées et de souvenirs de son autre vie, la "vie d’avant". Le lecteur ne connaît ni le nom de cet homme, ni ce qu’il a fait pour être condamné, mis à part la phrase : « moi, misérable qui ai commis