Notions Abstraites Et Morales

pour se soumettre a la volonté générale. Il a une impulsion quasi sociologique , et va naitre un corps moral et collectif ou chacun n'obéit qu'a lui même. Le contrat n'est pas formalisé. Ces differentes théorie A RETENIR : C'est un moment de rupture par rapport aux autre Etat , car l'etat n'est plus une volonté divine mais le produit d'un contrat entre les hommes , l'Etat de nature est abstrait certe , mais c'est le moment ou il n'est pas créé par Dieu , et l'État procède de la volonté des humains

n°2 : Le droit et les autres règles de conduit Dissertation : Le droit et la morale Les notions de droit et de morale sont relativement proches par certains aspects et par d’autres, éloignées. Il convient donc de les différencier tant par leurs buts que par leurs définitions, ou encore par leu fonctionnement. En effet, le droit a pour but de maintenir l’ordre social alors que la morale est une notion plus abstraite qui vise à perfectionner l’homme. La distinction de ces deux termes expose qu’ils

droit puis dans un second temps comment la règle de droit pourra être revendiquer par les juges de droit. Le droit objectif La règle de droit est souvent proche des règles qui parfois vont directement l'inspirer, on pense par exemple à la morale, à la religion ou encore la simple règle de politesse/de savoir vivre (ex : art 371 du CC « l'enfant doit honneur et respect à ces parents »). Le droit du mariage, laïque s'inspire directement du droit du mariage canonique cad droit de la religion

AUTRUI Est-il dans la nature de l’homme de faire la guerre ? Qu’est-ce qu’un homme seul ? La notion d’autrui pourra être analysée autour de notions concurrentes : le prochain, le semblable, l’autre, l’alter ego, le frère, l’ami. On pourra aussi penser aux notions contraires : barbare, étranger, sauvage… On s’attachera ici à comprendre les problèmes qui surviennent dans ces différents modes de rapport à l’autre. I. Autrui : le semblable et le différent

les systèmes de règle moral et religieux. Ces systèmes ne sont pas identiques mais ils entretiennent une relation étroite. I) Le droit et la morale Moral : pas de véritable définition. C'est la science du bien et du mal. Ensemble de règles de conduite qui sont considérées comme bonnes. (exemple : il ne faut pas tuer quelqu'un). La morale édicte également des normes de comportement. Elle a pour objet de dire ce qui est bien et ce qui est mal. A la différence du droit, a morale relève du for intérieur

consistent dans les notions mêmes de bonheur et d’immoralité, quant au troisième, il porte sur leur relation caractéristique. (i) L’immoralité : cette notion se démarque au premier abord par son caractère privatif. L’immoralité apparaît comme la négation de la moralité, autrement dit comme la contradiction des principes définissant ce qui est qualifiable de moral. Qualifier quelque chose de moral, en l’occurrence un homme quelconque, suppose la référence à la notion même de morale. Si la transition

interprète ( ex : vol = soustraction frauduleuse de la chose d’autrui ). Peut-on voler une chose immatérielle ? Oui . CHAPITRE I . Le droit : un texte I. Les notions des règles de droit. 1) Les caractères des règles de droit : Caractère général et abstrait : règle établie pour un nombre de faits indéterminé .De manière abstraite et générale , elle n’est pas forcément universelle , elle peut être pour une catégorie de personnes ( ex : salariés ). Egalité des citoyens. Caractère permanent :

sévère. Sans sanction, l'individu se sent moins obligé de se soumettre à une règle. C'est à la fois un phénomène social et normatif. Après l'avoir étudié nous étudierons sa mise en œuvre. Chapitre 1 : Le droit : phénomène social et normatif La notion de droit désigne 2 réalité distinctes. D'un côté le droit objectif qui réunit l'ensemble des règles juridiques régissant la vie en société et de l'autre, les droit subjectif qui regroupe les prérogatives reconnues par le droit objectif à des individus

violence, ses horreurs et la facilitavec laquelle l'esp鐵e s'y adonne. Or, dans un monde ola guerre n'est plus vu comme quelque chose de souhaitable ni bon, les collectivit駸 cherchent se justifier lorsqu'ils entrent en conflit l'une avec l'autre. La notion d'une guerre justifi馥 et bonne na羡 alors; une guerre n馗essaire afin de contrer un mal encore plus grand que la guerre elle-m麥e. Dans son livre, le philosophe Walzer questionne la moralitde la guerre, plus pr馗is駑ent il cherche 騁ablir sous quelles conditions

essentiellement dans la Nation ». Démocratie : Détenue par le peuple représenté par une entité « abstraite » (selon Sieyès) : La Nation. Il existe des représentants pour porter cette souveraineté. Peuple : Nation : Nation souveraine : constituant une personne morale distincte des individus qui la composent et ayant une volonté propre. → La nation doit être dotée d'un statut juridique en tant que personne morale qui définit les organes habilités à parler et agir en son nom. Statut juridique de la nation