Pierre et le Loup

« LE LOUP ET LE CHIEN » JEAN DE LA FONTAINE Sophie LU 1ES Introduction L’apologue, du grec « apologos » qui signifie un récit détaillé, ou bien la fable, est un court récit rédigé en vers ou en prose, souvent présenté sous forme allégorique et contenant un enseignement moral, une portée didactique. Le grec Esope est considéré comme le fondateur de ce genre littéraire dès l’antiquité, au VIème siècle avant J.C. Puis, ses fables en prose on était reprises par le fabuliste latin Phèdre au Ie siècle

version bavaroise du Petit Chaperon rouge, publiée en 1812. Le dénouement de l’histoire est bien plus optimiste que celui de Perrault : avalés par le loup, le petit Chaperon rouge et sa grand-mère sont sauvés par un chasseur qui passait par là. Il ouvre le ventre du loup endormi, libère la vieille dame et sa petite fille et les remplace par de lourdes pierres. B- La version de Charles Perrault En 1697, Charles Perrault donne la première trace écrite du Petit Chaperon rouge, dans les Contes de ma Mère

suis mort, ce qui pourrait tout aussi bien être possible au vu de la violence du choc de l’accident, mais ce ne sont que les deux seules explications rationnelles. Après plusieurs minutes je me décide enfin à ouvrir les yeux. Je suis allongé sur une pierre au soleil près d’une chute d’eau. Je me lève instinctivement et réalise alors que je suis au sommet d’une montagne surplombant une vallée couleur d’émeraude. Au loin on apercevoir d’immenses étendues de plaines où se dressent de nombreux villages

Lion, le Loup et le Renard » et sa réécriture par Jean de La Fontaine, fabuliste classique. D’une part, ces deux fables présentent de nombreux points communs. En effet, les titres identiques opposent trois animaux par leurs caractères moraux. Les deux textes retracent la même mésaventure, celle d’un loup qui médit du renard auprès du Lion, mais qui retombe dans son propre piège face à la ruse du renard. Les deux fables formulent de manières similaires la chute de l’histoire : « Le Loup fût incontinent

Livre : IX. Fable : 19, composée de 31 vers. « Quoi ? toujours il me manquera Quelqu’un de ce peuple imbécile (1)! Toujours le loup m’en gobera ! J’aurai beau les compter : ils étaient plus de mille, 5 Et m’ont laissé ravir notre pauvre Robin (2) ; Robin mouton qui

Philippe Weigel Page 1 de 9 file://C:\colloque99\colloque99\226.html 20/01/2000 LES ARTS DU SPECTACLE DANS TROIS RÉCITS DE VOYAGE DE PIERRE LOTI: INSERTION DE DIFFERENTS NIVEAUX DE FICTION DANS LE TEXTE RÉFÉRENTIEL Philippe Weigel Université de Mulhouse L'auteur : Maître de conférences à l'Université de Haute-Alsace, il est membre du Centre de Recherche sur la Littérature de Voyage (Paris IV/Sorbonne), ainsi que du Centre de Recherche sur l'Europe Littéraire (Université de Haute-Alsace)

prospérer la maison de commerce de Bordeaux. Son père, Pierre Eyquem, premier de la famille à naître au château de Montaigne, en 1495, rompt avec le commerce et embrasse la carrière des armes. Il participe aux campagnes d'Italie. En 1519, « noble homme, Pierre Eyquem, seigneur de Montaigne, écuyer », rend hommage à l’archevêque de Bordeaux, suzerain de la baronnie de Montravel. Sa roture est définitivement éteinte. En 1529, il épouse Antoinette de Louppes de Villeneuve (ou Lopez de Villanueva), fille et

clan pour être accepté. Mère et père Loup, soutenus par Baloo et Bagheera, ont dû convaincre les autres loups d’accueillir le petit d’homme, malgré sa fragilité et sa différence. ère Loup attendit jusqu’à ce que ses petits pussent un peu courir, et alors, la nuit de l’assemblée, il les emmena avec Mowgli et Mère Louve au Rocher du Conseil – un sommet de colline couvert de pierres et de galets, où pouvaient s’isoler une centaine de loups. Akela, le grand loup gris solitaire, que sa vigueur et

Un personnage traditionnel : le loup Cette partie tente de montrer comment le loup, victime de préjugés, sera bafoué dans toutes les littératures, et comment, bien plus tard, les observations scientifiques entraîneront sa réhabilitation en particulier dans le monde littéraire. A. Le loup dans l’Histoire : un personnage à éviter ! Si dans les contes traditionnels de Perrault ou des frères Grimm par exemple, le loup occupe toujours le rôle du personnage méchant, cruel et solitaire, ce n'est

LE LOUP. Voici ce que nous raconta le vieux marquis d'Arville à la fin du dîner de Saint-Hubert, chez le baron des Ravels. On avait forcé un cerf dans le jour. Le marquis était le seul des convives qui n'eût point pris part à cette poursuite, car il ne chassait jamais. Pendant toute la durée du grand repas, on n'avait guère parlé que de massacres d'animaux. Les femmes elles-mêmes s'intéressaient aux récits sanguinaires et souvent invraisemblables, et les orateurs mimaient les attaques