Requisitoire Contre Phèdre

Henriette d'Angleterre assure sa réputation. Après une unique comédie, les Plaideurs, en 1668, il revient définitivement à la tragédie et donne successivement Britannicus (1669), Bérénice (1670), Bajazet (1672), Mithridate (1673), Iphigénie (1674) et Phèdre (1677). Résumé1: Acte I - Agrippine, au petit matin, attend une entrevue avec son fils, l’empereur Néron, qui, sans prévenir sa mère, vient d’enlever Junie, l’amante de Britannicus ; celui-ci, fils de Messaline et de Claude (mort dans des conditions

original, inimitable… S’ensuit un réquisitoire : -          Ses premières comédies sont sèches, languissantes : cela touche le style (qui manque donc de variété, d’images) et l’action, qui manque de rythme : critique purement littéraire. On notera l’antithèse : ses premières /ne laissaient pas espérer/aller si loin // ses dernières / font qu’on s’étonne/tomber de si haut. Là encore, le venin est dans la fin de la phrase. -          Des fautes inexcusables contre les mœurs : ici, c’est le moraliste

l'histoire et de couper le spectateur du monde extérieur. Jugée jusqu'alors souvent secondaire, la mise en scène devient primordiale au XXe s . D'autres aspect sont alors a étudier « Le théâtre est autant visuel qu’auditif écrit Ionesco dans ces Notes et contre-notes. Par ailleurs,Beaumarchais a été un précurseur puisque il donne de nombreuses indications scéniques comme le placement des acteurs, leurs costumes sont décrit très précisément ainsi que la manière dont les personnages doivent être joué dans

le lecteur peut tirer une leçon. Voltaire emploie ici le registre ironique en laissant la parole à l'esclave de Surinam lui-même. Ce dernier évoque les excès de la traite des esclaves et du Code Noir, et les procédés mis en oeuvre dans ce réquisitoire contre l'esclavage (registre polémique), tout comme les larmes de Candide à la fin du passage (registre pathétique : hyperboles, apostrophes, exclamatives), traduisent l'indignation et la critique de Voltaire. Le quatrième texte est la scène première

l’argumentation du XVI siècle à nos jours Problématique : Etudes transversales et/ou thématiques : Découvrir les différentes stratégies argumentatives au service du thème abordé par les auteurs et leur efficacité sur le destinataire. Séquence 1 : Utopie et contre-utopie Des apologues Texte 1 : Candide ou l’optimisme de Voltaire, 1759, Chapitre XVIII, L’Eldorado, « Ils entrèrent dans une maison fort simple … Il est certain qu’il faut voyager » - Texte 2 : Georges Perec, W ou le souvenir d’enfance, 1975 chapitre

d’acteurs importants de la vie politique. Dédicacer à un enfant permet aussi au fabuliste de s’inscrire dans la veine didactique propre au genre argumentatif de la fable. La Fontaine, s’il n’invente rien, réécrit en vers les apologues d’Esope, puis de Phèdre ( cf manuel). Nous nous demanderons pourquoi l’on peut dire de cette fable qu’elle prend la forme d’un procès. Dans une première partie nous montrerons que « le loup et l’agneau «  emprunte à la forme traditionnelle de la fable, puis dans une seconde

de choses vont ê soulignées dans leur rapport pour les opposer : * Corneille = vertu romaine (Ms Nicomède c’est en Bithynie, Rodogune c’est en Syrie, Le Cid en Espagne médiévale, Médée en Grèce) * Racine = lyrisme de la poésie grecque (= Phèdre, Bajazet -> on est dans le mythe, ça n’a rien de grec) Méfions-nous des stéréotypes ! Britannicus = pièce qui, avec Bajazet … Dans sa concept° même de la trag, Corneille tendait tjs à minimiser la place de l’amour qui …. (En orange : A reprendre

moi : Cette fable est une satire politique dirigée contre la perfidie des courtisans, ministres et conseillers du roi. C’est presque l’histoire de toute société humaine : le lieu de la scène est imposant ; c’est l’assemblée générale des animaux. L’époque en est terrible, celle d’une peste universelle. INTRO La Fontaine a marqué le 17eme siècle par ses fables. 1ere publication des Fables à partir de 1668. Il s’est inspiré des fabulistes Phèdre et Esope. Les fables sont un court récit qui contient

s’intervertissent et se confondent, l’erreur peut échapper et elle est sans vraie conséquence sur la compréhension globale du passage, et ne « trahit » pas la pensée de l’auteur. Il n’en reste pas moins qu’il s’agit là de ce qu’on appelle communément un contre-sens dans une version (ou un résumé…) Grappillons maintenant dans cinq des divers opuscules consacrés au programme des CPGE scientifiques et consacrés pour 2010-2011 au « mal2 ». Bréal, page 69, parle de la scène 3 de l’acte V, au lieu de la

on peut établir un parallèle entre trois des textes utilisant le registre polémique : celui du Chevalier de Jaucourt (par ailleurs, le texte relève du registre didactique car il vise à informer aussi bien qu'à convaincre), celui de Voltaire (le réquisitoire) et celui de Marivaux dans la mesure où Arlequin dénonce les abus de l'aristocratie dans sa tirade de la fin du passage : « tout en irait mieux dans ce monde, si ceux qui te ressemblent recevaient la même leçon que toi ». Un autre registre est