Ruy Blas Une Coupure Avec La Tragedie Classique

quelques jours ; je me sens souffrant, ou plutôt je me sens triste. D’où viennent ces influences mystérieuses qui changent en découragement notre bonheur et notre confiance en détresse ? Guy de Maupassant, Le Horla. Ed. Gallimard, collection Folio classique. COMPARER DIFFERENTS TEXTES AUTOBIOGRAPHIQUES Compare les extraits autobiographiques suivants et élabore un compte rendu de lecture que tu présenteras en classe. « J’étais presque mort quand je vins au jour. Le mugissement des vagues, soulevées

lecteur de se dégager du récit anecdotique de l’intrigue pour donner du sens à l’histoire racontée et mettre le film en relation avec la vie de l’auteur et d’autres œuvres. Par exemple, on apprend que le film n’a « rien du récit autobiographique classique », que c’est une « fable sur l’exclusion et la solidarité », « une fantaisie douce-amère », une « satire », « un clin d’œil discret aux trognes du cinéma muet », « sur un registre franchement burlesque ». « cinéaste engagé » 3. La journaliste

particulièrement cette œuvre. Pour une question de langage. C’est comme si on voulait mettre en scène un poème de Baudelaire. Ce serait quelque peu absurde. — L’élaboration de votre travail s’est-elle faite à partir de références à la représentation classique de la tragédie ? — Non. Absolument pas. Je ne me suis inspiré d’aucune théorie particulière et n’ai eu recours à aucune référence. — Avez-vous travaillé à partir d’images suggérées par la lecture de la pièce ? Les images ne sont pas venues. Alors, en désespoir

Philippe Bouvard… Pourquoi j’ai choisi ce thème ? D’abord, parce que en tant que collectionneur de gravures, je ressens une attirance naturelle pour la beauté du monde exprimé par l’art, et il me semble que revisiter de temps en temps des grands classiques et leurs réflexions sur l’art ne peut nous faire que du bien. A une époque où, trop souvent, on est si pressé qu’on en tombe dans l’inaction et où on a une certaine tendance à confondre ambition avec mauvaise éducation, relire des réflexions posées

mérite pourtant la même sorte d'attention, que peut faciliter sa cohérence initiale, mais que risquent de compliquer les détours, plus subtils que les manuels ne l'enseignent, de sa stratégie narrative. Ce fut l’un des mérites de l'édition des « Classiques Garnier », établie en 1963 par M.-F. Guyard, de comporter à la fin de son deuxième tome un relevé assez précis des principales dates qui jalonnent les cheminements de l'intrigue. Il y manque cependant les références nécessaires pour le contrôle

suis tranquille et calme. Pour écrire, je n’écris pas ou presque point, je me contente de bâtir des plans, de créer des scènes, de rêver à des situations décousues, imaginaires, dans lesquelles je me porte. […] Drôle de monde que ma tête ! » Il a lu Ruy Blas d’Hugo. Rédaction de la deuxième partie des Mémoires d’un fou. Flaubert a dix-sept ans. « Depuis sept à huit jours, je n’ai le cœur de travailler à quoi que ce soit. […] Je ne sais s’il faut continuer mon travail qui ne m’offre que difficultés insurmontables

renversée ». --------------------------------------------------------------------- II) Annonce des thèmes fondamentaux de l’œuvre. A) La vie et la mort. Fragilité de la vie face à la mort. L’arbre de la scierie : la scie incarne déjà la coupure; la mort pour l’arbre. Il annonce déjà le motif de la mort présente à travers l’arbre charnier. B) Eloge du hêtre et de sa beauté incomparable. : fascination liée à la nature qui constitue une source de spectacle et de fascination. Les formules

temps dans le théâtre classique). Les éléments perturbateurs constituent l’intrigue de la pièce, qui trouve sa solution au dénouement. Pour plus de vivacité (et souvent au mépris de la vraisemblance), l’action se conclut souvent sur un coup de théâtre. Ainsi, dans Les Fourberies de Scapin, l’épouse imposée par le père d’Octave se révèle être celle que son cœur avait choisie. 26 Le genre théâtral • Pour donner plus de vraisemblance à la représentation, le théâtre classique s’imposait la règle de