Scipione del Ferro

mathématicien Del Ferro (Scipione del Ferro né à Bologne le 6 février 1465 - décédé à Bologne le 5 novembre 1526, est un mathématicien italien, célèbre pour avoir trouvé le premier la méthode de résolution d'équation de troisième degré sans terme quadratique) parvint à trouver certaines solutions d’équations du troisièmes degré. Il montre vers 1500 que l’équation x3+px+q=0 a pour racine x=3-q2+q24+p327+3-q2-q24+p327 Il garde sa méthode secrète mais Del Fiore ( qui étais l’étudiant de Del Ferro

l'arithmétique. Il est aussi, en 1543, le premier à traduire en italien les Eléments d'Euclide. Surtout, le nom de Tartaglia est attaché à la résolution des équations cubiques (du 3ème degré). Le premier à avoir résolu ce type d'équations est Scipione del Ferro. Il ne publie pas ses résultats, mais les transmet vers la fin de sa vie à son élève Fior. Celui-ci en profite pour gagner de nombreux "concours mathématiques". En 1535, l'un de ces concours l'oppose à Tartaglia. Chacun propose à l'autre 30

les pierres tombales comme ardoise. Devenu adulte, il gagne sa vie en enseignant les mathématiques dans différentes villes d'Italie et en participant à des concours. En 1535, lors d'une confrontation avec Antonio Maria Fior (un des élèves de Scipione del Ferro), on lui propose trente équations du troisième degré du type . Les résolutions ne se font, à l'époque, à l’aveuglette. Tartaglia est célèbre pour avoir donné la démonstration de la résolution des équations du troisième degré publiée par Cardan

redécouvrir les mathématiques à l'Europe. Il y avait aussi une activité mathématique en Allemagne, en Italie et en Pologne aux XIVe siècles et XVe siècle. On assiste à un développement important de l'école italienne avec Cardan, Ferrari, Tartaglia, Scipione del Ferro, Bombelli, qui fut orienté vers la résolution des équations. Cet enseignement se diffuse dans des botteghe d'abbaco ou « écoles d'abbaques » ou des maestri enseignent l'arithmétique, la géométrie et les méthodes calculatoires à de futurs marchands

Mercator propose sa représentation de la Terre par une projection cylindrique (1565). L'algèbre se développe, principalement en Italie, à partir de l'héritage gréco- arabe. Luca Pacioli publie la Summa (1494), sur les équations du second degré. Scipione del Ferro résout l’équation x3+ax=b (1500). Tartaglia résout une trentaine d’équations du troisième degré (vers 1535). Cardan publie en 1535 la méthode de résolution des équations du troisième degré dans Ars Magna. Il n’utilise comme coefficients que

Mathématiques Parallèlement au développement des sciences, se concentre une activité mathématique en Allemagne, en Italie et en Pologne aux XIVe siècle et XVe siècle. On assiste à un développement important de l'école italienne avec Scipione del Ferro, Tartaglia, Cardan, Ferrari, Bombelli, école principalement tournée vers la résolution des équations. Cette tendance est fortement liée au développement dans les villes italiennes de l'enseignement des mathématiques non plus dans un but

(1512-1594) propose sa représentation de la Terre par une projection cylindrique (1565). L'algèbre se développe, principalement en Italie, à partir de l'héritage gréco-arabe. Luca Pacioli publie la Summa (1494), sur les équations du second degré. Scipione del Ferro (1456-1526) résout l’équation x3+ax=b (1500). Tartaglia résout une trentaine d’équations du troisième degré (vers 1535). Cardan publie en 1535 la méthode de résolution des équations du troisième degré dans Ars Magna. Il n’utilise comme coefficients

révolution scientifique. ⇒ Mathématiques : L'algèbre se développe, à partir de l'héritage gréco- arabe. Regiomontanus découvre les Arithmétiques de Diophante (1464), 
Luca Pacioli publie la Summa (1494), sur les équations du second degré.
 Scipione del Ferro (1456-1526) résout l’équation x3+ax=b (1500).
Tartaglia résout une trentaine d’équations du troisième degré (vers 1535).
Cardan publie en 1535 la méthode de résolution des équations du troisième degré dans Ars Magna. Il n’utilise comme coefficients

tra zona e zona sono notevoli, e dove sussistono nette differenze etniche e linguistiche (Province Basche, Galizia, Catalogna) assai viva è l'aspirazione autonomistica. Le città più importanti, oltre a Madrid che è il centro politico e amministrativo del Paese, sono: Barcellona, Valencia, Bilbao, Saragozza, Siviglia, Malaga, Palma di Maiorca, Toledo, Pamplona, Granada, Cordoba, Segovia, Las Palmas, Santa Cruz de Tenerife. ν Economia. Sull'agricoltura spagnola, in via di sviluppo, pesano, oltre a condizioni

mathématiques à l'Europe. Parallèlement au développement des sciences, se concentre une activité mathématique en Allemagne, en Italie et en Pologne aux XIVe siècle et XVe siècle. On assiste à un développement important de l'école italienne avec Scipione del Ferro, Tartaglia, Cardan, Ferrari, Bombelli, école principalement tournée vers la résolution des équations. Cette tendance est fortement liée au développement dans les villes italiennes de l'enseignement des mathématiques non plus dans un but purement