Spinoza Interprétation Des Textes Sacrés Et

Seigneur Jésus, Jéhovah, Allah, etc. Cette idée va au-delà de du nom, est plus seulement le développement d'une interprétation de la révélation. Pour être précis, il faudrait dire « ce que le musulman entend par Allah c'est... », « Ce que le juif entends par Yahvé c'est... » etc. selon telle ou telle interprétation. Le croyant admet qu'une seule religion est bonne à partir de son interprétation de ce qu'il croit être Dieu. Les autres, à la rigueur, ont peut-être de bonnes intentions, mais elles ne sont

Profil Notions Philosophiques Collection dirigée par Laurence Hansen-Løve Frédéric Rognon La religion Textes expliqués – sujets analysés (Première édition : mars 1996) PhiloSophie © octobre 2008 Texte sous droits d’auteur Table des matières Introduction .............................................................................. 6 Les difficultés d’une définition .................................................... 6 Le contenu des croyances .................................

de valeurs plus nobles par une morale mais aussi la puissance de son imagination combinaison qui va produire notamment une grande diversité d’art religieux mais cette diversité de religion est aussi un problème puisque toutes religions est une interprétation du monde qui se donne pour vrai; or si les croyances voir les dogmes propre à une religion sont différentes de ce des autres comment concevoir que toute soit également vrai ? Le conflit sur la vérité à entrainée à travers l’histoire des ostracismes

de bonne conduite et annexes, objectifs, plan général. 2) La démarche philosophique. 3) La société bonne : approches descriptives et prescriptives. CHAPITRE 1 : LE SENS DE L’HISTOIRE (4 heures). De l’observation des faits à leur interprétation. 1) F. Braudel. 2) C.W. Graves. 3) G.W. Hegel. 4) K. Marx. 5) F. Fukuyama. CHAPITRE 2 : LES FORMES DE SOCIETES STRUCTUREES (4 heures). Description de modèles d’organisation socio-économique. 1) Le

l'ensemble des croyances, sentiments, dogmes et pratiques qui définissent les rapports de l'être humain avec le sacré ou la divinité. Une religion particulière est définie par les éléments spécifiques à une communauté de croyants : dogmes, livres sacrés, rites, cultes, sacrements, prescriptions en matière de morale, interdits, organisation, etc. La plupart des religions se sont développées à partir d'une révélation s'appuyant sur l'histoire exemplaire d'un peuple, d'un prophète ou d'un sage qui a

principe fondateur de toute connaissance dont le sensible apporte en quelque sorte la matière. Le rationnalisme est aussi le fondement de la connaissance mais aussi la raison de fondement de la morale. ( formule de l'impératif catégorique) * Chez Spinoza, le rationnalisme est mis en avant comme principe d'explication. Les écrits, ont une forme très mathématique. * Chez Hegel, affirme le caractère rationnelle de la réalité. Tout ce qui rationnel est réel tout ce qui est réel est rationnel". Identité

raison avec la foi, a constitué un topos philosophique] • Théologie : théo-logie : discours sur Dieu. En gros, la théologie peut s’entendre en deux sens : 1) étude de la parole divine (études des textes sacrés, des dogmes et de la morale qui en découle [lecture critique de la Bible initiée par Spinoza]) ; 2) discours sur Dieu. Ici la théologie a voulu se faire rationnelle, c’est-à-dire fonder la croyance en Dieu sur les lumières de la raison. Cette attitude s’est exprimée entre autres par la mise

fait, on peut distinguer plusieurs niveaux de l’historien, ce que fait Paul Ricœur dans Mémoire, histoire, oubli : 1er niveau : la détermination des faits -> chercher leurs causes 2ème niveau : l’intelligibilité des faits -> ce qui suppose une interprétation 3ème niveau : la mise en intrigue -> comment l’historien raconte le fait (quel est le mode narratif utilisé ?) Aujourd’hui par exemple, la prolifération des romans historiques est une réponse au 3ème niveau. Plusieurs modèles : - Soit on

la jeunesse et d’impiété, mais aussi de rejet des lois de la cité. En 1600, Giordano Bruno est supplicié sur le bûcher pour son rejet de la transsubstantiation de la trinité, son blasphème contre le Christ, sa négation de la virginité de Marie. Spinoza a été excommunié pour avoir défendu la théorie de l’immanence de Dieu. Galilée a failli être condamné à mort pour avoir soutenu que la terre ronde. Heureusement pour lui, il a abjuré pour échapper à la mort. C’est dire que bien des philosophes ont

de l’homme à l’autorité divine. Les auteurs latins ne le prennent jamais dans un autre sens. » PJ Proudhon (1809-1865) « De la justice dans la révolution et dans l’église » (1858) et « Proudhon, Bakounine, Kropotkine, la révolution libertaire », textes choisis et présentés par Philippe et Michael Paraire, première partie « Choisir l’homme contre la divinité », les éditions de l’Epervier, pages 73, 74 (2010) ( b ) l’attitude philosophique est extérieure à l’attitude religieuse caractérisée par