Vidame

par la Cour et le Vidame de Chartres en focalisation interne, et arrive dans un lieu où les belles personnes sont nombreuses. Le canon de beauté de l’époque « la blancheur de son teint et ses cheveux blonds » « tous ses traits étaient réguliers » « son visage et sa personne étaient pleins de grâce et de charme »  idéal de beauté d’où une description succincte. Jeunesse : « dans une extrême jeunesse » « dans sa seizième année » Un rang important « de la même maison que le Vidame de Chartres » « une

siècle), ces textes sont tous des extraits de romans. Chacun nous montre un personnage à un moment décisif de son existence. Dans l’extrait de La Princesse de Clèves (Mme de LaFayette) ont peut supposer que la rencontre entre Melle de Chartres et le vidame sera déterminante pour la suite du roman. C’est aussi une rencontrer que nous montre le texte de l’Abbé Prévost (Manon Lescaut) : Le personnage qui raconte sa propre histoire revient sur le jour où il a rencontré une jeune femme à Amiens et on comprend

définitive d’avec Nemours - Un amour qui semble impossible à vivre : A la cour, galanterie et tromperies (p 74 infidélité de la duchesse de Valentinois , p94 à 104 infidélité de Mme de Tournon et désespoir de son amant, Sancerre, p 136 à 146 Le Vidame de Chartres révèle sa trahison envers la reine dauphine et Mme de Thémines) -Entre Nemours et la princesse de Clèves il est impossible puisque celle-ci est mariée -M. de Clèves aime éperdument la princesse de Clèves mais celle-ci ne l’aime pas

Troisième partie Le Vidame de Chartres, oncle de la princesse de Clèves et ami intime de M. de Nemours est lui aussi très contrarié par cette lettre. Car la lettre qu’a lue la princesse de Clèves et qu’elle croyait adressée à Nemours, d’où sa jalousie, lui appartenait. Et le fait qu’elle circule entre toutes les mains de la Cour le contrarie énormément. En effet cette lettre risque de déshonorer une femme extrêmement respectable et de lui valoir, à lui, Vidame de Chartres, la colère de la Reine

tombe de la veste de Nemour et elle suppose qu'il à une liaison, elle découvre donc la jalousie. Troisième partie Le Vidame de Chartres, oncle de la princesse de Clèves et ami intime de M. de Nemours est très contrarié par cette lettre, car celle-ci n'était pas adressée à Nemours et le fait qu'elle circule entre toutes les mains de la Cour l'énerve énormément. Le Vidame de Chartres veut alors que le duc de Nemours dise qui est le destinataire de cette lettre et aille la réclamer à la reine

beauté à la cour, qui attira les yeux de tout le monde, et l'on doit croire que c'était une beauté parfaite, puisqu'elle donna de l'admiration dans un lieu où l'on était si accoutumé à voir de belles personnes. Elle était de la même maison que le vidame de Chartres, et une des plus grandes héritières de France. Son père était mort jeune, et l'avait laissée sous la conduite de madame de Chartres, sa femme, dont le bien, la vertu et le mérite étaient extraordinaires. Après avoir perdu son mari, elle

la Cour. Il avait trois fils parfaitement bien faits ; le second qu’on appelait le Prince de Clèves, était digne de soutenir la gloire de son nom : il était brave et magnifique, et il avait une prudence qui ne se trouve guerres avec la jeunesse. Le Vidame de Chartres, descendu de cette [ 14 ]ancienne Maison de Vendôme, dont les Princes du Sang n’ont point dédaigné de porter le nom, était également distingué dans la guerre et dans la galanterie. Il était beau, de bonne mine, vaillant, hardie, libéral :

3 II- La Réaction de M. de Clèves, la naissance d’une passion La surprise, l’étonnement le champs lexical : « surpris(e) » l. 11,12 ; « étonnement » l.13,19 : souligne sa beauté hors du commun, elle se distingue des autres femmes (même le vidame est surpris l. 4, 5) + cette beauté et la surprise qu’elle a entrainée sont les éléments déclencheurs de la passion de M. de Clèves pour Mlle de Chartres. Le coup de foudre « qu’il ne connaissait point » l.16 : il ne l’a jamais vue expression

histoire secondaire poussera Mme. de Clèves à avouer sa passion pour le Duc de Nemours à son mari. Le dernier récit enchassé du roman est sous la forme d'une lettre. Cette lettre a été écrite par Mme. de Thémines et est déstinée à son amant le vidame de Chartres. Or, ce dernier qui a une liaison avec la reine souhaite que personne ne soit au courant de sa mésaventure et supplie le Duc de Nemours de mentir en se faisant passer pour le destinataire de la lettre.

Elle décide d’avouer à son mari qu’elle en aime un autre, mais ne dit pas son nom. Il sera content de cette sincérité, mais en colère et cherche à savoir qui il est. Le duc assiste à l’aveu, et voit ses espoirs s’envoler il raconte l’histoire au vidame, en taisant les noms, mais il a compris que le duc en fait partie. Son mari comprend que c’est le duc dont elle est éprise. Des quiproquos sont sources de discordes dans le couple car chacun se croit trahi par l’autre. Le roi Henri II meurt pendant