OSSIAN MACDONALD Connu comme un des plusieurs chef d’œuvre de, l’écrivain français du XIXe siècle, Gustave Flaubert, L’Éducation sentimentale , publié en 1869, est un roman d’apprentissage centré principalement sur les passions amoureuses. L’extrait que nous allons étudier se situe dans les premiers jours de la Révolution de février 1848 et est une description de la Prise des Tuileries. Nous nous demandons en quoi, peut-on voir que Flaubert décrit cet événement …afficher plus de contenu…

Même si l’auteur décris cette révolution avec un registre épique nous pouvons relever une sorte de …afficher plus de contenu…

» qui ironiquement compare le peuple à des héros sachant que en réalité ils sont un groupe de personne stupide qui savent simplement mettre du désordre. Cette idée de désordre se retrouve dans le texte, dans l’accumulation ligne 3 « des têtes nues, des casques, des bonnets rouges, des baïonnettes et des épaules », dans la comparaison au « fleuve refoulé » (l.4) et avec les verbes d’action secouer et précipiter ; nous comprenons déjà qu’ils ne sont pas organisés et qu’ils se jettent l’un sur l’autre ce qui crée une dimension assez ridicule. Enfin nous trouvons plusieurs références à la stupidité du peuple qui va souligner cet effet comique et même satirique car nous pouvons penser que l’auteur ridiculise le peuple pour dénoncer leur stupidité. Nous relevons le champs lexical d’une bête « barbe noir » « air hilare » « stupide » « magot » qui est utilisé pour caractérisé un prolétaire, (personne du peuple), la comparaison qui compare un