Brief packaging leffe
Taille du marché en volume et en valeur.
Marché en valeur : 2,1 milliards d’euros de chiffre d’affaires en 2007 Marché en volume : 18,6 millions de litres (8 millions d’hectolitres en GMS ; 1,5 en commerce de proximité.)
Nombres d’entreprise : 10 entreprises regroupant 3550 salariés
Evolution du marché
En France, depuis 25 ans, le marché de la bière a reculé de 25% et est arrivé à maturité. Tandis que le marché reparti entre les grandes surfaces, circuit de distribution classique et les CHR (Cafés, Hôtels, Restaurant) ; le marché parvient à se stabiliser en 2008 grâce à l’augmentation de la consommation à domicile. Cependant, en 2010, les ventes de l’industrie de la bière sont de nouveau en recul, ceci en partie expliqué par les performances désastreuses de l’Equipe de France au mondial de football 2010.
Malgré cette baisse globale de la consommation de bières, la tendance actuelle du marché est caractérisée par le développement des bières spéciales et de spécialités. Celles-ci représentaient deux tiers des ventes en valeur en GMS au cumul annuel mobile à mars 2009 au détriment des bières dites de « luxe ».
Segmentation: poids des segments et évolution des segments
Les bières de « luxe » : Contrairement à ce que l’on pourrait penser elles non de « luxe » que leur appélation. Entre 4,4° et 5,5°, il s’agissait des bières les plus consommées en France en 1999 (Kronenbourg, Kanterbräu, Obernai, Kanterpils, etc.).
Les bières Spéciales : Il s’agit de bières à densité et degré d’alcool élevé (supérieur à 5,5% due à un niveau de fermentation élevée) comme les marques Heineken, 1664, Gold, Carlsberg, Wilfort. Elles représentent environ un tiers de la consommation en valeur en France.
Les bières de Spécialité : Elles désignent des produits spécifiques à une région (Ch’ti dans le Nord, Pietra en Corse), un pays (Corona au Mexique, Bud au Etats-Unis), une brasserie (Adelscott ou Fischer) ou encore une saison (bières de mars ou de Noël).