Au fil du temps je me suis accroché à toi, on a crée des liens, on s’est rapproché, on était complice. Mon sourire dépendait du tien, mon humeur dépendait de toi. Mes pensées t’étaient destinées, je ne voulais que ton bonheur, car il faisait le mien. Mais petit à petit, tu t’es décrocher de moi, tu m’as laissée seule, tu m’as abandonnée. J’étais seule avec mes larmes, seul avec mon malheur, et seule avec mon cœur qui ne voulait que toi. Tout ça m’as appris qu’il ne faut s’attacher à personne, je sais que le cœur en décide toujours autrement, que notre raison ne peut rien y faire, mais j’essaye. J’essaye de m’accrocher à aucunes personnes pour que mon cœur arrête de saigner comme tu l’as fait saigner. Mais maintenant, même le cœur en miettes je dois avancé, trouver le bonheur ailleurs, car avant tu faisais mon bonheur maintenant tu fais mon malheur, tu faisais battre mon cœur maintenant tu l’as brisé, tu faisais mon sourire, maintenant tu fais mes larmes. J’aimerais ne plus dépendre de toi comme je le fais encore, car tes simples mots peuvent me faire retomber dans le panneau, même si tu m’as fais croire des choses, espérer des actes qui ne se sont jamais produit. J’espère en tout cas, que mon cœur arrêtera de me dire de te poursuivre et que je suivrai ma raison, même si je pense que ce n’est pas le plus évident à faire. Car comme on dit le cœur a ses raisons que la raison ignore, et toi tu es la raison de mon cœur qu’ignore ma véritable raison, tu es mon point faible. La personne sans qui je dois apprendre à sourire, a rêver, à être heureuse, à tout simplement vivre