Droit des affaires
DROIT DES AFFAIRES -------------------------------------------------
INTRODUCTION
Section 1 : Une matière peu autonome visant l’efficacité entrepreneuriale La définition du « droit des affaires » est difficile du fait du grand nombre de règles qui le compose et de la diversité des branches de droit sollicitées. Droit privé qui règlemente les activités des commerçants et industriels. I. Le traitement d’une problématique opérationnelle par l’apport de multiples branches du droit A. Branches du droit privé Le droit commercial, le droit des sociétés et le droit pénal sont les matières qui composent le droit des affaires. B. Branches du droit public Droit économique (international) : Droit de l’UE et règles de l’OMC. Droit fiscal : National & international. Droit administratif : National & international. II. Sources directes et indirectes du droit des affaires A. Droit écrit national et international Sources écrites : * Droit national : Lois, décrets et arrêtés. Doctrine. * Droit international : Traités. Directives et règlements. B. Usages et jurisprudence 1. Les usages C’est une pratique constante et acceptée mais qui n’est pas écrite. Usages conventionnels (ou de faits) : Il faut le prouver devant le juge en cas de litige. Les parères sont des attestations servant de preuves émises par les CCI. Usages de droit (coutumes) : Autorité reconnue comme une vraie source de droit. La coutume n’est pas à prouver. La coutume est toujours supplétive de volonté. Il est possible de l’écarter, en le mettant dans le contrat. 2. Jurisprudence Jurisprudence interne : * Tribunaux consulaires (de commerce) * Appel possible pour les litiges supérieurs à 4000€ * 35 cours d’appel et 1 cour de cassation Jurisprudence externe : * Cour de Justice de l’Union