Etude de cas de journalisme
présenté par
Charlotte Simon
(no d’étudiant : 7524930)
dans le cadre du cours CMN3552 A Éthique et déontologie du journalisme donné par Marc-François Bernier
Université d’Ottawa
Département des Arts 26 septembre 2013
Au centre de ces deux articles, une présumée querelle entre le chef du Service de Police de la Ville de Montréal (SPVM), Marc Parent, et de directeur général de l'administration municipale, Guy Hebert. Et deux visions des faits totalement opposées. L'article du 15 mars du journal La Presse relate les faits, suivant la folie médiatique qui les entourent. Ce n'est que deux jours plus tard, que le Journal de Montreal explique sa position de retrait dans ce qu'il qualifie de « belle pièce de théatre médiatique »
Qu'en est-il réellement ? La Presse aurait-il manqué de rigueur dans sa publication, en prenant parti pour le SPVM ? Ou serait-ce le Journal de Montréal qui est en tort, trop enclin accabler le corps de Police ? C'est au travers de mon étude de cas que je vais tenter d'éclairer les reproches que l'ont peut faire à chacun quant à l'éthique et au respect des normes journalistiques.
Les auteurs de l'article de La Presse relatent que tout aurait commencé suite à la demande d'investigation de la firme Motorola qui accusent Mr Hebert de favoritisme lors de l'attribution du contrat concernant les communications opérationnelles en matière de sécurité publique sur le territoire. Mis au courant, Marc Parent aurait décidé de se pencher de plus près, avec l'aide du contrôleur général de la ville, Alain Bond, sur cette probable irrégularité, soit 42 millions de dollars canadiens en jeu. Se sentant en danger, Hebert aurait alors riposté en constituant un dossier visant à mettre fin aux fonctions de son nouveau « rival ». Ainsi, deux choses lui sont reprochées : un manque d'impartialité, mais aussi avoir tenté de congédier, sans raisons valables, Mr Parent, en abusant de son pouvoir de Directeur Général par pur