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Baptisée One Sony, cette stratégie repose sur une réorganisation profonde, autant en termes de management que de production. Tout en haut de la pyramide, une personne, Kazuo Hirai, passé par Sony Computer Entertainment, la division PlayStation de Sony. En dessous, trois divisions : Entertainment (studio, musique, etc.), Electronics (matériels high-tech), et les services financiers.
Trois axes forts
Pour revenir à l’équilibre, Sony se concentrera sur le renforcement de trois activités principales au sein du pôle Electronics : l’image numérique (téléviseur, appareil photo, etc.), le jeu (PlayStation, SEN, etc.), et les périphériques mobiles.
L’objectif avoué est de faire en sorte que ces trois axes génèrent 70 % des ventes de ce pôle et représentent 85 % des revenus d’ici à la fin de l’année fiscale 2014. Pour entrer dans le détail, Sony espère atteindre 1 500 milliards de yens (14,1 milliards d’euros) de chiffre d’affaires pour une marge à deux chiffres pour la partie image numérique.
Pour le jeu, qui repose sur les PlayStation 3 et Vita et les services en ligne, Sony souhaite obtenir une marge de 8 % à échéance et générer 1 000 milliards de yens de chiffre d’affaires (9,4 milliards d’euros).
Enfin, pour la partie mobile, désormais totalement contrôlée par le fabricant japonais, sous le nom de Sony Mobile Communications ex-Sony Ericsson, Sony pense faire jouer à plein la synergie avec ses autres divisions. Ainsi, les smarthphones et tablettes de la marque bénéficieront des technologies de traitement et de prises d’images mises au point en interne et de tous les services liés aux jeux, notamment avec le Sony Entertainment Network, nouveau nom du PlayStation